
"Une présidente ne devrait pas dire ça" titre ce matin, le Journal du Dimanche dans un dossier spécial consacré à l'Audiovisuel Public, après les attaques de la Présidente de France Télévisions contre CNews et Europe 1 qu'elle qualifie de "médias d'extrême droite" .
Le dossier revient sur les 4 milliards que coûtent le service public avec des résultats souvent loin d'être à la hauteur, comme par exemple avec la dernière création, France Info Télé, qui stagne à 1% de part de marché, malgré les dizaines de millions d'argent public investis chaque année.
"Les dirigeants de Radio France et France Télévisions, au lieu de faire le ménage dans leurs maisons, s’attaquent à ceux qui leur demandent des comptes. Cette rage ne fait que souligner qu’ils perdent pied, comme emportés par un scandale qui va bien au-delà de l’affaire Legrand-Cohen." écrit le JDD en ouverture de son dossier.
Mais loin d'être une surprise, la position de Delphine Ernotte avait été clair dès son arrivée comme le rappel le journal :
"À peine installée au huitième étage de France Télévisions, elle annonce la couleur. Au micro de Jean-Pierre Elkabbach, sur Europe 1, elle assène : « On a une télévision d’hommes blancs de plus de 50 ans, et ça, il va falloir que cela change. »
David Pujadas ne le sait pas encore, mais ses jours aux commandes du « 20 Heures » de France 2 sont comptés. Delphine Ernotte veut promouvoir la diversité sur ses antennes. C’est son droit. Encore qu’on eût pu espérer que ce souci aille de pair avec une ouverture à tous les courants intellectuels. C’était son devoir. Il n’en a rien été. "
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Il y a des gens respectables et d'autres qui ne le sont pas... Elle fait partie des derniers...
Cruella fait parler d’elle.
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