
21h18 : Les jeunes qui occupaient l'université viennent de sortir volontairement avec des drapeaux palestiniens. La direction a annoncé la suspension des poursuites disciplinaires envers les étudiants pro-Palestine. Elle promet d'organiser une réunion publique ouverte "à toutes les communautés de Sciences Po".
les derniers étudiants qui occupaient le campus de #SciencesPo #Paris viennent de sortir après avoir obtenu satisfaction sur certaines revendications pic.twitter.com/u87mPtIOrt
— Timothée Forget (@xztim_) April 26, 2024
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20h31: Plusieurs dizaines de personnes sont encore présentes sur place, sur la route, face aux forces de l'ordre
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20h23 : La police évacue groupe par groupe les manifestants pro-palestiniens dans un calme relatif mais sans gros incidents
20h02: L'évacuation a commencé dans le calme pour l'instant et plusieurs personnes ont accepté de quitter les lieux dans le calme sous escorte policière
19h35 : Des députés de la France Insoumise dont Thomas Porte viennent de se mettre entre les CRS et les pro-palestiniens pour bloquer l'évacuation
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19H16 : Les CRS sont en train d'avancer pour évacuer la rue alors que des dizaines de pro-palestiniens refusent de bouger et sont assis au sol
DIRECT - Évacuation de Sciences Po : intervention de la police https://t.co/kLb3OqVCv7
— CLPRESS / Agence de presse (@CLPRESSFR) April 26, 2024
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19h02: Les CRS viennent de se casquer et sont sur le point d'intervenir pour faire dégager la rue
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17h43: Le Préfet de Police annonce que la rue devant l'établissement va être évacuée - De nombreuses forces de police sont présentes sur place depuis 16h
ALERTE INFO
— BFMTV (@BFMTV) April 26, 2024
Blocage à Sciences Po Paris: le préfet de police demande de faire évacuer la voie publiquehttps://t.co/1bY6mupV7v pic.twitter.com/Hk6cSOMkth
17h27: Le calme semble revenu sur place grâce aux forces de l'ordre qui ont séparé les deux groupes. Le mouvement avait débuté hier soir, après la fermeture à 21 heures des grilles du bâtiment historique de l'établissement, lorsque "50 à 70 étudiants" étaient susceptibles d'être présents dans le bâtiment de Sciences Po, selon des jeunes militants ou sympathisants du comité "Palestine Sciences Po", joints par l'AFP vendredi dans la matinée.
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16h49 : Les forces de l'ordre ont pris position et sont désormais entre les différents groupe de manifestants permettant au calme de revenir après plusieurs minutes d'affrontements et de tensions entre les 2 groupes. Nos confrères du Figaro racontent de leur côté : "Les CRS sont alors arrivés sur place, s'engouffrant dans la rue Saint Guillaume et séparant les deux groupes. Du côté des contres manifestants, des hommes vêtus de noir et masqués ont fait face aux policiers, certains arborant des drapeaux français, aux cris de : «Libérez Sciences Po. Libérez les otages !."
Tensions à #SciencePo : face à face entre étudiants pro-#Gaza et collectif pro-#Israel qui semble vouloir débloquer l’école.
— Clément Lanot (@ClementLanot) April 26, 2024
Intervention de la police au bout de 20 minutes de bousculade. pic.twitter.com/KeZkVumMOB
16h39: Les forces sont en train de s'équiper et de prendre position pour tenter de calmer les incidents en cours
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16h28: Tensions en cours à Science Po avec des militants pto-Israéliens qui sont venus au contact de ceux qui occupent Science Po
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16h05: La direction a reçu une délégations d'étudiants mobilisés, et annonce la fermeture des bâtiments ainsi que le passage des cours en distanciel.
14h06: Le point sur la situation en ce début d'après-midi
La mobilisation pro-palestinienne se poursuit vendredi à Sciences Po Paris avec l'occupation de locaux historiques, toujours bloqués dans la matinée par des étudiants dont les revendications font écho aux contestations qui agitent certains prestigieux campus américains. Quelques dizaines d'étudiants, militants et sympathisants du comité Palestine de Sciences Po ont occupé dans la nuit de jeudi à vendredi les locaux, rue Saint-Guillaume, au coeur du huppé 7e arrondissement.
Mercredi soir, une dizaine de tentes avaient été installées dans la cour d'un autre bâtiment de l'établissement, avant que la police ne vienne déloger les étudiants favorables à la cause palestinienne. Keffiehs sur la tête, drapeaux palestiniens accrochés aux balustrades, des étudiants qui ont passé la nuit sur place étaient visibles vendredi matin aux fenêtres du bâtiment nouvellement occupé.
Des poubelles et du matériel de chantier obstruaient l'entrée principale. Parmi les slogans déclamés: "Israël assassin, Sciences Po complice" ou "Free, free Palestine". La direction, qui chiffre à une soixantaine le nombre d'occupants du principal bâtiment, a décidé de fermer plusieurs locaux du campus parisien de Sciences Po.
Dans un message à la presse, elle "condamne fermement ces actions étudiantes qui empêchent le bon fonctionnement de l’institution et pénalisent les étudiants, enseignants et salariés". La direction, à qui une partie de la communauté éducative reproche d'avoir laissé les forces de l'ordre intervenir sur le campus, a organisé une rencontre avec des représentants des étudiants vendredi matin.
Le comité Palestine revendique notamment "la condamnation claire des agissements d'Israël par Sciences Po" et "la fin des collaborations" avec toutes "les institutions ou entités" jugées complices "de l'oppression systémique du peuple palestinien". Il demande en outre l'arrêt de "la répression des voix pro-palestiniennes sur le campus". Comme aux Etats-Unis où la mobilisation d'étudiants pro-Gaza enflamme le débat politique, le militantisme des étudiants pro-Gaza à Sciences Po est accusé d'alimenter l'antisémitisme sur le campus.
13h22: Rima Hassan, candidate aux élections européennes sur la liste de l’Union populaire avec la France insoumise, s’est rendue à la mi-journée devant Sciences Po Paris
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Blocage de #SciencesPo : visite de @RimaHas pour soutenir les étudiants qui occupent les l’école en soutien à la Palestine. pic.twitter.com/54dPWXLFXT
— CLPRESS / Agence de presse (@CLPRESSFR) April 26, 2024
Rima Hassan, qui appelle au soulèvement, est présente au blocage de Sciences Po Paris organisé pour la Palestine. pic.twitter.com/e2GJIUaDYv
— Livre Noir (@Livrenoirmedia) April 26, 2024
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12h40: La ministre de l'Enseignement supérieur, Sylvie Retailleau, affirme ce midi sur BFMTV que "les lignes rouges sont franchies". Et de préciser que "l’université est un lieu de débat, mais ce n’est pas le cadre d’un débat apaisé".
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"Ce n'est pas le cadre d'un débat apaisé (...) les lignes rouges ont été franchies"
— BFMTV (@BFMTV) April 26, 2024
Sylvie Retailleau, ministre de l'Enseignement supérieur, réagit au blocage de Sciences Po Paris par des étudiants pro-palestiniens pic.twitter.com/42X3ZVub5v
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12h31: La mobilisation intervient alors que plusieurs universités américaines sont prises dans la tourmente provoquée par le conflit à Gaza. L'université américaine Columbia a ajourné la date limite de vendredi fixée aux étudiants pro-palestiniens pour évacuer le campus, occupé pour protester contre la guerre à Gaza, un mouvement qui s'est généralisé sur les campus américains.
Le bureau de la présidence de l'université new-yorkaise, d'où est parti le mouvement de soutien à Gaza il y a plus d'une semaine, est revenu sur l'échéance de minuit heure locale (04H00 GMT vendredi), fixée pour démanteler un village de tentes où quelque 200 étudiants pro-palestiniens se sont rassemblés.
"Les négociations ont progressé et se poursuivent comme prévu", a affirmé le bureau de la présidente de l'université, Minouche Shafik, dans un communiqué diffusé à 23H07 (03H07 GMT vendredi). "Nous avons nos demandes, ils ont les leurs", poursuit le bureau de la présidence, en démentant qu'une intervention de la police ait été réclamée.
"Ils nous traitent de terroristes, ils nous traitent de violents. Mais le seul outil dont nous disposons ce sont nos voix", a déclaré une des étudiantes présente au rassemblement pro-palestinien, se présentant sous le nom de Mimi.
12h14: "Immense soutien aux étudiants qui se mobilisent partout pour s’opposer au massacre des palestiniens par une armée coloniale. Ni les matraques, ni les insultes ne feront céder cette vague qui partout se lève. Bravo aux étudiants de Sciences Po qui continuent d’occuper le site", a pour sa part écrit ce matin le député LFI Thomas Portes.
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Immense soutien aux étudiants qui se mobilisent partout pour s’opposer
— Thomas Portes (@Portes_Thomas) April 26, 2024
au massacre des palestiniens par une armée coloniale. Ni les matraques, ni les insultes ne feront céder cette vague qui partout se lève. Bravo aux étudiants de #SciencesPo qui continuent d’occuper le site.
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12h10: Des dizaines de manifestants sont présents alors que des députés de la France insoumise viennent soutenir et appellent au soulèvement. C'est notamment le cas de Rima Hassan qui a posté des messages sur le réseau X. « Je serai avec vous cet après-midi », écrit-elle dans un message. Et d’ajouter : « Venez tous et toutes à Sciences Po. L’heure est au soulèvement »
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Je serai avec vous cet après-midi @sciencespo j’arrive pic.twitter.com/dAkFzTJK7X
— Rima Hassan (@RimaHas) April 26, 2024
Venez tous et toutes à @sciencespo l’heure est au soulèvement.
— Rima Hassan (@RimaHas) April 26, 2024
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11h17: La mobilisation pro-palestinienne se poursuit ce matin à Sciences Po Paris, où des étudiants ont passé la nuit dans le bâtiment historique de l'école et entrepris de bloquer sa principale entrée, a constaté l'AFP. Keffiehs sur la tête, drapeaux palestiniens accrochés aux balustrades et slogans en faveur de la lutte palestinienne, des étudiants qui ont passé la nuit dans l'établissement étaient visibles vendredi matin aux fenêtres du 27 rue Saint-Guillaume, siège historique de l'école.
Des poubelles et du matériel de chantier obstruent l'entrée principale de Sciences Po Paris qui bénéficie d'un vaste campus dans le centre de la capitale, scindé en plusieurs implantations. Quelques dizaines d'étudiants sont présents dans la rue. Une conférence de presse du comité Palestine de Sciences Po est prévue ce vendredi dans la matinée.
Le comité réclame notamment "la condamnation claire des agissements d'Israël par Sciences Po" et "la fin des collaborations" avec toutes "les institutions ou entités" jugées complices "de l'oppression systémique du peuple palestinien". Il demande en outre l'arrêt de "la répression des voix pro-palestiniennes sur le campus".
Mercredi soir, une dizaine de tentes avaient été installées dans la cour d'un autre bâtiment de l'établissement, avant que la police ne vienne déloger les militants et sympathisants de la cause palestinienne. La mobilisation intervient alors que plusieurs universités américaines sont prises dans la tourmente provoquée par le conflit à Gaza.
Vos réactions
Selon certains ici, les chiffres de l'ONU mentent et c'était TOUS des membres du hamas parfois avec - de 15 jours de vie voyons et les bébés peuvent servir de bombe car facile à envoyer au loin certainement... ou d'attaque de biberon.
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