
Ce matin, Bruno Guillon était l'invité de la matinale de RTL, présentée par Yves Calvi. Face au journaliste, l'animateur de France 2 et de Fun Radio a raconté la séquestration dont il a été victime dans la nuit de mardi à mercredi à son domicile de Tessancourt-sur-Aubette.
"Il est aux alentours de 3h du matin. Ils sont trois. Je suis en train de dormir, et j'entends mon fils qui parle. Je me dis 'à qui il est en train de parler?'. Je me lève et là, tout de suite, je vois une lumière qui fonce vers moi, avec quelqu'un qui hurle et qui me pose un revolver sur le front en me disant : 'On va vous buter. Tais-toi, on sait qui tu es'", a-t-il débuté avec émotion en précisant que les agresseurs sont "montés à l'étage en cassant un carreau au rez-de-chaussée".
"Ce n’est même pas de la peur, on sort de son corps, c’est une sidération. Je vois ma femme... avec un pistolet sur la tempe", ajoute l'animateur avant de fondre en larmes.
"Je vois mon fils menacé par deux gars. On m’attache les mains dans le dos, on me dit que si on fait quoi que ce soit, ils vont me tuer (...) Ils nous enferment dans la chambre avec mon fils qu'ils attachent. Et là, on reste enfermés pendant ce qui sera, je pense, les 30 minutes les plus longues de ma vie, avec un gars qui nous surveille", s'est remémoré Bruno Guillon en précisant "Je n’ai pas eu peur pour moi mais pour Anatole [son fils] et Marion [sa femme]".
"Je pense qu'au départ, ils sont assez déçus parce qu'ils ne trouvent pas grand-chose, deux ou trois montres. Donc après, ils commencent à s'énerver parce qu'ils veulent d'autres trucs que je n'ai pas. Ça crie beaucoup, c'est une catastrophe. (...) Ils sont trois, il y en a un qui est vraiment nerveux, qui a le flingue. Les deux autres, on sent qu'ils subissent un peu. (...) À un moment, mon fils lui dit 'ne faites pas mal à ma maman, j'en ai qu'une' et il lui répond 'tu sais, moi aussi et si vous êtes gentils de toute façon, on sera gentil'", a poursuivi l'animateur face à Yves Calvi.
C'est après de longues minutes que les agresseurs sont sortis du domicile. "Au bout de cinq minutes, je suis sorti de la chambre. Je suis tout de suite allé voir où était ma femme. Elle était dans mon bureau, attachée et bâillonnée avec du scotch autour du visage. Je l'ai tout de suite libérée. J'ai regardé si elle allait bien et je suis sorti dehors pour voir si les téléphones étaient là et j'ai appelé la police", a conclu Bruno Guillon.
Vos réactions
Quand on a une femme et des gosses, la moindre des choses est de s’équiper.
Entre prendre de la taule et les défendre face aux racailles, mon choix est fait depuis longtemps.
Il doit être crevé à force de vendre son histoire sur tous les plateaux Tv et toutes les radios.
À quand le livre ?
A part une allusion lors de son morning du lendemain sur Fun Radio, surtout parce que tout le monde en parlait et parce qu'il était absent de l'antenne le jour des faits, il n'en a parlé que sur RTL (station sur laquelle il travaille aussi et qui fait partie du même groupe que Fun Radio).
Faut voir au Brésil, les gens sont armés et les bandits se font souvent tuer par les victimes !
Il doit être crevé à force de vendre son histoire sur tous les plateaux Tv et toutes les radios.
À quand le livre ?
en aucun cas je cautionne ce mefait ....ceci je me pose une question Est ce une circonstance aggravantes si la victime s appelle B G...On le voit partout ,a la tv a la radio....Je ne sais pas mais qd on aime tout le monde , on tend l autre joue .........bonne journée
Moins d'immigration = moins d'agressions. La mienne c'était il y a 22 ans dans un RER, vol en réunion à 3 avec arme à feu.
J'ai déménagé à 400 km. On nous a foutu un centre de migrants à 3 rues dans notre village il y a 5 ans. 90% de mes voisins ont été cambriolés depuis.
Vu sa notoriété il pourrait peut être plaider en direct pour que la justice soit plus sévère avec les voleurs de tout acabit , mais pour le moment il semble se cantonner à son propre cas ? il n'est pas à l'abri de récidive ( s) .
C'est malheureux, mais la prochaine fois ils fermeront TOUS les volets des fenêtres de leur maison.
alors Bruno le bon coeur toujours pour l'immigration près de chez soi
Mais Bruno, ils étaient comment tes agresseurs? Tu penses qu'ils seraient nés dans quelle région de France?
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