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Pierre Ménès s'en prend une nouvelle fois à la journaliste Marie Portolano, l'accusant de mentir et d'avoir "brisé sa vie" en racontant les agressions dont elle aurait été victime - Regardez

Pierre Ménès s'en prend une nouvelle fois à la journaliste Marie Portolano, l'accusant de mentir et d'avoir "bisé sa vie" en racontant les agressions dont elle aurait été victime. Le journaliste sportif était invité de Sasha Elbaz dans l'émission sur les réseaux sociaux intitulée "La baze". 

Face à Sarah Barukh, écrivaine et femme engagée contre les violences, le ton va monter avec Pierre Ménès, alors que celle-ci va lui faire remarquer qu'il est le seul responsable de ce qui lui arrive. Des propos inaudibles pour l'ancien journaliste sportif, qui va alors affirmer qu'il n'y a aucune preuve et aucun témoin des propos et des accusations de la journaliste Marie Portolono.

En décembre 2024, l'ex-chroniqueur de Canal+ avait annoncé porter plainte contre la journaliste Marie Portolano pour diffamation. Il l'accusait déjà d'avoir menti dans deux extraits de son livre Je suis la femme du plateau, publié en 2024, dans lequel elle évoque les agressions dont elle a été victime.

"Trois ans après avoir brisé ma carrière avec son documentaire [Je ne suis pas une salope, je suis une journaliste], elle a décidé de faire un livre", dans lequel "elle consacre quatre pages et demie à cette histoire, sans me citer", déplore-t-il.

Pierre Ménès avait quitté Canal+ à l'été 2021 après les révélations de Marie Portolano dans son film traitant du sexisme dans le milieu du journalisme sportif.

"Mon avocat a isolé huit cas de diffamation, j'en ai choisi deux : le premier, c'est quand elle dit que j'ai avoué lui avoir soulevé la jupe, ce qui est un mensonge", dénonce le journaliste sportif.

Marie Portolano l'a accusé d'avoir soulevé sa jupe et de lui avoir touché les fesses, hors antenne et devant le public de l'émission "Le Canal Football Club", en 2016.

"Le deuxième, c'est qu'elle dise que j'avais un droit de cuissage sur les filles et femmes qui travaillaient avec moi, avec la bénédiction de mes patrons", détaille le journaliste sportif.

Après la sortie de ce documentaire, Canal+ avait mené une enquête interne, au cours de laquelle sept personnes avaient dénoncé des faits de "harcèlement sexuel" commis par Pierre Ménès.

L'Inspection du travail avait alors transmis un signalement au parquet de Nanterre, qui avait décidé, en janvier 2022, d'ouvrir une enquête contre le célèbre journaliste sportif.

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Vos réactions

Portrait de Frederico
7/juillet/2025 - 15h24
L' iclownoclaste a écrit :

Ha ça c’est sûr, vos arguments sont inébranlables… surtout parce qu’ils ne reposent sur rien, donc rien ne peut les faire tomber, vous démontrez que vous avez mené une enquête approfondie sur Facebook et deux vidéos YouTube: une logique si implacable qu’elle défie même les lois de la raison — et du bon sens. Chaque mot est un chef-d’œuvre de simplification audacieuse.

Vraiment, Socrate peut aller se rhabiller.

Merci pour l’ironie, bien tournée mais vide. Beaucoup d’effets, pas grand-chose derrière. Vous confondez moquerie et réflexion, mais je vous en veux pas : c’est plus simple de faire de l’esprit que d’argumenter. Socrate peut dormir tranquille, vous ne risquez pas de le déranger

Portrait de Frederico
7/juillet/2025 - 13h14
L' iclownoclaste a écrit :

Si vous le dites, c’est que ça doit forcément être vrai — après tout, l’expertise est désormais validée à coups de certitudes hurlées. En effet on n'a pas  besoin d’arguments quand on peut simplement avoir raison par le ton employé ? Votre avis éclairé, est une vraie bouffée d’air… vicié. On sent bien que la nuance, c’est pour les faibles. Continuez comme ça, le prix Nobel du bon sens vous tend les bras — ou vous les claque au passage hein ? !!!

Classique : quand on n’aime pas ce qu’on entend, on s’attaque à la façon de le dire. Je comprends, c’est plus simple de sortir la carte de la "nuance" quand on n’a pas vraiment d’argument solide. Mais dire les choses clairement, ce n’est pas un excès, c’est juste refuser de tourner autour du pot 

Portrait de Frederico
7/juillet/2025 - 10h51
L' iclownoclaste a écrit :

Ça relève d’une imagination fertile, voire de la diffamation, mais pourquoi s’arrêter à la vérité quand le mensonge est tellement plus divertissant ? Inventer des faits, c’est un vrai talent,  artistique, surtout quand on essai de faire passer les ragots de cul de basse fosse pour des révélations. Il faut etre en admiration de cette capacité à confondre rumeurs de comptoir du café du commerce et enquêtes d’investigation.

À un tel niveau, c’est plus de la mauvaise foi, c’est de la performance. Bib oui, qui a besoin de preuves quand on a autant de conviction dans la calomnie hein ?

Marie Portolano a longtemps évolué dans un milieu sexiste sans jamais dénoncer ces comportements, son silence contribuant à les perpétuer. Son documentaire, sorti au moment de son départ de Canal+, n’était qu’un coup de com’ pour redorer son image et préparer sa reconversion vers M6. Elle a attendu le bon moment pour jouer la victime et exploiter le féminisme à ses propres fins, sans jamais s’engager concrètement après. Loin d’être une militante sincère, elle est surtout une opportuniste calculatrice

Portrait de Frederico
7/juillet/2025 - 10h16

Marie Portolano, c’est l’arriviste déguisée en victime. Elle a profité du système tant qu’il l’arrangeait, puis l’a flingué en direct quand ça devenait bon pour son image. Son féminisme, c’est du marketing bien huilé : zéro courage, zéro combat, juste une manœuvre pour changer de costume et grimper plus haut