poutine 
13h37: Les Etats-Unis ont proposé samedi à l'Ukraine une garantie de sécurité similaire à celle de l'article 5 de l'Otan, mais sans adhésion formelle à l'Alliance atlantique, a rapporté une source diplomatique requérant l'anonymat.
"Comme une des garanties de sécurité pour l'Ukraine, la partie américaine a proposé une garantie de type article 5, hors de l'Otan, avec l'accord a priori de (Vladimir) Poutine", a indiqué cette source.
Elle ajoute que cette proposition a été faite à Kiev samedi lors de l'appel téléphonique entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky et "réitérée" ensuite lors de la poursuite de cet appel avec des dirigeants européens.
12h28: Les dirigeants européens ont affirmé samedi être prêts à faciliter un sommet entre Donald Trump, Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine au lendemain de la rencontre entre le président américain et son homologue russe sur le conflit en Ukraine. "Nous sommes (...) prêts à travailler avec les Présidents Trump et Zelensky en vue d’un sommet trilatéral, avec le soutien de l'Europe" écrivent la présidente de la Commission Ursula von der Leyen, le président français Emmanuel Macron, le chancelier allemand Friedrich Merz et le Premier ministre britannique Keir Starmer dans un communiqué commun.
11h03: Donald Trump annonce vouloir signer non pas un "cessez le feu" mais directement un accord de paix, alors que le Président Ukrainien ira lundi à Washington
Dans un message posté sur son réseau Truth Social, le président américain Donald Trump affirme que la rencontre avec son homologue russe Vladimir Poutine « s'est très bien déroulée ». « Tout comme notre conversation téléphonique nocturne avec le président ukrainien Zelensky et plusieurs dirigeants européens, dont le très respecté secrétaire général de l'OTAN
. Tous ont convenu que la meilleure façon de mettre fin à la terrible guerre entre la Russie et l'Ukraine était de conclure directement un accord de paix, qui mettrait fin à la guerre, et non un simple accord de cessez-le-feu, souvent inapplicable », a ajouté Donald Trump.
09h37: Le président ukrainien annonce sur Telegram qu'il se rendra à Washington lundi pour discuter de "la fin de guerre" avec Donald Trump. "L'Ukraine réaffirme qu'elle est prête à travailler de manière aussi productive que possible pour la paix", ajoute Volodymyr Zelensky. Celui-ci affirme également avoir eu ce matin une "conversation longue et riche avec le président Trump, d'abord en tête-à-tête, puis avec la participation des dirigeants européens".
"Au total, nous avons discuté pendant plus d'une heure et demie, dont environ une heure avec le président Trump", précise-t-il.
Bilan de la nuit : Donald Trump et Vladimir Poutine se sont séparés cette nuit en Alaska sans rien dévoiler d'un possible plan de paix pour l'Ukraine, tout en multipliant les déclarations engageantes et les gestes amicaux.
Le président américain a parlé d'une réunion "très productive", Vladimir Poutine d'un entretien "constructif", mais en réalité rien n'a filtré immédiatement de leurs trois heures de discussion sur une base militaire de l'Alaska.
Le président américain, qui aime tant à se présenter en négociateur décisif, a assuré pendant des déclarations conjointes à la presse qu'il restait "très peu" de points à régler pour trouver une issue à la guerre déclenchée il y a plus de trois ans par l'invasion russe de l'Ukraine. "L'un d'entre eux (ces points) est probablement le plus important", a ajouté Donald Trump, mais sans dire lequel.
"Nous n'y sommes pas, mais nous avons fait des progrès. Il n'y a pas d'accord jusqu'à ce qu'il y ait un accord", a averti le président des Etats-Unis, avant de redécoller pour Washington. Lui et Vladimir Poutine ont passé, en tout et pour tout, six heures en Alaska.
Le milliardaire de 79 ans s'était fixé pour ambition d'organiser très vite un sommet tripartite avec le chef d'Etat russe et son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky, et de décrocher un cessez-le-feu. Il n'a rien évoqué de tout cela aux côtés de Vladimir Poutine, face aux journalistes.
Mais dans un entretien sur la chaîne Fox News enregistré juste après les déclarations à la presse, Donald Trump a estimé qu'un accord pour mettre fin à la guerre "dépendait vraiment du président" ukrainien.
Au contraire, avec son homologue russe, le président américain n'avait plus le ton quelque peu bravache d'avant la rencontre, lorsqu'il menaçait de claquer la porte en cas d'impasse, ou assurait qu'avec lui Vladimir Poutine ne "ferait pas le malin".
Ce dernier, sur la même tonalité engageante et cordiale, a dit espérer que "l'entente" trouvée en Alaska apportera "la paix" en Ukraine.
Les deux hommes, qui s'exprimaient devant un fond bleu portant l'inscription "Pursuing Peace" ("Oeuvrer pour la paix"), avaient promis une conférence de presse. Mais ils se sont seulement serré la main après avoir fini leurs discours et sont partis sans répondre aux journalistes qui, debout, les assaillaient de questions.
Donald Trump a affirmé qu'il appellerait dans la foulée les dirigeants de pays de l'Otan ainsi que Volodymyr Zelensky, disant à propos des Ukrainiens: "En dernier ressort, cela dépend d'eux".
Il a aussi estimé qu'il pourrait revoir "très bientôt" le président russe. Ce à quoi Vladimir Poutine a réagi en lançant, en anglais, "la prochaine fois à Moscou", sur un ton léger. "J'imagine que cela pourrait arriver", a rétorqué le président américain, amusé.
Ce sommet s'était ouvert sur un accueil chaleureux pour Vladimir Poutine, qui signe là un spectaculaire retour sur la scène internationale, alors que le conflit le plus meurtrier en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale continue. Donald Trump a brièvement applaudi pendant que son homologue russe s'avançait vers lui sur le tarmac.
Ont suivi des poignées de mains et des sourires dans une mise en scène exposant toute la puissance militaire américaine, avec des avions de combat de pointe rangés auprès du tapis rouge et survolant les deux hommes.
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21h47: Le sommet entre Trump, Poutine et leurs conseillers a commencé. D’après la partie russe, il pourrait durer entre 6 et 7 heures.
Trump vient de faire voler un bombardier furtif B-2 au-dessus de la tête de Poutine.
— Bleu Blanc Rouge ! (@LBleuBlancRouge) August 15, 2025
Incroyable !
pic.twitter.com/qGp32RZO76
21h16: Regardez cette photo pour l'Histoire avec les deux Présidents qui se sont retrouvés et salués sur le Tarmac de l'aéroport. Donald Trump et Vladimir Poutine viennent de se serrer la main. Donald Trump a fait le salut militaire. Les deux présidents ont en outre été survolés par des avions de chasse, échangeant quelques mots, avant d’apparaître côte à côte pour une photo historique.
Vladimir Poutine et Donald Trump ont rejoint une seule et même voiture pour se rendre au sommet sur l’Ukraine. Les deux chefs d’États vont se rendre dans une salle, accompagnés de conseillers, pour évoquer l’Ukraine.
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20h58: Vladimir Poutine vient à son tour d'arriver sur place
20h48: On vient d'apprendre que finalement, il n'y aura pas de vrai tête à tête entre les 2 présidents. Chacun aura 3 conseillers avec lui.
20h43: Donald Trump vient d'arriver en Alsaka
L’avion d’État russe vient d’atterrir à Anchorage pour la rencontre historique entre Trump et Poutine.
— Nicolas Conquer (@ConquerNicolas) August 15, 2025
Si Trump conclut la paix, ce sera l’un de ses plus grands exploits en politique étrangère.
Mettre fin à une guerre, rien que ça.#Trump
pic.twitter.com/Bvoedp4M65
20h22: La Russie se prépare à de véritables tractations, à quelques heures du «tête à tête» avec Donald Trump. Selon les informations données par la télévision d’État russe, les négociations pourraient durer «au moins 6 à 7 heures», en comptant leur réunion et une conférence de presse commune.
«Dans l’ensemble, on peut imaginer que cela prendra au moins 6 à 7 heures», a indiqué à la télévision d’État russe le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
16h27: Le président américain, Donald Trump, accueillera son homologue russe, Vladimir Poutine, à sa sortie d'avion vendredi en Alaska, a annoncé le Kremlin.
« A 11H00 précises (19H00 GMT), le président (Poutine, ndlr) doit atterrir, et le président Trump l'accueillera » sur le tarmac, a déclaré le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, aux agences officielles russes avant le départ de M. Poutine pour l'Alaska.
14h03: Le président américain Donald Trump a décollé vendredi pour l'Alaska, où il doit rencontrer Vladimir Poutine pour un sommet historique qui pourrait sceller le sort de l'Ukraine en guerre.
« GROS ENJEUX ! », a écrit Donald Trump sur sa plateforme Truth Social, peu avant de monter à bord d'Air Force One pour un vol de sept heures environ à destination d'Anchorage.
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President Trump boards Air Force One at Joint Base Andrews, Maryland (@Andrews_JBA) headed to Anchorage, Alaska for meeting with Russian President Vladimir Putin later today. pic.twitter.com/nJklh7L7Ye
— CSPAN (@cspan) August 15, 2025
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13h13: Volodymyr Zelensky et Emmanuel Macron ont convenu de se voir après le sommet en Alaska
12h35: La Russie s’attend à une visite du président américain Donald Trump après le sommet entre les deux dirigeants en Alaska le 15 août, a déclaré à TASS, l’agence de presse russe, Rodion Miroshnik, envoyé spécial du ministère russe des Affaires étrangères.
SOMMET TRUMP-POUTINE EN ALASKA
— François Asselineau (@f_asselineau) August 14, 2025
Il commencera le 15 août à 11h30 heure locale (21h30 heure de Paris) et se tiendra sur la base militaire aérienne Elmendorf-Richardson près d'Anchorage.
Participants
Président Poutine I… pic.twitter.com/4GwP1fiuJH
«Si le dirigeant russe se rend aux États-Unis, nous nous attendons à ce que le président américain se rende en Russie en retour. C’est tout à fait logique et cela souligne le développement et l’expansion des relations entre la Russie et les États-Unis, étant donné que les liens entre les deux plus grandes puissances géopolitiques ne se limitent pas à l’Ukraine», a-t-il détaillé.
12h02: Le chef de la diplomatie russe, Serguei Lavrov, s’est refusé vendredi à la moindre prédiction quant à l’issue du sommet entre les présidents Vladimir Poutine et Donald Trump en Alaska. «Nous ne faisons aucune prédiction», a-t-il déclaré à son arrivée à Anchorage, portant un sweat-shirt arborant ce qui paraît être l’inscription «URSS» en russe. «Nous savons que nous avons nos arguments et notre position est claire et sans ambiguïté. Nous la présenterons», a-t-il ajouté.
11h11: Les négociations vont commencer à 21h30 ce soir, heure française. Le sommet entre Donald Trump et Vladimir Poutine doit commencer par une discussion en tête à tête, avant de se poursuivre autour d’un déjeuner d’affaires, et de se conclure, si tout se passe bien, par une conférence de presse commune.
#FLASH Rencontre #Trump-#Poutine : Le ministre russe des Affaires étrangères, #Sergueï_Lavrov, est arrivé en #Alaska pour des discussions entre les #États_Unis et la #Russie au sujet de la guerre en #Ukraine.#RussianUkrainianWar #UkrainianRussianWar #Moscow #Washington #Kiev… pic.twitter.com/LG795Ufx6s
— Le Monde en 24h (@c_lemondeen24h) August 15, 2025
08h50: Donald Trump et Vladimir Poutine décident aujourd'hui de l'avenir de l'Ukraine, à l'autre bout du monde, en Alaska. À croire le président américain ce sera tout ou rien. Il se fait fort de savoir en "cinq minutes" maximum si sa première rencontre en personne depuis 2019 avec le président russe sera un fiasco, ou si elle permettra d'esquisser une issue au plus sanglant conflit en Europe depuis la Seconde guerre mondiale.
Si tout se passe bien Donald Trump, qui se rêve en lauréat du prix Nobel de la paix, assure que "cette rencontre va ouvrir la voie à une autre", à trois, incluant cette fois Volodymyr Zelensky. Il a laissé entendre que ce sommet tripartite pourrait se tenir très rapidement, et également en Alaska, lieu symbolique s'il en est.
Le président ukrainien et les dirigeants européens en seront réduits à attendre que l'imprévisible président américain, comme il s'est engagé, les informe de la teneur de son tête-à-tête avec Vladimir Poutine.
Vladimir Poutine "a aujourd'hui l'occasion d'accepter un cessez-le-feu" en Ukraine, a souligné à quelques heures de la rencontre le chancelier allemand Friedrich Merz, pour qui "le président Trump peut maintenant accomplir un pas significatif vers la paix". La réunion doit débuter vendredi vers 19h30 GMT, a précisé le Kremlin.
Le tête-à-tête des deux hommes sera suivi par un repas de travail, avec leurs conseillers.
Les présidents russe et américain donneront ensuite une conférence de presse, la première depuis une apparition commune devant les caméras en 2018 à Helsinki, restée dans les mémoires comme un moment de connivence.
Pour Kiev et l'Europe, le pire scénario serait que Donald Trump, depuis toujours fasciné par l'exercice autoritaire du pouvoir de Vladimir Poutine, se laisse convaincre de redessiner la carte de l'Ukraine selon la volonté de Moscou.
poutine donald trump donald trump vladimir poutine ukraine
Vos réactions
Soutien inconditionnel à Zelensky le héros !
Slava oukraini !
Je suis ni pro-Zelensky ni pro-Poutine, mais mieux vaut éviter la désinformation et les ragots : cherche "zelensky est-il cocaïnomane ?" sur internet
Et toi, cherche "bro is high as fuck" sur X.
Même ses anciens chefs d'état-major l'ont balancé.
Il va expliquer au cocaïnomane de Kiev les termes de sa reddition mdr
Victoire totale des mâles alpha blancs.
Je suis ni pro-Zelensky ni pro-Poutine, mais mieux vaut éviter la désinformation et les ragots : cherche "zelensky est-il cocaïnomane ?" sur internet
Il va expliquer au cocaïnomane de Kiev les termes de sa reddition mdr
Victoire totale des mâles alpha blancs.
Une saloperie
La capitulation totale c'est la paix
Mais Zelensky et sa cour craignent qu'ensuite ce soit leur jugement de Nuremberg, le jugement de Donetsk, avec des russes et des ukrainiens du Donbass comme procureurs spéciaux.
Complètement lunaire cette conf de presse...
un névrosé introverti et un inculte vulgaire.
ça me fait penser à nos députés LFI, ça
Tapis rouge et flatteries à gogo pour l'Ukrainien ? hum... un doute.
Trump n'impose rien. Il essaie de négocier un plan avec Poutine. Ensuite si les Ukrainiens refusent il prendra ses billes et débrouillez-vous. Il est donc dans son droit puisque ce plan ne sera qu'une proposition pas une obligation. Il faut arrêter de se faire manipuler par les macronistes ou BFM !
Complètement lunaire cette conf de presse...
un névrosé introverti et un inculte vulgaire.
C'est un pays ultra corrompu où règnent les mafias et les apparatchiks.
L'indépendance acquise ils n'en ont rien fait si ce n'est piller la région la plus riche qu'etait la Crimée, puis à partir de fin 2014 se faire la guerre entre eux avec le maidan sanglant et l'holocauste d'odessa.
En 2022 ils s'apprêtaient à génocider le donbass qu'ils bombardaient depuis des années, quand la Russie a finalement décidé de les empêcher et de reprendre les choses en main.
Vous parlez bien de la France ?!!!!!
Et ils font quoi maintenant les deux puissants sous-marins nucléaires déployés sur l'ordre de Trump à coté de la Russie (comme si les snle se déplaçaient d'un coup de téléphone) pour menacer Poutine s'il n'acceptait pas de cessez-le-feu ?
ils n'ont toujours pas rompu le silence radio ?
On devrait interdire d'illustrer un article soi-disant journalistique avec une image générée par IA !
Macron même pas convoqué pour servir ou faire la vaisselle !!!
Mon IA a dit.
Au secours.
Bon, bein, les morts, eux ne son pas virtuels.
C'est un pays ultra corrompu où règnent les mafias et les apparatchiks.
L'indépendance acquise ils n'en ont rien fait si ce n'est piller la région la plus riche qu'etait la Crimée, puis à partir de fin 2014 se faire la guerre entre eux avec le maidan sanglant et l'holocauste d'odessa.
En 2022 ils s'apprêtaient à génocider le donbass qu'ils bombardaient depuis des années, quand la Russie a finalement décidé de les empêcher et de reprendre les choses en main.
Cette thèse est clairement une construction narrative politique, très chargée idéologiquement et reposant sur un mélange de faits partiels, d’omissions importantes et d’affirmations contestées ou fausses. Voici une analyse point par point :
1. Ton et intention généraleLe texte utilise un vocabulaire très connoté : « ultra corrompu », « mafias », « apparatchiks », « holocauste d’Odessa », « génocider », « reprendre les choses en main ». Ces termes ne sont pas neutres : ils servent à provoquer une réaction émotionnelle, pas à établir une argumentation fondée sur des données vérifiables. On est dans le registre de la propagande ou du pamphlet, non dans une démonstration académique.
2. Corruption et pouvoir en UkraineFait partiellement vrai : l’Ukraine a connu et connaît encore un problème de corruption systémique, documenté par Transparency International et d’autres observateurs.
Biais : cette caractérisation, sans nuance, gomme le fait que beaucoup de pays post-soviétiques, y compris la Russie, ont connu des niveaux élevés de corruption après 1991, et que l’Ukraine a entrepris des réformes anticorruption surtout après 2014.
3. Crimée comme « région la plus riche » et son pillageContestable : la Crimée n’était pas la région économiquement la plus prospère d’Ukraine avant 2014 ; des régions comme Kiev ou le Donbass industriel étaient plus productives en termes de PIB.
Narratif pro-russe : l’idée d’un « pillage » par Kiev est une thèse souvent relayée par les médias russes, mais il n’existe pas de consensus académique sur ce point.
4. Maïdan et « guerre entre eux »Réduction abusive : la Révolution de Maïdan (2013-2014) est présentée ici comme un simple conflit interne mafieux, alors que les causes incluaient un large mouvement populaire en faveur d’un rapprochement avec l’UE et contre la corruption.
Manipulation terminologique : l’« holocauste d’Odessa » fait référence à l’incendie meurtrier de la Maison des syndicats à Odessa le 2 mai 2014, où 42 personnes pro-russes sont mortes. Ce drame est souvent utilisé par la propagande russe comme un massacre planifié par Kiev, mais les enquêtes internationales n’ont pas conclu à un plan prémédité par le gouvernement ukrainien.
5. « Génocide » du DonbassAccusation infondée : aucun organisme international (ONU, OSCE, CPI) n’a qualifié la situation dans le Donbass de génocide.
Faits réels : il y a eu un conflit armé entre forces ukrainiennes et séparatistes soutenus par la Russie depuis 2014, avec bombardements et pertes civiles des deux côtés.
Narratif pro-Kremlin : présenter l’offensive russe de 2022 comme une action « pour empêcher un génocide » correspond au discours officiel de Moscou, mais n’est pas corroboré par les enquêtes indépendantes.
6. Rôle de la RussieInversion des responsabilités : le texte décrit l’intervention russe comme une « reprise en main » légitime, occultant le fait que la Russie a violé la souveraineté et l’intégrité territoriale de l’Ukraine, en contradiction avec le droit international et ses propres engagements (Mémorandum de Budapest, 1994).
Les agressions militaires, annexions et ingérences depuis 2014 ne sont pas mentionnées.
7. Conclusion sur la structure argumentativeCe texte :
Relève de la rhétorique propagandiste (glossaire émotionnel, absence de sources, omission des faits gênants, amplification d’autres)
S’aligne sur le narratif officiel russe post-2014, surtout pour justifier l’invasion de 2022.
Ignore les données contradictoires et le consensus historique ou juridique international.
C'est un pays ultra corrompu où règnent les mafias et les apparatchiks.
L'indépendance acquise ils n'en ont rien fait si ce n'est piller la région la plus riche qu'etait la Crimée, puis à partir de fin 2014 se faire la guerre entre eux avec le maidan sanglant et l'holocauste d'odessa.
En 2022 ils s'apprêtaient à génocider le donbass qu'ils bombardaient depuis des années, quand la Russie a finalement décidé de les empêcher et de reprendre les choses en main.
Personne ne veut la paix ! C'est une mystification médiatique
Poutine veut la sécurité : démilitarisation totalement toute l'Ukraine, et avoir un gouverneur fantoche ami de la Russie (comme autrefois Erich Honecker, ou Ceaucescu) à la tête de ce qui restera de l'Ukraine; un pouvoir qui ne nuira jamais à la Russie. (le plus sûr serait de TOUT prendre, mais cela couterait les yeux de la tète de remettre aux normes 2025 ce pays qui en est resté aux normes existantes sous Brejnev. Kiev a laissé tout se délabrer depuis son indépendance vers 1991)
Zelensky veut récupérer ses territoires perdus, frapper les villes russes et rester au pouvoir
Trump veut pouvoir faire tourner à fond ses usines d'armement et montrer qu'il est le grand chef d'Orchestre.
@Touché01 c’est dingue de lire autant de conneries ! L’Ukraine n’est pas le tiers-monde, loin de là ! Les ukrainiens sont des gens instruits, hautement qualifiés dans des métiers pointus et, une fois la langue dans le pays où ils se sont réfugiés acquises, ils font le bonheur de bien des employeurs. Avant la guerre de poutine, ils vivaient dans un pays libres, ils y étaient heureux et n’étaient absolument pas une menace pour la Russie ! Je vivais dans ce pays depuis 2 ans avant que le zinzin du Kremlin décide qu’il fallait que l’Ukraine revienne dans son giron ! Quelle tristesse !
Les anglo-saxons seront les vainqueurs.
Y-compris les Anglais qui auront poussé les Ukrainiens.
Les vrais perdants seront les morts et leurs familles.
Zelensky est un héros, quelle honte pour Trump !
Slava Oukraini !
C 'est complexe !!! Est ce que Trump va arriver à obtenir la paix ????
Personne ne veut la paix ! C'est une mystification médiatique
Poutine veut la sécurité : démilitarisation totalement toute l'Ukraine, et avoir un gouverneur fantoche ami de la Russie (comme autrefois Erich Honecker, ou Ceaucescu) à la tête de ce qui restera de l'Ukraine; un pouvoir qui ne nuira jamais à la Russie. (le plus sûr serait de TOUT prendre, mais cela couterait les yeux de la tète de remettre aux normes 2025 ce pays qui en est resté aux normes existantes sous Brejnev. Kiev a laissé tout se délabrer depuis son indépendance vers 1991)
Zelensky veut récupérer ses territoires perdus, frapper les villes russes et rester au pouvoir
Trump veut pouvoir faire tourner à fond ses usines d'armement et montrer qu'il est le grand chef d'Orchestre.
C 'est complexe !!! Est ce que Trump va arriver à obtenir la paix ????
La taille et les rangs élevés de la délégation russe ne se comprend que si la Russie vise haut.
Il y a des accords sur les armes nucléaires qui ont besoin d’une mise à jour et d’un renouvellement. Il existe des possibilités de développement dans l’Arctique et d’autres aspects économiques où les deux parties pourraient gagner.
En fait il n’y aura sans doute pas de décisions sur la guerre en Ukraine.
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