Emmanuel Macron 
Le ministre de l'Intérieur réunit aujourd'hui les principaux entrepreneurs des cryptomonnaies pour "travailler à leur sécurité", après une tentative d'enlèvement et plusieurs séquestrations qui font dire à l'un des pontes du secteur que "réussir en France, c'est se mettre une cible dans le dos".
"Je réunirai à Beauvau les entrepreneurs, il y en a quelques-uns en France, qui sont dans ces cryptomonnaies, pour que, avec eux, on travaille à leur sécurité" et "pour qu'ils soient conscients aussi des risques", a assuré, mercredi, Bruno Retailleau sur Europe 1/CNews.
"Il faut qu'on prenne ensemble des mesures pour les protéger. Mais les commanditaires, où qu'ils soient – peut-être même à l'étranger –, on les retrouvera", a-t-il encore promis.
Ces derniers mois, plusieurs dirigeants de sociétés spécialisées dans les cryptomonnaies, ainsi que leurs proches, ont été ciblés. La dernière tentative d'enlèvement, avortée mais spectaculaire, mardi en pleine rue à Paris, a visé la fille et le petit-fils du PDG de la plateforme d'échange Paymium.
Emmanuel Macron journaliste garde à vue Léa Salamé aymeric caron
Vos réactions
Le ministre se focalise sur les entrepreneurs des cryptomonnaies ,mais il y d'autres professions qui sont régulièrement attaquées et des fois avec des issues dramatiques , les pharmaciens , les buralistes etc.. et ils n'ont certainement pas les mêmes moyens pour assurer leur protection !
Ils ont plus que largement les moyens de se payer une sécurité privée efficace.
Le ministre de l'intérieur devrait plutôt se focaliser sur la multitude de citoyens agressés chaque jour, car eux n'ont pas ces moyens, ni cet écho médiatique.
Il n'y a qu'un moyen de réussir : retirer de la rue ceux qui commettent des actes de violences. Les envoyer immédiatement (même en préventive) 6 mois à 2 ans dans une prison turque (y compris les 100% français) pour leur apprendre la vie en communauté à 60 en cellule, où ils seraient les seuls étrangers.
Leur séjour là-bas nous couterait sans doute bien moins cher que dans nos prisons s'il y avait la place.
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