06/09 15:26

Le nouveau Premier ministre Michel Barnier sera invité du JT de 20h de TF1 ce soir - Il a été reçu par Emmanuel Macron à l'Elysée ce midi

15h25: Yaël Braun-Pivet, présidente de l'Assemblée nationale, va recevoir le nouveau Premier ministre, Michel Barnier, demain à la mi-journée, a annoncé le palais Bourbon.

14h28: Tout juste nommé à Matignon, où il a promis « des changements et des ruptures », Michel Barnier a entamé des consultations vendredi avec son prédécesseur Gabriel Attal, désormais à la tête du groupe macroniste à l’Assemblée nationale, et les dirigeants des Républicains (LR) qui ont posé leurs conditions pour une participation à un gouvernement.

« On veut sortir la France du blocage et on a dit qu’on assumerait nos responsabilités. Mais on ne le fera que sur un programme qui donne la garantie de répondre aux préoccupations des Français », a ainsi déclaré en sortant de Matignon le chef de file des Républicains à l’Assemblée Laurent Wauquiez, citant « la revalorisation du travail », « les comptes publics », l’immigration et l’insécurité.

Le groupe macroniste n’aura « ni volonté de blocage, ni soutien inconditionnel », a écrit de son côté Gabriel Attal à ses membres à l’issue de son entretien, consacré aux conditions d’une participation«  au gouvernement.  »Nous serons ouverts à des compromis avec d’autres forces politiques« , a-t-il ajouté, rappelant cependant que  »rien ne pourra se faire sans nous« .

Les consultations se passent  »très bien« , elles sont  »pleines d’énergie« , a simplement commenté Michel Barnier en quittant Matignon en fin de matinée pour un rendez-vous de travail avec Emmanuel Macron.

Chargé de  »constituer un gouvernement de rassemblement au service du pays« , le Savoyard de 73 ans se sait déjà en sursis et va devoir trouver les bons équilibres pour ne pas tomber à la première motion de censure.

Le nouveau Premier ministre a lui-même tendu des perches dès sa première prise de parole.  »Il faudra beaucoup d’écoute«  et  »du respect à l’égard de toutes les forces politiques qui sont représentées«  au Parlement, y compris le Rassemblement national, dont dépend sa survie politique.

Car de son point de vue,  »le sectarisme est une preuve de faiblesse, quand on est sectaire c’est qu’on n’est pas sûr de ses idées« .

Les siennes restent encore à préciser. Tout juste a-t-il assuré que  »l’école restera la priorité du gouvernement« , de même que d’autres chantiers dont  »l’accès aux services publics« ,  »la sécurité au quotidien« ,  »la maîtrise de l’immigration«  ou encore le travail et le pouvoir d’achat.

Michel Barnier, qui sera l’invité du journal de 20H sur TF1, a promis  »des changements et des ruptures«  en laissant augurer de choix difficiles avec la volonté affichée de  »dire la vérité«  sur  »la dette financière et écologique« .

12h08: Le nouveau Premier ministre Michel Barnier sera invité du JT de 20h de TF1 ce soir. Il répondra aux questions d'Anne-Claire Coudray pour cette première interview au lendemain de sa nomination.

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12h01: "Nous avons un Premier ministre qui n'est pas sous l'influence de LFI et pour nous c'est important", a déclaré Laurent Wauquiez à la sortie de sa rencontre avec Michel Barnier. "Nous allons oeuvrer pour sortir de la crise".

11h42: Le point sur la situation

Tout juste nommé à Matignon, où il a promis « des changements et des ruptures », le nouveau Premier ministre Michel Barnier doit désormais s’atteler à composer un gouvernement susceptible de démontrer sa capacité à rassembler et à s’émanciper d’Emmanuel Macron.

Et maintenant, « au travail ». Le poncif qui conclut tous les discours de passation de pouvoirs avait des allures de défi pour Michel Barnier jeudi dans la cour de Matignon. Chargé par le président de la République de « constituer un gouvernement de rassemblement au service du pays », le Savoyard de 73 ans se sait déjà en sursis et va devoir trouver les bons équilibres pour ne pas tomber à la première motion de censure.

Dès vendredi matin, il a reçu à son prédécesseur Gabriel Attal, président du groupe macroniste Ensemble pour la République (EPR) à l’Assemblée, puis les dirigeants de son propre parti, Les Républicains (LR), pour examiner les conditions d’une participation à sa future équipe.

« Certaines personnalités de gauche » ont également été contactées et d’autres échanges devaient suivre, y compris avec la France insoumise et le Rassemblement national, car « il veut rassembler et respecter tout le monde ». Le nouveau Premier ministre a lui-même tendu des perches dès sa première prise de parole: « Il faudra beaucoup d’écoute » et « du respect à l’égard de toutes les forces politiques qui sont représentées » au Parlement.

Car de son point de vue, « le sectarisme est une preuve de faiblesse, quand on est sectaire c’est qu’on n’est pas sûr de ses idées ». Les siennes restent encore à préciser. Tout juste a-t-il assuré que « l’école restera la priorité du gouvernement », de même que d’autres chantiers dont « l’accès aux services publics », « la sécurité au quotidien », « la maîtrise de l’immigration », ou encore le travail et le pouvoir d’achat.

Une feuille de route a priori consensuelle, même si M. Barnier a promis « des changements et des ruptures » et laissé augurer de choix difficiles avec la volonté affichée de « dire la vérité » sur « la dette financière et écologique ».

09h58: Le nouveau Premier ministre Michel Barnier, sera reçu ce vendredi, à la mi-journée, par Emmanuel Macron à l'Elysée, a appris l’AFP auprès de Matignon, confirmant une information de LCI

09h52: Dès vendredi, il recevra à 09H00 son prédécesseur Gabriel Attal, président du groupe macroniste Ensemble pour la République (EPR) à l’Assemblée, puis à 10H15 les dirigeants de son propre parti, Les Républicains (LR), pour examiner les conditions d’une participation à sa future équipe.

« Certaines personnalités de gauche » ont également été contactées et d’autres échanges devaient suivre, y compris avec la France insoumise et le Rassemblement national, car « il veut rassembler et respecter tout le monde ». Le nouveau Premier ministre a lui-même tendu des perches dès sa première prise de parole: « Il faudra beaucoup d’écoute » et « du respect à l’égard de toutes les forces politiques qui sont représentées » au Parlement.

Car de son point de vue « le sectarisme est une preuve de faiblesse, quand on est sectaire c’est qu’on n’est pas sûr de ses idées ». Les siennes restent encore à préciser. Tout juste a-t-il assuré que « l’école restera la priorité du gouvernement », de même que d’autres chantiers dont « l’accès aux services publics », « la sécurité au quotidien », « la maîtrise de l’immigration », ou encore le travail et le pouvoir d’achat.

Une feuille de route a priori consensuelle, même si M. Barnier a promis « des changements et des ruptures » et laissé augurer de choix difficiles avec la volonté affichée de « dire la vérité » sur « la dette financière et écologique ».

09h43: Tout juste nommé à Matignon, où il a promis « des changements et des ruptures », le nouveau Premier ministre Michel Barnier doit désormais s’atteler à composer un gouvernement susceptible de démontrer sa capacité à rassembler et à s’émanciper d’Emmanuel Macron. Et maintenant, « au travail ».

Le poncif qui conclut tous les discours de passation de pouvoirs avait des allures de défi pour Michel Barnier jeudi dans la cour de Matignon. Chargé par le président de la République de « constituer un gouvernement de rassemblement au service du pays », le Savoyard de 73 ans se sait déjà en sursis et va devoir trouver les bons équilibres pour ne pas tomber à la première motion de censure.

Sans attendre, il a multiplié les appels téléphoniques avant même sa prise de fonction, selon son entourage: Edouard Philippe, François Bayrou, Laurent Wauquiez, mais aussi Nicolas Sarkozy, ainsi que la présidente de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet et celui du Sénat Gérard Larcher.

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