
Ce matin, Elia, gérante du bistrot qui est collé au théâtre de la Gaité Lyrique, était l'invitée de "Morandini Live" sur CNews. En mars dernier, elle était déjà intervenue pour évoquer sa situation alors que la Gaité Lyrique était occupée par des migrants (revoir son passage en cliquant ICI).
"Grâce à CNews et à tous les Français qui m'ont aidé pour ma cagnotte, je me suis battue pour pouvoir garder ma brasserie malgré que je sois dans une situation catastrophique financièrement. J'ai réussi à la sauver du mieux que je pouvais", débute-t-elle.
Et d'ajouter : "La Gaité Lyrique n'a pas rouvert depuis neuf mois. Neuf mois sans activité à côté, ça nous a apporté beaucoup de pertes financières. J'attends la réouverture avec impatience. Et, quand je vois la programmation de ce soir, je me dis qu'il y a une pure provocation". Elia fait référence à l'exposition qui sera lancée ce soir à 18h30 : "Ici et là-bas : l'expérience des migrations à travers les générations".
Depuis mars dernier, "je n'ai aucun contact avec la direction de la Gaité Lyrique". "Je suis vue comme la peste du quartier. Je ne risque pas d'avoir de contacts avec eux. Le fait d'être passée sur CNews, j'ai été affiliée à l'extrême droite et à une facho qui a mis des mineurs à la rue", poursuit-elle.
Avec cette exposition, "c'est un appel pour faire revenir les migrants, un appel pour me mettre en danger". "Faire venir des migrants avec le passif que j'ai avec eux, pour moi c'est une mise en danger. Aujourd'hui, j'ai peur. J'ai été menacée, ça a continué après le passage dans l'émission en mars. Ça me fait peur, je suis juste une victime collatérale", confie-t-elle.
"Avec mon avocat, on a lancé une procédure contre la mairie de Paris et la préfecture. Ils ont jusqu'au 10 octobre pour nous répondre. Je suis dans une situation catastrophique !", déclare-t-elle. Et de conclure : "Aujourd'hui, j'ai peur. Ce soir, je ne serai pas à la brasserie. C'est mieux de ne pas attiser la haine".
Vos réactions
bonjour, mettez-moi en contact avec Elia, gérante du bistrot et, mieux avec Jean Marc MORANDINI ; si j'ai une réponse, je PROMETS un soutien financier à ELIA. En effet, je subis un problème grave face à un grosse Fondation devenue une MAFIA et j'ai besoin des médias pour faire entendre ma voix là où 1er ministre, le service "fondation" du ministère de l'Intérieur et la procureure de la république sont absents. Et si Morandini me contacte, je m'engage à aider Elia car ce serait grâce à elle que je pourrais crier ma colère dans ce monde de fous B L 84 ans, fondation EIRAMEL forte d'aide de + de 200 jeunes dans pays depuis avril 2023
La pression violente des gauchistes immigrationnistes.
Réagissez
Nouveau ?
Inscrivez-vousDéjà membre ?
Mot de passe oublié ?