
C'est une nouvelle journée de mobilisation qui inquiète fortement les services de renseignement qui évoquent une «menace hybride». C’est-à-dire des actions coups de poing dès la veille au soir ou tôt le matin, mêlant une partie syndicale constituée des cortèges classiques et une séquence qualifiée de «plus politique», portée selon eux par des «militants de La France insoumise».
«Entre 150 et 300 éléments radicaux du type Black Block» pourraient être présents dans les manifestations dans les grandes villes, selon les services qui envisagent en outre des actions coups de poing associées au mouvement Bloquons tout.
Au regard des premiers éléments recueillis, les perturbations dans les transports en commun pourraient être plus fortes que mercredi dernier, selon un participant.
Les services ont relevé également une «montée en tension des discours» dont certains avec «une tonalité insurrectionnelle», ce qui leur fait craindre des débordements.
Les services estiment que la participation sera nettement plus élevée que le 10 septembre, et pourrait atteindre plus de 400.000 personnes, contre 200.000 recensées par le ministère de l’Intérieur mercredi dernier.
A Paris, les estimations vont de «30.000 à 60.000 personnes», 100.000 à l’ouest du pays.
Les points d’attention pour les forces de l’ordre restent ainsi comme mercredi dernier, outre Paris, les villes de Rennes, Nantes, Toulouse, Dijon, Lyon, Montpellier et Bordeaux.
Dans la capitale, comme lors de chaque journée d’action d’ampleur, les lieux emblématiques du pouvoir tels que l’Elysée, Matignon, l’Assemblée nationale ou le Sénat feront l’objet d’une protection renforcée.
Vos réactions
Ça fera un flop, comme pour le 10 septembre. Mercredi dernier, quand soi-disant il y aurait des blocages partout, je n'ai jamais aussi bien roulé...
La France est au bord de l’insurrection…
enfin, c’est ce qu’on nous répète pour donner l’illusion que quelque chose bouge encore.
En vérité, c’est une rébellion qui s’arrête à l’heure de fermeture des supermarchés, parce qu’il ne faudrait pas rater la promo sur les chips. Les slogans fusent dans la rue, mais ils se dissolvent aussitôt dans les vapeurs de kebab et les stories Snapchat. Les puissants, eux, observent tout ça avec amusement, se disant qu’il suffit de laisser les gens crier assez fort pour qu’ils rentrent ensuite sagement regarder The Voice. On se proclame peuple révolutionnaire, mais on demande en même temps le remboursement des tickets TER annulés par la grève : la colère a ses limites, surtout quand elle impacte les vacances. L’insurrection made in France, c’est un feu de paille : beaucoup de fumée, quelques selfies héroïques, et au final un barbecue raté. Les éditorialistes, eux, s’en frottent les mains : chaque poubelle renversée leur donne matière à une tribune dramatique sur “la République en danger”. Pendant ce temps, les ministres sablent le champagne en se félicitant de la solidité d’un système qui transforme la contestation en folklore. Il faut dire que c’est pratique : une populace qui croit faire trembler le pouvoir en bloquant un rond-point, c’est la meilleure assurance-vie pour ceux qui tiennent vraiment les manettes. Bref, si c’est ça le grand soir, il ne viendra jamais : il sera remplacé par un prime-time avec pub pour des crédits à la consommation.
Sans oublier le match de foot à la télé le samedi soir, histoire d'enrichir les émirs du Golfe qui achètent les clubs européens et les font jouer l'un contre l'autre, parce qu'ils ne savent plus quoi faire de leurs pétro-dollars...
La France est au bord de l’insurrection…
enfin, c’est ce qu’on nous répète pour donner l’illusion que quelque chose bouge encore.
En vérité, c’est une rébellion qui s’arrête à l’heure de fermeture des supermarchés, parce qu’il ne faudrait pas rater la promo sur les chips. Les slogans fusent dans la rue, mais ils se dissolvent aussitôt dans les vapeurs de kebab et les stories Snapchat. Les puissants, eux, observent tout ça avec amusement, se disant qu’il suffit de laisser les gens crier assez fort pour qu’ils rentrent ensuite sagement regarder The Voice. On se proclame peuple révolutionnaire, mais on demande en même temps le remboursement des tickets TER annulés par la grève : la colère a ses limites, surtout quand elle impacte les vacances. L’insurrection made in France, c’est un feu de paille : beaucoup de fumée, quelques selfies héroïques, et au final un barbecue raté. Les éditorialistes, eux, s’en frottent les mains : chaque poubelle renversée leur donne matière à une tribune dramatique sur “la République en danger”. Pendant ce temps, les ministres sablent le champagne en se félicitant de la solidité d’un système qui transforme la contestation en folklore. Il faut dire que c’est pratique : une populace qui croit faire trembler le pouvoir en bloquant un rond-point, c’est la meilleure assurance-vie pour ceux qui tiennent vraiment les manettes. Bref, si c’est ça le grand soir, il ne viendra jamais : il sera remplacé par un prime-time avec pub pour des crédits à la consommation.
La gauche ne sert à rien mais fout la merde partout, épisode 46546546
La gauche a détruit le vrai Bloquons tous qui devait être libre et indépendant ! voir des drapeaux palestiniens me désole ! au moins on sait que ça va être le bazar avec eux !
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