15/03 08:31

Les téléspectateurs de CNews se mobilisent pour sauver Elia et son restaurant, au bord de la faillite, en raison de l'occupation du théâtre de la Gaieté à Paris, par des centaines de migrants

C'est une incroyable mobilisation des téléspectateurs de CNews ! Hier, hier matin, dans "Morandini Live" sur CNews, Jean-Marc Morandini recevait Elia. Avec son mari, la restauratrice et mère de trois enfants a repris, en avril dernier, la gestion du Bistrot de la Gaïté, qui est collé au théâtre de la Gaîté Lyrique, occupé depuis décembre par environ 450 migrants. Depuis l'occupation du théâtre, sa brasserie s'est vidée de ses clients. En larmes, elle a expliqué que aucune autorité de l'aidait et elle était sur le point de tout perdre. 

Très touchés par son témoignage, Jean-Marc Morandini a donné à l'antenne la référence de la cagnotte qui a été ouverte pour elle. En début d'émission, 2.000 euros se trouvaient sur cette cagnotte, mais ce matin, samedi à 8h, grâce à la mobilisation des téléspectateurs elle est proche des 50.000 euros ! 

jeanmarcmorandini.com a joint Elia, en larmes, qui n'en revient pas et veut remercier les téléspectateurs de CNews : "Vous me sauvez, moi et ma famille, mes enfants...."

Il faut dire que même le quotidien est très difficile pour elle.

"Le 28 janvier, j'arrive à la brasserie le midi et je vois qu'il y a une émeute. Ils ont tabassé à quinze personnes un journaliste allemand. Alors que je parlais avec un client, il y a trois migrants qui passent et qui me regardent en faisant le geste d'un couteau sous la gorge. Ils m'ont dit 'toi t'es raciste, on va tuer et te bruler, on va te violer'", s'est souvenue Elia.

Et d'ajouter : "Il n'y a pas de racisme ! Mon mari est Malien, je suis franco-algérienne. On parle de bon sens. Je ne suis pas raciste. Je défends mon commerce. On veut me coller cette étiquette là parce que les seuls qui ont pris contact avec moi, c'est Reconquête".

Elia a également évoqué son quotidien. "J'ai trois enfants, je travaille 70h par semaine. Je sacrifie mes enfants parce que je dois être présente dans mon commerce. J'ai fait un crédit de 70.000 euros. Aujourd'hui, je ne paie plus rien. Je ne paie plus de loyer, plus de salaire. Je ne rembourse pas mon crédit.

On ne travaille pas, on ne peut plus rien faire. Mes comptes sont bloqués. Je ne peux plus passer de commandes alimentaires", a-t-elle déclaré, les larmes aux yeux.

Et de continuer : "Je suis caution personnelle du crédit. Même si je dépose le bilan, je pars avec les dettes (...) Je risque de tout perdre. Tout ! J'ai une charge salariale à 11.000 euros, six salariés. J'ai un loyer à payer".

"Mes enfants commencent à s'inquiéter. Ils voient mon état psychologique s'affaiblir. Je leur dis que j'ai les forces (...) Les associations qui occupent la Gaité Lyrique me narguent, rigolent quand elles passent devant la brasserie. Ils cherchent le conflit permanent avec moi".

"Je peux tenir jusqu'à tant que mes salariés acceptent encore de travailler sans être payés. Mes employés ont de la peine pour moi. Pour l'instant, ils restent. Je leur fait régulièrement des virements. Quand je gagne 200 euros, je l'envoie à l'un des salariés", conclut Elia.

Une cagnotte a été lancée sur la plateforme Gofundme. Intitulée "Sauvons Elia et son bistrot".

 

Ailleurs sur le web

Vos réactions

Portrait de soly
15/mars/2025 - 20h42
Decenale a écrit :

Tous les jours des français font faillite à cause de la gauche et de ses petits anges, on ne voit pas beaucoup de mobilisation pour les sauver, que ce soit de la part des français et encore moins des algériennes antiracistes maquées à des maliens.

Cette femme est la quintescence du gauchisme, elle veut l'invasion mais loin de son bizness. Elle ne veut pas les virer, juste les parquer un peu plus loin Ce qui lui arrive est bien fait sa gueule. T'as voulu de la gauche, tu l'as.

 

D'accord avec vous. Cette histoire ressemble à l'histoire d'une gauchiste qui vient de recevoir son idéologie, en boumerang, en pleine face.

 

Portrait de Bébé Yoda
15/mars/2025 - 09h12

Les riches ont besoin d'esclaves malléables pour nettoyer leurs chiottes, s'occuper de leurs déchets, nettoyer les rues, livrer leur bouffe, les conduire en Uber d'un point à un autre, livrer leur paquet Amazon...etc...

Les riches font venir ces esclaves par milliers et ils font en sorte que ce soient les pauvres français qui payent la facture et qui épongent leurs conneries.