
Parmi eux, figurent "la formation initiale et continue des personnels médicaux, paramédicaux et accompagnants", l"'information du grand public" sur les dispositifs existants, mais aussi "l'économie de la fin de vie", notamment les moyens humains et financiers.
Sera aussi examinée la question de savoir s'il existe "des douleurs physiques chroniques intolérables et intraitables, silencieuses, qui ne seraient pas traitées par les soins palliatifs" ou encore "le traitement de l'aide active à mourir pour les formes extrêmes de souffrance psychique (psychiatrique)."
En mars, ces citoyens diront s'il faut changer ou non la loi actuelle, sans garantie d'être suivis, à partir de cette question: "Le cadre d'accompagnement de fin de vie est-il adapté aux différentes situations rencontrées ou d'éventuels changements devraient-ils être introduits ?".
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