09/07 19:42

Incendie monstre à Marseille - "Le feu est fixé", annonce la préfecture - D’"origine accidentelle" , il a été causé par "un véhicule qui s’est enflammé en roulant" (Parquet)

19h41: Météo-France indique que le "risque d'incendies diminue progressivement, mais reste élevé ces prochains jours" sur le pourtour méditerranéen.

 

 

17h20: Le violent incendie qui a touché le nord de Marseille mardi, dopé par une longue canicule et un mistral violent, est désormais "fixé" après avoir parcouru 750 hectares et détruit ou endommagé de nombreuses maisons, laissant leurs habitants face à des scènes de désolation.

"Le feu est fixé", a déclaré à 16H00 la préfecture des Bouches-du-Rhône, soulignant que cela signifiait qu'il "n'évolue plus" mais pas que "les interventions sont terminées".

Dans la montée de l'Estaque, face à la Méditerranée, dans le nord de Marseille, une voiture est calcinée et deux maisons entièrement brûlées. Dans un jardin, trois vélos, dont une minuscule bicyclette d'enfant, ont été tordus par la chaleur.

Joëlle Marrot, 78 ans, habitante du quartier de La Pelouque, à l'Estaque, vient tout juste de revenir à sa maison et elle "découvre les dégâts": "Il y a un côté qui a brûlé", mais "je vois la maison qui est là (à côté), elle est toute brûlée, il n'y a plus de toit, c'est horrible", se désole-t-elle.

"Quand on a vu que le feu approchait, on a fait descendre ma belle-mère de 93 ans, chez mon frère, dans le bas de l'Estaque", raconte Dominique Russo, 59 ans, qui venait de finir de rénover la maison familiale.

Jusqu'à 2H00, il a arrosé sa maison et son terrain en utilisant des seaux et en finissant avec l'eau du bassin des poissons rouges.

Résultat: le feu a seulement brûlé un volet et une fenêtre. Mais, à l'intérieur, le salon et les placards sont noirs de suie, le climatiseur fondu et le sol est jonché de verre.

Habitants aux Pennes-Mirabeau, commune au nord de Marseille d'où l'incendie était parti mardi matin, Philippe Landreat, sa compagne et sa belle-fille ont dû passer la nuit dans une salle polyvalente après avoir évacué leur maison, finalement épargnée par les flammes. Mais ils ont eu peur. "Après des trucs comme ça, on dort très peu", souffle-t-il.

"C'est un massacre (...), c'est allé super vite", déplore Thierry Heraud, premier riverain touché par l'incendie, parti d'une voiture en feu sur l'autoroute en contrebas de sa villa.

Cette origine accidentelle du sinitre a été confirmée mercredi après-midi par le procureur de la République d'Aix-en-Provence, Jean-Luc Blachon. Le feu a été causé par "un véhicule qui s'est enflammé en roulant" sur l'autoroute A55, a-t-il insisté auprès l'AFP, pour démentir des rumeurs.

Malgré la violence et la rapidité des flammes, aucune victime humaine n'était signalée mercredi matin. Une quarantaine de personnes ont été traitées par les secours, la plupart incommodées par les fumées, ainsi que 28 pompiers et 26 policiers, selon la préfecture. Côté bilan matériel, 70 maisons ont été "atteintes" et 10 totalement détruites.

Quelque 400 personnes au total ont été évacuées face à cet incendie, dont les 71 résidents d'un Ehpad aux Pennes-Mirabeau. Parmi elles, 250 personnes ont rejoint les différents centres d'hébergement selon les derniers chiffres de la préfecture en fin de matinée.

Si le ciel est redevenu bleu mercredi et l'odeur de brûlé s'est enfin dissipée dans le centre de Marseille, les autorités craignent toujours une reprise des bourrasques de mistral.

Ces feux virulents en tout début d'été inquiètent, alors que le mois de juin a été le plus chaud jamais enregistré en Europe de l'Ouest, selon l'institut européen Copernicus. "Il y a tout lieu de penser qu'on va vers un été à haut risque", a averti mardi soir le ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau, à Marseille.

Sous l'effet du changement climatique, ces événements météorologiques extrêmes devraient en effet se multiplier, alertent les scientifiques. Mardi, les pompiers des Bouches-du-Rhône sont intervenus à 40 reprises sur des départs de feu, un chiffre "exceptionnel", six fois plus élevé qu'en moyenne.

Interrompu mardi après-midi, avec plus de 110 vols annulés, le trafic à l'aéroport d'Aix-Marseille Provence, le quatrième français en nombre de passagers, a repris.

Les autoroutes autour de la deuxième ville de France ont également rouvert. Si la circulation des trains à grande vitesse à Marseille a repris depuis 06H00, le trafic TER vers le nord restait interrompu et la Côte bleue non desservie.

A l'autre bout du littoral méditerranéen, près de Narbonne, dans l'Aude, département touché par trois feux de forêt en une semaine, un incendie ayant parcouru au moins 2.000 hectares de forêt depuis lundi reste toujours actif mercredi mais ne présente plus de risque pour les zones habitées.

"Le feu ne menace plus d'habitations", même s'il n'est "pas fixé, ni maîtrisé. On travaille encore dessus, mais avec une intensité moindre que ces derniers jours", a précisé le préfet de l'Aude Christian Pouget.

Dans l'Hérault, l'incendie de Castelnau-de-Guers, qui avait entraîné la fermeture temporaire mardi de l'autoroute A9 entre Sète et Agde, a été "fixé" vers 05H00 mercredi, après avoir brûlé 400 hectares de végétation. Quant à celui de Montdardier, dans le Gard, il a également été déclaré "maîtrisé" mercredi, après avoir parcouru 500 hectares.

16h39: Le violent incendie qui a parcouru 750 hectares depuis mardi entre Les Pennes-Mirabeau et Marseille « est d’origine accidentelle », confirme le parquet d’Aix-en-Provence. Il a été causé par « un véhicule qui s’est enflammé en roulant ».

L’automobiliste roulait « sur l'A55, sur la bretelle en direction de l'A7, quand il a vu de la fumée blanche qui émanait du capot. Il s’est immédiatement arrêté sur la bande d’arrêt d’urgence, est descendu et il a vu des flammes sous le capot. Il s’est mis en sécurité derrière la glissière, a appelé immédiatement les pompiers et a attendu les secours ».

« La voiture a ensuite entièrement pris feu et, avec le vent, le feu s’est propagé à la végétation à proximité », a expliqué le procureur.

16h04: La préfecture des Bouches-du-Rhône annonce que le feu à Marseille est fixé.

13h39: «Le feu n’est pas éteint mais continue de régresser, il ne progresse plus. Les lisières restent cependant actives et mobilisent toujours de nombreuses équipes », indique les autorités dans leur bilan de mi-journée.

13h20: Dans un message posté sur X, les forces de l'ordre indiquent qu'au plus fort de l'incendie, 330 policiers ont été mobilisés dans la cité phocéenne, notamment sur des "missions de circulation, d'évacuation de personnes et de prévention des vols".

 

 

10h55: La préfecture de la région PACA fait le point sur la situation :

"L'incendie qui s'est déclaré hier matin sur la commune des Pennes-Mirabeau, qui rapidement progressé vers le nord de la ville de Marseille est en régression.

Les habitants du 16ème arrondissement de Marseille et des Pennes-Mirabeau ne sont plus confinés depuis le début de la matinée.

A cette heure, le feu a parcouru 750 hectares et a mobilisé plus de 800 pompiers et marins-pompiers, appuyés par le groupe forestier du Conseil départemental des Bouches-du-Rhône, les réserves communales de sécurité civile, 250 engins et des moyens aériens massifs : 6 canadairs, 2 Dash, 7 hélicoptères bombardiers d'eau (HBE) : 2 lourds et 5 HBE légers.

Le bilan victimaire est le suivant :

- 249 personnes ont été reçues au point de rassemblement des victimes : 206 indemnes, 43 en urgence relative dont 16 transportées vers les centres hospitaliers de proximité.

- 28 pompiers dont 11 du BMPM et 17 des SDIS sont légèrement blessés, dont 6 transportés.

- 26 policiers ont été légèrement blessés, essentiellement pour des inhalations de fumées, dont deux transportés.

Le bilan matériel est le suivant: 71 bâtiments impactés, dont 68 habitations, parmi lesquelles 10 détruites. Deux entrepôts et une quinzaine de véhicules ont également été touchés. Il s'agit un bilan provisoire sous réserve des reconnaissances qui se poursuivent.

Le préfet des Bouches-du-Rhône, le maire de Marseille, le maire des Pennes-Mirabeau et la présidente de la Métropole Aix-Marseille-Provence et du Conseil départemental des Bouches-du-Rhône, sont mobilisés pour l'accompagnement des victimes. Une réunion se tiendra demain en préfecture pour préparer le déploiement des dispositifs de soutien portés par les collectivités locales et l'État."

 

10h37 : Le point sur la situation :

Le violent incendie qui a menacé Marseille mardi, dopé par une longue canicule et un mistral violent, est en "très nette régression" mercredi matin, selon le préfet, même s'il n'est toujours pas fixé, et la phase d'évaluation des dégâts a commencé, avec au moins 10 maisons détruites.

"Le feu est en très nette régression mais il est évident que sur un feu aussi impactant, sur autant de surface, il peut y avoir de nouveaux départs, des sauts, des fumerolles", a insisté le préfet des Bouches-du-Rhône, Georges-François Leclerc, lors d'un point presse au PC sécurité installé dans les quartiers Nord à Marseille.

"La progression du feu est arrêtée, nous sommes à 750 hectares" touchés, a ajouté le vice-amiral Lionel Mathieu, chef du bataillon des marins-pompiers de la deuxième ville de France. Et 700 pompiers sont toujours mobilisés.

A ce stade, 70 maisons ont été "atteintes" et 10 ont été totalement détruites et "nous sommes en train de réfléchir ensemble, dès que nous aurons le bilan bâtimentaire, à une aide aux victimes", a indiqué le préfet.

Face à cette amélioration, les 15.000 habitants du 16e arrondissement ont été déconfinés tôt dans la matinée. Ils avaient été confinés mardi vers 16h00 alors que le feu arrivait sur leur quartier, tous prévenus sur leurs téléphones par le système FR.alert.

Plus tôt mercredi, les autorités avaient évoqué une "réactivation du feu" dans la nuit du côté des Pennes-Mirabeau, cette commune limitrophe de Marseille au nord, d'où était parti mardi en fin de matinée cet incendie, après un feu de véhicule.

Si le ciel est redevenu bleu mercredi matin dans la cité phocéenne, une odeur de brûlé persiste. Le mistral s'est considérablement calmé mais les autorités craignent une reprise des bourrasques à la mi-journée.

Aucune information sur la qualité de l'air n'était disponible mercredi, en raison de "l'évacuation du centre de données", indique AtmoSud.

Le panache de fumée dégagé avait provoqué la veille une concentration en particules fines dix fois supérieure aux normes sur Marseille et s'étendait en mer sur une centaine de kilomètres, selon les images satellites.

Et un vent de panique avait gagné le nord de la ville: "J'ai essayé d'éteindre au maximum le feu dans le jardin, les haies et compagnie. Et bon, quand j'ai réussi à éteindre, j'ai vu que la maison de mon voisin prenait feu. Avec la chaleur, je ne pouvais plus rester. Donc, je me suis complètement arrosé, j'ai pris ma voiture et je suis descendu", a témoigné auprès de l'AFPTV Djamel Yahiaoui, retraité de 56 ans habitant l'Estaque.

Ces feux virulents dans le sud du pays en tout début d'été inquiètent.

"Il y a tout lieu de penser qu'on va vers un été à haut risque", avait averti Bruno Retailleau mardi soir, à Marseille. 400 personnes au total ont été évacuées face à cet incendie, dont les 71 résidents d'un Ehpad aux Pennes-Mirabeau, selon le ministre de l'Intérieur.

De fait, les conditions météo, canicule et végétation desséchée, rendent ce début d'été particulièrement dangereux: rien que mardi, les pompiers des Bouches-du-Rhône sont intervenus à 40 reprises sur des incendies ou départs de feu mardi, un chiffre "exceptionnel", six fois plus élevé qu'en moyenne.

Le ministre a appelé au civisme, rappelant que neuf incendies sur dix sont d'origine humaine.

Interrompu mardi après-midi, avec plus de 110 vols annulés, le trafic à l'aéroport d'Aix-Marseille Provence, le quatrième français en nombre de passagers, situé sur l'étang-de-Berre, à Marignane, a repris partiellement sans la soirée.

Et la reprise totale des vols a été décidée mercredi matin. Mais la situation pourrait évoluer en fonction des besoins aériens à mettre en place, a précisé la porte-parole de l'aéroport.

Sur la route, le trafic doit également reprendre dans la matinée sur l'A55, en direction de Marseille, et c'est "en prévision" dans l'autre sens.

Sur l'autoroute A7, vers Aix-en-Provence et Lyon, "deux voies devraient être sanctuarisées pour les secours dans le sens Lyon Marseille", avait précisé dans la matinée la préfecture des Bouches-du-Rhône.

La circulation des trains à grande vitesse à Marseille a repris depuis 06h00, mais le trafic TER sur la ligne Marseille-Miramas est toujours interrompu jusqu'à midi par la Côte bleue et Rognac.

A l'autre bout du littoral méditerranéen, près de Narbonne, dans l'Aude, département touché par trois feux de forêt en une semaine, plus d'un millier de pompiers venus de toute la France continuent de lutter contre l'incendie qui a parcouru au moins 2.000 hectares de forêt depuis lundi.

Là aussi le feu, parti d'un domaine viticole des Corbières, s'est très vite propagé, sur une végétation desséchée et sous l'effet d'un vent soufflant jusqu'à 90 km/h.

Dans l'Hérault, l'incendie de Castelnau-de-Guers, qui avait entraîné la fermeture temporaire mardi de l'autoroute A9 entre Sète et Agde, a été fixé vers 05h00 mercredi. Celui de Montdardier (Gard), qui a parcouru 500 hectares, n'est pas encore maîtrisé, selon les pompiers.

10h28: Le gouvernement cherche à "sanctuariser des nouveaux moyens" contre les incendies, notamment sur l'équipement en Canadair, a déclaré la porte-parole Sophie Primas sur RTL.

"On a commandé deux Canadair et je souhaite qu'on puisse en commander deux nouveaux", a déclaré hier le ministre de l'Intérieur, en déplacement à Marseille.

 

 

10h04: "Nous n'avons pas de feu virulent en l'état actuel", a déclaré le commandant du bataillon des marins-pompiers de Marseille ce mercredi matin, avant de poursuivre : "Nous sommes en train de réduire chacun de ces feux un par un."

09h57: Des policiers municipaux et nationaux ont été pour certains "légèrement blessés" lors de leur intervention sur les incendies mardi, a déclaré le préfet des Bouches-du-Rhône Georges-François Leclerc.

09h55: Les habitants des Pennes-Mirabeau sont à leur tour déconfinés, annonce la préfecture de région.

 

 

09h12:  Le préfet des Bouches-du-Rhône fait le bilan de l'incendie qui est en "très nette régression". Soixante-dix maisons ont été atteintes par le feu et dix maisons ont été détruites.

09h10: A Marseille, les pompiers s'attendent à "un retour du vent dans l'après-midi, même s'il sera modéré par rapport à hier", détaille le vice-amiral Lionel Mathieu, qui précise que 750 hectares ont été "incendiés".

07h47: LA Préfecture annonce que ; "Les habitants du 16ème arrondissement de Marseille sont déconfinés. Il est encore trop tôt pour que les personnes évacuées hier regagnent leur domicile."

 

07h36: La circulation des trains à grande vitesse doit reprendre à Marseille ce matin après une interruption liée aux violents incendies. Le premier TGV de la matinée, prévu à 5 h 18 pour Paris, a cependant été annoncé avec un retard de 35 minutes lié à des « difficultés de préparation », selon le tableau des départs en ligne de la gare de Marseille. Sur la ligne classique, les circulations restent interrompues ce matin entre Marseille et Miramas, en direction d’Avignon (au nord-ouest), « le temps de finaliser les vérifications et remises en état mercredi matin », a précisé la SNCF.

Les trains locaux allant dans cette direction étaient annulés ce matin, l’heure de reprise était estimée à midi. À l’aéroport de Marseille-Provence, le trafic a aussi été suspendu mardi après-midi en raison de l’incendie mais a repris partiellement à la tombée de la nuit.

07h25: La présidente de la métropole d’Aix-Marseille-Provence, Martine Vassal confirme que des «pillages» ont été constatés «dans les logements évacués du quartier de l’Estaque», au nord de Marseille.

07h12: Un chiffre inquiétant pour la journée est révélé par le Figaro. Quarante départs de feux ont été constatés dans le département depuis minuit, indique une source au sein des pompiers des Bouches-du-Rhône.

 

06h30: Le point en direct - Le feu s’est déclaré ce mardi en bordure d’autoroute aux Pennes-Mirabeau, dans les Bouches-du-Rhône, et s’est dirigé à grande vitesse vers la Cité phocéenne- L'incendie a poursuivi sa progression cette nuit. Plus de 110 personnes ont été légèrement blessées a indiqué hier le ministre de l'Intérieur à son arrivée dans la ville. La circulation des trains est impactée aujourd'hui encore et l'aéroport 

Du côté du trafic ferroviaire, la circulation des trains reste interrompue sur la ligne Paris-Marseille, qui traverse en sortie de ville des zones touchées par l'incendie, et le trafic des trains à la gare de Marseille restera "très impacté" mercredi, a averti la SNCF. "La gare de Marseille n'est pas fermée" et "les circulations sont maintenues en train régional vers Nice-Vintimille et Aix-Ville", selon le dernier point de situation diffusé à 19h30 mardi.

Cependant, "il n'y aura aucun train grandes lignes Paris-Marseille-Toulon-Nice ce (mardi) soir et cette nuit" de mardi à mercredi, a ajouté la SNCF. Du côté des avions 54 vols ont été annulés et 14 autres déroutés,. Cette "reprise partielle" va permettre de "faire partir et arriver les avions prévus en fin de soirée, ainsi que quelques vols aux fins de régulation", a indiqué à l'AFP le service de communication du quatrième aéroport de France.

"Pour la journée de mercredi, la situation sera réévaluée en fonction de l'évolution de l'incendie", a indiqué l'aéroport, qui "conseille aux passagers de consulter le site de l'aéroport ou de se rapprocher de leur compagnie aérienne avant de se déplacer".

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Vos réactions

Portrait de bergil
9/juillet/2025 - 18h08

Véhicule électrique ?

Portrait de Touché01
9/juillet/2025 - 09h46

l'incendie qui est en "très nette régression"

Mais les médias font leur maximum pour faire durer l'évènement.

Portrait de Malaleche
9/juillet/2025 - 09h26
L'Iclownoclaste a écrit :

les pillages existent depuis la nuit des temps

Dans le tiers-monde en effet.

Portrait de Yeto
9/juillet/2025 - 09h00

Mais comment ont été élevés ces connards (peut-on les appeler autrement !) qui profitent du malheur des autres... ??? On en vient à se demander QUI a mis le feu... cela devient insupportable...

 

Portrait de scorpionne72
9/juillet/2025 - 08h54

Jouir du malheur des autres et piller j'ai du mal à comprendre ca, j'avoue ... les gens sont limite en train de perdre leur maison dans les heures ou jours à venir et toi tu penses à aller voler , abjecte 

Portrait de Amandecroquante
9/juillet/2025 - 08h36

on nous dit toujours qu"avant ce n"etait pas mieux. mais est ce qu"avant il y avait des pillages lors des incendies?

Portrait de Touché01
9/juillet/2025 - 08h09

Si la ville n'a pas cramé durant la nuit malgré l'absence des largages d'eau (en raison de l'obscurité) c'est que l'incendie est bien terminé. 

Portrait de shermancrow
9/juillet/2025 - 07h53

Des pillages...ces gens meritent de crever dans d'affreuses souffrances, et si on peut y foutre leur descendance par précaution...