
Dans une interview accordée au journal Ouest-France, la maire (PS) de Paris, Anne Hidalgo réaffirme sa volonté d’abaisser la vitesse de circulation sur le périphérique parisien à 50 km/h « courant octobre ». Le projet, annoncé fin novembre 2023, était l’un des axes forts de « l’héritage » des Jeux olympiques et paralympiques voulu par la Ville de Paris.
« C’est une mesure de santé publique pour les 500 000 personnes qui vivent aux abords du périphérique », a justifié Anne Hidalgo.
L’élue précise avoir également demandé à Emmanuel Macron de « ne pas revenir en arrière » sur la sanctuarisation de la voie olympique après les Jeux, afin de la réserver au covoiturage.
« Je prendrai mes responsabilités », en cas de refus de l’État, a prévenu Anne Hidalgo.
Sur le périphérique, la préfecture de police devra trancher Dès les premières annonces, le projet de réduction de la vitesse sur cet axe stratégique avait été pointé du doigt par l’opposition parisienne, mais aussi par Clément Beaune, ancien ministre des Transports, puis par son successeur, Patrice Vergriete.
Vos réactions
Quelle emmerdeuse !!
Pauvre France ..... elle veut interdire les voitures dans la ville comme tous les maires écologistes.
Chaque matin quand Anne Hidalgo se lève je pense qu'elle se demande :"Alors, qu'est ce que je vais bien pouvoir trouver aujourd'hui pour bien pourrir la vie des parisiens ?"... Et je dois avouer qu'elle a pleins d'idées... Un puits sans fond !On n'en peut plus !
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