Richard Ferrand 
Le président de la République, Emmanuel Macron, propose le macroniste Richard Ferrand pour remplacer Laurent Fabius à la tête du Conseil constitutionnel. « Le président de la République envisage de nommer Richard Ferrand comme président du Conseil constitutionnel », peut-on lire dans un communiqué de l’Élysée.
Député du Finistère de 2012 à 2022 et président de l’Assemblée nationale de 2018 à 2022, Richard Ferrand se tenait publiquement éloigné de la politique ces dernières années, même s’il reste un proche conseiller d’Emmanuel Macron.
Les Insoumis critiquent ce « recasage d’un ami du Président ». De même, la porte-parole du Rassemblement national (RN), Edwige Diaz, a dénoncé dimanche un « recyclage des battus », rappelant l’échec de Richard Ferrand aux législatives 2022 dans le Finistère.
Son nom doit encore être soumis au vote du Parlement, tout comme ceux de Laurence Vichnievsky et Philippe Bas, pour les deux autres sièges renouvelables, apprend-on dans deux communiqués distincts diffusés en même temps que la déclaration de l’Élysée.
Le nom de Laurence Vichnievsky, ex-députée MoDem du Puy-de-Dôme et ancienne magistrate a été proposé par la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet pour présider le Conseil constitutionnel. Et le président du Sénat, Gérard Larcher, a suggéré le sénateur Les Républicains (LR) de la Manche, Philippe Bas.
Richard Ferrand Richard Ferrand Dylan Robert BFM Paris Bruno Retailleau
Vos réactions
Les quelques casseroles que traîne l'"ami" ferrand, ne semblent pas gêner plus que ça macron. Le seul but de ce dernier est de mettre quelques uns de ses supporters de la première heure à des postes clés, toujours hautement rémunérés évidemment, pour que ces politicards magouilleurs puissent continuer leurs petits arrangements entre eux et en toute tranquillité. Et tant que ça marche, pourquoi s'en priveraient-ils ? La gestion du pays, être au service de la Nation, peu leur importe, ce qui compte c'est essentiellement eux, leur carrière et leur portefeuille (pas ministériel, l'autre avec des billets).
UN RÉFÉRENDUM !
Un référendum: oui ; mais ça dépend des questions posées ; ils risquent de poser des questions sur lesquelles ils sont certains d'avoir une approbation et pas du genre "êtes vous pour stopper l'immigration hors emploi, et forcer le retour si l'emploi quitté ou perdu? ; de virer dès le 1° acte de délinquance, etc..." où ils sont certains d'avoir tort.
Avant, les politicards essayaient de faire leurs magouilles un peu discrètement, mais maintenant tous ces types les font ouvertement, sans même avoir besoin de se cacher, parce qu'ils se foutent pas mal de ce que va en dire le peuple : ce n'est que ça le nouveau monde promis par macron, quelques seigneurs qui décident de tout. Et j'ai même l'impression qu'ils prennent un malin plaisir à susciter des réactions négatives, cela grandit encore un peu plus leur égo et leur fait croire qu'ils sont tout puissants. Ce ne sont que des parvenus, des carriéristes dont la préoccupation première est de se garantir une bonne paie et les avantages qui vont avec.
tout mais pas lui
Un copain de Macron. Ça promet. Encore un qui va retoquer toutes les tentatives de rénovation des institutions de notre pays. 9 ans... Il faut que ça cesse.
Je me rappelle vaguement de l'affaire des mutuelles. Ça, un "sage"? Macron n'a honte de rien. Il serait grand temps de partir.
Comme par hasard, Ferrand est favorable à la possibilité d'un 3éme mandat présidentiel
Sacré Manu, t'en loupes pas une
Voilà un bref CV de ce que Macron considère comme un "sage" :
Affaire des Mutuelles de Bretagne (2017-2023) : Soupçons de favoritisme dans une opération immobilière impliquant sa compagne.
Mis en examen en 2019 Emploi de collaborateurs parlementaires : Accusations d’utilisation des moyens de l’Assemblée pour des activités politiques (notamment en lien avec En Marche!)
Cumul des mandats et rémunérations : Critiques sur sa rémunération en tant que président du groupe LREM et député, notamment en 2018.
Affaire de l’appartement de l’Assemblée nationale (2018 : Usage d’un logement de fonction alors qu’il possédait une résidence à Paris, suscitant des accusations de favoritisme.
Gestion de la présidence de l’Assemblée nationale (2018-2022) : Critiqué pour son manque de transparence et des décisions controversées sur les règles internes.
Je n'en peux plus de ce "Président"
C'est confirmé, Macron est c*n.
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