
Emmanuel Macron a quitté la Mairie de Sélestat, une nouvelle fois, sous les huées de la foule aux cris de "Macron démission" ou de "Macron rend l'ISF". Interrogé sur l'avenir de la Première ministre, remise en cause après la séquence de la réforme des retraites, Emmanuel Macron lui a renouvelé sa confiance. "Elle a ma confiance, sinon elle ne serait pas en charge de ma feuille de route".
Lors d’un point presse, Emmanuel Macron a assuré qu’il n’était « pas sourd à cette colère». « Une colère s’exprime. Je ne m’attendais pas à autre chose, elle ne m’empêchera pas de continuer et d’avancer. La confiance va revenir progressivement, a-t-il jugé. Si parce qu’il y a des gens qui manifestent et crient fort on arrête un projet, vous aurez un pays à l’arrêt ». Relancé sur la contestation de la réforme, il a reconnu « avoir [sa] part de responsabilité, on a tous une part de responsabilité quand on arrive à une situation où on arrive pas à se mettre d’accord ».
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