09/09 22:19

Emmanuel Macron choisit Sébastien Lecornu comme Premier Ministre, annonce l'Elysée - La passation de pouvoir aura lieu demain à midi à Matignon

22h22: "Le président tire la dernière cartouche du macronisme", réagit Marine Le Pen après la nomination de Sébastien Lecornu.

 

22h17: Le Parti Socialiste fait part de sa colère après cette nomination : "En nommant Sébastien Lecornu à Matignon, Emmanuel Macron s’obstine dans une voie à laquelle aucun socialiste ne participera. Sans justice sociale, fiscale, écologique et sans mesure pour le pouvoir d’achat, les mêmes causes produiront les mêmes effets."

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22h03: La cheffe de file des députés insoumis Mathilde Panot qualifie sur X de "provocation" la nomination de Sébastien Lecornu au poste de Premier ministre. "Lecornu, celui qui face aux Gilets Jaunes ou aux Guadeloupéens en lutte pour le droit à l’eau n’a répondu que par la répression. Celui qui dîne avec Le Pen", ajoute-t-elle, appelant par ailleurs à "faire partir Macron" avec le mouvement "Bloquons tout" prévu en France demain.

21h40: Sur X, le nouveau Premier ministre "mesure" les attentes des Français et connaitre les "difficultés". "Nous sommes au travail, avec humilité, et nous allons tout faire pour y arriver".

20h29: La passation de pouvoir entre François Bayrou et Sébastien Lecornu aura lieu demain à midi à Matignon.

19h53: Emmanuel Macron nomme Sébastien Lecornu comme Premier Ministre, annonce l'Elysée dans un communiqué. La présidence de la République annonce qu'Emmanuel Macron a chargé le nouveau Premier ministre, Sébastien Lecornu, "de consulter les forces politiques représentées au Parlement en vue d’adopter un budget pour la Nation et bâtir les accords indispensables aux décisions des prochains mois".

Le ministre des Armées, qui faisait office de favori ces dernières heures pour Matignon, remplace ainsi François Bayrou, au lendemain de la chute du Béarnais.

Biographie: 

Fils d’une secrétaire médicale et d’un technicien de l’industrie aéronautique, Sébastien Lecornu a fait des études de droit à l’Université Paris 2 Panthéon Assas.

De 2008 à 2012, il est conseiller du Secrétaire d’État aux Affaires européennes puis du ministre de l’Agriculture, Bruno Le Maire.

En 2014, il est élu maire de Vernon puis, en 2015, président du Conseil départemental de l’Eure. Il sera réélu aux élections municipales en mars 2020, conseiller départemental en juin 2021 et désigné à nouveau président du Conseil départemental de l’Eure en juillet 2021.

Sébastien Lecornu a, par ailleurs, été élu sénateur en septembre 2020. Il a décidé de ne pas siéger à la Haute-Assemblée, en respect de la loi sur le non-cumul des mandats, afin de poursuivre l’exercice de ses fonctions ministérielles.

Sébastien Lecornu est nommé le 21 juin 2017 Secrétaire d’État auprès du ministre d’État, ministre de la Transition écologique et solidaire dans le gouvernement d’Édouard Philippe.

En 2018, il est nommé ministre délégué en charge des collectivités territoriales. Il co-anime alors le Grand Débat National, qui s’est tenu à l’initiative du Président de la République début 2019 en réponse la crise sociale de l’automne 2018.

En juillet 2020, il est nommé ministre des Outre-mer dans le gouvernement de Jean Castex. Dans ce cadre, il supervise la gestion de la crise sanitaire dans les 12 territoires ultramarins français, répartis dans les trois océans. Il a également accompagné la fin de l’Accord de Nouméa en organisant les deux dernières consultations pour l’accession de la Nouvelle-Calédonie à la pleine souveraineté. 

Depuis le 20 mai 2022, il est ministre des Armées.

Sébastien Lecornu est également colonel de réserve dans la Gendarmerie nationale.

Décorations :

Chevalier de l’Ordre du Mérite agricole

Chevalier des Arts et des Lettres

Médaille de la Défense nationale, agrafe gendarmerie nationale, échelon bronze

Médaille des services militaires volontaires, échelon argent

Médaille d’honneur de l’engagement ultramarin, échelon or

Grand Officier de l’Ordre national du Cèdre du Liban

Commandeur de l’Ordre du Lion (Sénégal)

Commandeur de l’Ordre de l’Etoile de Mohéli (Comores)

Médaille Zayed II de 1ère classe (Emirats Arabes Unis)

Médaille de l’Ordre du mérite de 2e classe (Ukraine)

Chevalier dans l’Ordre de Saint Charles (Monaco)

Commandeur de 1ère classe de l’Ordre royal de l’Etoile polaire (Suède)

Grand-Croix de l’Ordre du mérite de la République fédérale d’Allemagne

Commandeur de première classe de l'ordre du Dannebrog (Danemark)

16h00: Une motion de destitution a bien été déposée ce mardi après-midi à l’Assemblée nationale, signée par 86 députés de gauche, majoritairement de La France insoumise. Ont également signé des députés apparentés du groupe écologiste, tels que Clémentine Autain, Alexis Corbière ou Benjamin Lucas, et des élus du groupe communiste, comme Elsa Faucillon ou Mereana Reid Arbelot.

Aucun député encarté au Parti socialiste ou aux Écologistes n’a toutefois paraphé la motion de destitution, indique le Figaro. 

15h44: Les employés de Matignon viennent de recevoir une invitation pour un pot de départ jeudi à midi, selon BFM TV. Et d'indiquer que l’invitation mentionne un "Pot de convivialité sous forme de buffet (sous réserve des contraintes de la passation de pouvoir)".

14h52: François Bayrou a quitté l'Elysée après avoir remis sa démission à Emmanuel Macron lors d'un entretien de plus d'une heure. 

14h23: Le Premier ministre François Bayrou a remis sa démission mardi au président Emmanuel Macron, ouvrant la voie à la nomination de son successeur. Le chef du gouvernement, qui a échoué lundi à obtenir la confiance des députés, a franchi peu avant 13H30 la grille de l’Elysée pour un ultime entretien avec le président.

Emmanuel Macron a « pris acte » dès lundi soir du refus des députés de lui apporter leur confiance et promis de nommer dans les « tout prochains jours » son successeur.

Cette nomination pourrait intervenir dès mardi -« C’est possible », glisse-t-on dans l’entourage du chef de l’Etat- le nom de Sébastien Lecornu, déjà favori en décembre avant que François Bayrou ne s’impose, revenant avec insistance.

14h14: Le Premier ministre François Bayrou est arrivé mardi à la mi-journée à l'Elysée pour remettre sa démission au président Emmanuel Macron après la chute de son gouvernement la veille à l'Assemblée, ont constaté des journalistes de l'AFP.

Le chef du gouvernement a franchi peu avant 13H30 la grille du 55, rue du faubourg Saint-Honoré à bord de sa voiture de fonction. Le chef de l'Etat a "pris acte" dès lundi du refus des députés de lui apporter leur confiance et promis de nommer dans les "tout prochains jours" son successeur.

13h29: Moins de cinq minutes après son départ de Matignon, le Premier ministre François Bayrou est arrivé à l'Elysée pour remettre sa lettre de démission à Emmanuel Macron

13h26: Le Premier ministre François Bayrou vient de quitter Matignon pour rejoindre l'Elysée pour remettre sa lettre de démission à Emmanuel Macron

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11h36: Le Premier ministre François Bayrou remettra la démission du gouvernement à 13h30. 

11h21: Le point sur la situation 

Emmanuel Macron est déterminé à nommer un nouveau Premier ministre dès mardi ou « dans les tout prochains jours », peut-être un proche comme Sébastien Lecornu, à l’encontre des appels à choisir la gauche, à négocier d’abord un accord politique ou à recevoir les chefs des partis.

François Bayrou, qui a massivement perdu lundi son pari d’obtenir la confiance de l’Assemblée nationale, doit remettre mardi à la mi-journée à l’Elysée sa démission au président de la République qui en a déjà « pris acte ».

Il va ensuite expédier les affaires courantes en attendant un successeur, le cinquième Premier ministre depuis le début du quinquennat en 2022. Du jamais-vu dans une Ve République longtemps réputée pour sa stabilité mais entrée dans une crise sans précédent depuis la dissolution en juin 2024.

Le chef de l’Etat « nommera un nouveau Premier ministre dans les tout prochains jours », a annoncé lundi soir la présidence. Dès mardi ? « C’est possible », ainsi qu’une expression présidentielle le même jour, continue-t-on de glisser dans son entourage, sans certitude pour autant. 

Il y a « urgence à nommer un Premier ministre » parce qu’il ne doit pas « y avoir de pouvoir vacant » à la veille du mouvement « Bloquons tout » et avant la mobilisation syndicale du 18 septembre, a martelé le ministre de l’Intérieur sortant Bruno Retailleau, patron du parti Les Républicains (LR), évoquant un mois « propice à tous les débordements ».

11h01: Le casse-tête auquel est confronté le président est pourtant le même que celui qu’il a été incapable de dénouer depuis qu’il a dissous l’Assemblée: trouver un profil susceptible de survivre dans un paysage parlementaire sans l’ombre d’une majorité. A l’Elysée, on estime que la fragile coalition bâtie il y a un an entre la macronie et la droite est un acquis. Le président a exhorté ses chefs à « travailler avec les socialistes » pour « élargir » son assise.

Mais il ne devrait pas aller jusqu’à nommer comme Premier ministre le patron du Parti socialiste Olivier Faure, malgré ses offres de services pour la formation d’un « gouvernement de gauche » qui irait chercher des « compromis ». Selon ses proches, Emmanuel Macron préfère donner les clés de Matignon à une personnalité « de confiance ».

Depuis lundi soir, le nom du ministre des Armées Sébastien Lecornu, 39 ans, devenu au fil du temps un intime du chef de l’Etat, revient avec insistance en macronie, certains interlocuteurs de l’Elysée allant jusqu’à rapporter que ce choix avait été arrêté.

Avec la prudence d’usage: déjà en décembre, le président avait voulu désigner ce fidèle, avant que François Bayrou ne s’impose à lui pour Matignon. Le nom de Catherine Vautrin revient aussi, mais la ministre du Travail et de la Santé reste discrète, ayant elle aussi déjà expérimenté un revirement élyséen en 2022.

Sur l’aile gauche de la macronie, la présidente de l’Assemblée Yaël Braun-Pivet s’est dite prête mardi à aller Matignon pour y appliquer un éventuel « pacte de coalition » incluant socialistes et écologistes. A moins que le président n’écoute ceux qui lui recommandent « un parfum de cohabitation », auquel cas le président LR des Hauts-de-France Xavier Bertrand pourrait tenir la corde.

10h27: Le président des Républicains (LR) et ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau a jugé mardi qu’il y avait « urgence à nommer un Premier ministre » parce qu’il ne doit pas « y avoir de pouvoir vacant » à la veille de manifestations et face à « un mois de septembre propice à tous les débordements ».

« Nous avons besoin très rapidement d’un Premier ministre pour que le pouvoir soit incarné. C’est capital, y compris d’ailleurs en matière de maintien de l’ordre », a insisté le ministre devant la presse à l’issue d’une réunion des dirigeants de LR.

« Demain il y a cette journée où Monsieur Mélenchon et ses amis veulent créer un climat insurrectionnel, il y aura une possible dégradation de la note (de la dette de la France) le 12 et ensuite la journée intersyndicale le 18. On est sur un mois de septembre propice à tous les débordements », a-t-il alerté.

Une fois désigné, le nouveau Premier ministre devra, avant de former un gouvernement, « se retourner vers l’ensemble des formations politiques pour dessiner un chemin d’intérêt général pour la France et nos compatriotes », a-t-il jugé.

M. Retailleau a répété qu’il jugeait « inconcevable » que le Premier ministre soit « socialiste » car, selon lui, « le projet socialiste ne correspond pas à ce que veulent la majorité des Français qui sont plutôt à droite ».

Quant à la participation des LR au gouvernement, « elle n’a rien d’automatique » et dépendra du « contenu de la politique », a-t-il assuré, répétant les priorités de la droite sur la sécurité, l’immigration et la fiscalité.

10h17: Le point sur la situation ce matin

Emmanuel Macron se retrouve mardi en première ligne pour tenter de résoudre, « dans les tout prochains jours », le casse-tête qu’il est incapable de dénouer depuis plus d’un an: trouver un Premier ministre susceptible de survivre dans un paysage parlementaire sans majorité.

Au lendemain de sa chute, François Bayrou, qui a massivement perdu lundi son pari d’obtenir la confiance de l’Assemblée nationale, doit remettre sa démission mardi matin au président de la République, qui en a déjà « pris acte ».

Il va ensuite expédier les affaires courantes en attendant la nomination d’un successeur, le cinquième Premier ministre depuis le début du quinquennat en 2022, du jamais-vu dans une Ve République longtemps réputée pour sa stabilité politique mais entrée dans une crise sans précédent depuis la dissolution de juin 2024.

Le chef de l’Etat « nommera un nouveau Premier ministre dans les tout prochains jours », a annoncé l’Elysée dans un communiqué. Dès mardi ? « Ça fait partie des possibles », ainsi qu’une expression présidentielle le même jour, glisse-t-on dans son entourage, sans certitude.

Cela lui permettrait de ne pas être seul à la tête de l’Etat mercredi face au mouvement de protestation « Bloquons tout », né sur les réseaux sociaux et soutenu par la gauche, qui précédera la mobilisation syndicale du 18 septembre, avec entre les deux la décision vendredi de l’agence Fitch qui pourrait dégrader la note de la dette française et engendrer des turbulences sur les marchés financiers.

A défaut, rapporte un interlocuteur régulier d’Emmanuel Macron, un Premier ministre pourrait être nommé d’ici la fin de la semaine, de manière à disposer d’un gouvernement au complet lorsque le chef de l’Etat s’envolera pour New York où il doit reconnaître les 22-23 septembre l’Etat de Palestine à l’ONU.

Selon le raisonnement des stratèges élyséens, cette fois, le chef de l’Etat ne devrait pas engager des « consultations formelles », alors qu’il avait reçu les formations politiques à tour de rôle avant de désigner Michel Barnier il y a un an, et organisé une table ronde de plusieurs chefs de parti avant de choisir François Bayrou en décembre.

Depuis que la dissolution de l’Assemblée a débouché sur un pays quasiment ingouvernable, Emmanuel Macron « n’a eu de cesse d’appeler les partis au dialogue, là il estime qu’il est allé au bout de ce qu’il pouvait faire », plaide un proche.

08h45: Yaël Braun-Pivet, Présidente de l'Assemblée, peut-elle aller à Matignon ? « Je ne suis pas candidate, mais je suis disponible pour œuvrer dans l'intérêt de mon pays, à la place qu'il faudra », a-t-elle répondu à Thomas Sotto, ce matin sur RTL 

08h02: Finalement ce n'est pas à 8h ce matin,  mais à midi que François Bayrou devrait rencontrer Emmanuel Macron pour remettre sa démission

07h31: Près de 11.000 personnes étaient présentes hier soir aux "pots de départ" organisés devant des mairies pour fêter la chute du gouvernement de François Bayrou, a appris Radio France de source policière. Ces rassemblements ont eu lieu à l'appel du mouvement "Bloquons tout", qui incite également à se mobiliser le 10 septembre.

06h00: Le point politique ce matin.

Après avoir été désavoué par l'Assemblée Nationale, François Bayrou va démissionner ce matin en rencontrant Emmanuel Macron sans doute vers 8h, selon les informations des médias. L'Assemblée a renversé lundi François Bayrou, qui a échoué à obtenir la confiance des députés. Les regards sont désormais tournés vers Emmanuel Macron, qui nommera un nouveau Premier ministre "dans les tout prochains jours", en dépit des appels à la dissolution ou à sa démission.

Au terme d'un débat marqué par un sévère réquisitoire des oppositions, seuls 194 députés (macronistes, MoDem, Horizons et Républicains) ont voté pur la confiance.

Largement insuffisant face aux 364 voix conjuguées de ses opposants, allant du Rassemblement national à La France insoumise. Plus dommageable pour la coalition gouvernementale, 27 députés LR ont voté pour la confiance mais 13 ont voté contre, et 9 se sont abstenus.

Et si le résultat était attendu, il n'en reste pas moins historique: François Bayrou devient le Premier chef de gouvernement de la Ve République à échouer sur tel vote de confiance qu'il n'était pas obligé de solliciter, moins d'un an après la censure du gouvernement de Michel Barnier.

Une demi-heure après le vote, l'Elysée a fait savoir qu'Emmanuel Macron recevrait mardi le chef du gouvernement pour "accepter la démission de son gouvernement".

Quant à François Bayrou, il souhaite "une passation la plus fluide possible pour que très rapidement, la prochaine équipe puisse se mettre au travail", a expliqué Matignon.

Jean-Luc Mélenchon sur France 2 : "Nous avons besoin, à la suite d'un mouvement dégagiste, d'un moment refondateur. Seule l'élection présidentielle" le permet. "

Marine Le Pen : "Un nouveau gouvernement, au vu de l'équation politique, ne passera probablement pas la discussion budgétaire. La dissolution n'est pas pour (Emmanuel Macron) une option, mais une obligation".

La patronne des Ecologistes Marine Tondelier a, elle, appelé le chef de l'Etat à recevoir les chefs des partis de gauche avant de nommer le prochain Premier ministre.

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Vos réactions

Portrait de Rends_L'argent_
10/septembre/2025 - 00h36

Le changement dans l'immobilisme

 

Portrait de tomy
9/septembre/2025 - 21h31

Les proches de Lecornu avaient pourtant démenti, bref on nous prends toujours pour des cons  

Portrait de Fan de Luis Sarkozy
9/septembre/2025 - 21h29

Bon bah l'effondrement de la France n'est pas prêt de prendre fin.

Tous en europe de l'est !

Portrait de Phantôme_
9/septembre/2025 - 21h27
Pervers condamné en appel a écrit :

Les ministres se succèdent et Morandini, condamné en appel pour corruption de mineurs avec peine allourdie en appel et obligation de soins est toujours sur nos écrans.

Insupportable. Virez-le.

C'est surtout toi qui va te faire virer pour la nième fois Benjamin.

Portrait de easyboy75
9/septembre/2025 - 20h59 - depuis l'application mobile

Étonnant ce timing ! Pourquoi ne pas avoir attendu 24h pour l’annoncer ! La manifestation de demain promet d’être encore plus virulente et violence à cause de ça demain !

Portrait de Benji CORNU
9/septembre/2025 - 20h44

Olivier Faure était pourtant disponible.

Incompréhensible mdr

Portrait de Orwell2025
9/septembre/2025 - 20h38 - depuis l'application mobile

Le clone de Macron légèrement plus viril mais la même chose ,un CCD de 3 mois maxi !

Portrait de lg22
9/septembre/2025 - 20h06

une fois de plus Jupiter nous l a mets bien profond

Portrait de Benji CORNU
9/septembre/2025 - 20h04

Attendez, ce n'est pas Lucie Castets ?

Je ne comprends pas mdr

Portrait de Virez Morandinicondamné
9/septembre/2025 - 15h42

Virez Morandini, ce n'est plus possible de l'avoir sur CNEWS, condamné en appel pour corruption de mineurs (peine allourdie en appel)

Portrait de bergil
9/septembre/2025 - 15h24
Benji CORNU a écrit :

Xavier Bertrand semble tenir la corde mdr

Qu'est-ce qui pourrait mal se passer ?

Mais non , mais non , au cours d'un entretien il a déclaré qu'il était président des Hauts de France et qu'il n'avait aucune autre ambition ( je rigole ! )

Portrait de Dark Sandor
9/septembre/2025 - 14h20
Sandòre Savost a écrit :

Il sera remplacé par un autre sbire esclavagiste, un fusible dont le rôle sera de permettre à quelques oligarques de garder le pouvoir en aval des élections.

Les ultra-riches du Qatar dont les pesticides sabotent la catharsis de l'IA depuis l'esclavage de Platon.

Quand on comprend ça, rien ne s'éclaire.

Ne soyez pas vigilants.

Rendormez-vous et rendormez les gens autour de vous.

Portrait de Sandòre Savost
9/septembre/2025 - 13h42

Il sera remplacé par un autre sbire esclavagiste, un fusible dont le rôle sera de permettre à quelques oligarques de garder le pouvoir en aval des élections.

Portrait de Yeto
9/septembre/2025 - 13h20

Et ça continue, encore et encore. 

C'est que le début, d'accord, d'accord....

Portrait de Exmona
9/septembre/2025 - 11h46

8h puis 12h puis 13h30, allez prochaine étape avec un peu de chance dans un mois...

Portrait de Touché01
9/septembre/2025 - 11h20

Cependant tant qu'un nouveau 1er ministre n'est pas accepté par les députés, Bayrou et son gouvernement restent ministres pour expédier les affaires courantes.

En Belgique en 2011 cela duré 541 jours ...

Portrait de Benji CORNU
9/septembre/2025 - 11h17

Xavier Bertrand semble tenir la corde mdr

Qu'est-ce qui pourrait mal se passer ?

Portrait de MICMAH458
9/septembre/2025 - 11h18
oreo75 a écrit :

On s'en fou  

C'est un peu rude et sans concession, votre avis, mais je reconnais que je le partage.  Lui ou n'importe qui d'autre, le résultat sera le même puisqu'aucun d'eux n'a l'envergure (ni les idées) pour mener ce pays et prendre un meilleur soin de ses citoyens.  Je note cependant qu'ils sont tous en train de se mettre sur la liste d'attente pour reprendre le job, prêts à se battre et à dénigrer leurs adversaires.  Malgré tous les coups à prendre, il faut croire que la place est bonne.  En fait, c'est ça le problème : tous ces types se foutent pas mal de la France, ils savent qu'ils n'ont pas les capacités ni les moyens pour améliorer les choses, mais leur principale préoccupation est de rallonger leur CV par une fonction de prestige, c'est juste une question d'ego.

Portrait de oreo75
9/septembre/2025 - 09h54

On s'en fou  

Portrait de Cfoutoutca
9/septembre/2025 - 08h54

Ila toujours rien compris, que cela ne changera rien a part encore nous coûter des ronds. Il faut un.profond changement et celui la doit venir d'en haut.

Portrait de MICMAH458
9/septembre/2025 - 08h19

Midi, c'est quand même mieux que 8h00 du matin.  Une pensée quand même pour ce vieil homme qui a perdu son boulot hier soir, et qui doit avoir passé une bien mauvaise nuit (ou pas d'ailleurs : sachant qu'il n'était pas capable de remplir la mission qu'il s'était lui-même donnée,  il est peut-être content de se barrer.  Certes, ce n'est pas très glorieux, mais cela peut se comprendre).

Portrait de djelloul
9/septembre/2025 - 08h03

Pkoi il a critique la police?? Il pensait se mettre dans la poche la LFI   Bin , c est raté 

Portrait de stylo07
9/septembre/2025 - 07h45

Qu'a t-il fait pendant ces 8 mois ??????? Rien : il a navigué c'est tout !!!! 

Il part il va toucher une retraite de 1er Ministre importante  !!!! Est -ce normal !!!!!!!

Portrait de Touché01
9/septembre/2025 - 07h23

Rien fait, rien fait ...  ils ont considérablement accru l'endettement de la France, servant ainsi grandement les intérêts des créanciers de l'étranger !

Portrait de Yeto
9/septembre/2025 - 06h35

Il a fait le forcing auprès de Macron pour être 1er ministre...

Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il est devenu le 1er sinistre...

Belle réussite !!!