25/05/2021 11:31

Coronavirus : Des chercheurs de l'Institut de virologie de Wuhan sont-ils tombés malades dès novembre 2019 ? La Chine dément formellement!

La Chine a démenti que trois chercheurs de l'Institut de virologie de Wuhan, ville un temps épicentre de la pandémie, aient été atteints d'une maladie qui a nécessité des soins hospitaliers avant que le virus ne se répande dans le monde. 

Disant se baser sur un rapport du renseignement américain, le Wall Street Journal affirme que trois chercheurs du laboratoire chinois ont été atteints dès novembre 2019 de «symptômes compatibles à la fois avec ceux de la COVID-19 et une infection saisonnière». 

La Chine a révélé le 31 décembre 2019 l'existence d'un foyer de cas de pneumonie à Wuhan à l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Et Pékin a toujours farouchement combattu la théorie selon laquelle la COVID-19 aurait pu s'échapper d'un de ses laboratoires.

Interrogé à ce sujet, un porte-parole de la diplomatie chinoise, Zhao Lijian, a qualifié lundi les affirmations du quotidien américain de «totalement fausses».

«Le 23 mars, l'Institut de virologie de Wuhan a publié un communiqué indiquant qu'avant le 30 décembre 2019 il n'avait pas été en contact avec le coronavirus. À cette date [de publication du communiqué, NDLR], aucun personnel ou étudiant-chercheur n'a[vait] été contaminé» par le virus, a affirmé devant la presse M. Zhao.

Le coronavirus a cependant été apporté dans ce laboratoire pour y être étudié, selon les autorités chinoises.

L'hypothèse d'une fuite du virus d'un laboratoire chinois a été alimentée entre autres par l'administration de l'ex-président américain Donald Trump.

Après un séjour de quatre semaines à Wuhan en début d'année, une étude conjointe d'experts de l'OMS et chinois a toutefois jugé en mars «extrêmement improbable» un incident de laboratoire.

Les experts privilégient la théorie généralement admise de la transmission naturelle du virus d'un animal réservoir - probablement la chauve-souris - à l'homme, par l'intermédiaire d'un autre animal qui n'a pas encore été identifié.

Certains estiment néanmoins que les spécialistes de l'OMS n'ont pas eu assez de latitude pour travailler librement durant leur enquête à Wuhan.

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Vos réactions

Portrait de KEYZER
25/mai/2021 - 16h24
Citoyen87 a écrit :

Toutes les études génétiques montrent que le virus est un mutant naturel d'un coronavirus animal. Le reste est spéculatif.

Mouais, c'est du spéculatif qui engendre un bordel planètaire jamais vu....smiley

Portrait de bellross
25/mai/2021 - 12h23
pasfacile a écrit :

Bonjour. Notez bien ce petit alinéa dans la déclaration du Ministère de la Défense : "A l'époque l'épidémie covid-19 n'était pas connue et aucun test rétrospectif n'a été réalisé car, aussi longtemps après les faits, les résultats n'auraient pas été exploitables".

Pour information les militaires qui présentaient des symptômes de grippe sévère ont eu INTERDICTION de consulter des médecins civils afin de se limiter au seul Service de Santé des Armées.

Par la suite ils ont également, une fois la pandémie officialisée, reçu interdiction stricte de communiquer sur ces évènements au nom du "Secret Défense". Pour cause la France étant l' Ingénieur /  Promoteur / Constructeur de ce P4 !

Notez, svp, que 8/12 mois après avoir chopé cette saleté les traces sont toujours présentes tant en PCR qu'en antigénique. Entre le 17 novembre 2019 et le 17 Mars 2020 seuls 4 mois se sont écoulés. Il y a donc eu une volonté diplomatique de taire ce scandale !

Et que penser alors d'autres études qui montrent la presence de la Covid en Europe bien plus tot qu'on ne le pensait , et bien plus tot que les premiers signalements en Chine ?

 

"Les auteurs d'une nouvelle étude montrant que le SARS-CoV-2 se serait introduit en Italie il y a plus d'un an, en septembre 2019. Rappelons que le premier cas de Covid-19 officiel en Italie date du 20 février et le premier cas en Chine remonte à décembre 2019. Mais, depuis plusieurs mois, les études s'accumulent pour montrer que le virus couvait en réalité dans le pays depuis bien plus longtemps. En juin, des traces de coronavirus ont ainsi été détectées dans des échantillons d'eaux usées à Milan et Turin datant du mois de décembre. À Barcelone, en Espagne, des traces de SARS-CoV-2 datant du 12 mars 2019 ont été identifiées là encore dans les eaux usées, soit neuf mois avant l'apparition officielle du virus en Chine.

La nouvelle étude italienne, menée par l'Institut national du cancer IRCCS de Milan et parue dans la revue Tumori Journal, se fonde, quant à elle, sur l'analyse de presque 1.000 échantillons sanguins de personnes ayant participé à un test clinique de détection du cancer de poumon entre septembre 2019 et mars 2020. Des anticorps spécifiques au SARS-CoV-2 ont été trouvés chez 11,6 % des patients sur cette période, avec un taux de 14,2 % rien qu'au mois de septembre 2019. Tous ces patients étaient, bien entendu, asymtomatiques -- puisque personne n'a soupçonné à l'époque qu'ils étaient atteints d'une quelconque maladie.

 

 

Bref, on tourne en rond, et on ne saura jamais d’où viens réellement ce virus.

Portrait de bellross
25/mai/2021 - 12h01
pasfacile a écrit :

Officiellement le PC Chinois déclare un premier cas en Décembre 2019 après avoir affirmé que le premier avait été détecté le 17 novembre (...). Très troublant car des militaires ayant assisté aux Jeux Militaires de Wuhan en octobre 2019 sont revenus avec le covid et l'ont importé en France... D'autres militaires d'autres nations ont également réalisé les mêmes témoignages.

S'agissant de personnes jeunes et en bonne santé tous ont pensé avoir attrapé le virus saisonnier de la grippe ! 

La Chine ment de façon éhontée depuis le début et fait entrave bien réelle à la manifestation de la vérité : L'origine liée au Pangolin a été complètement écartée et celle de la chauve souris subira le même sort pour des raisons bio-scientifiques évidentes car elle ne peut transmettre des virus que par morsure ! Donc elle doit être vivante et non sur des étals dans les marchés chinois !

L'Ambassade USA à Pékin avait alerté le Département d'Etat dès février 2019 afin de signaler l'opacité des travaux réalisés tout en soulignant une multitude de manquements graves aux règles de sécurité élémentaires pour ce type de labo; Labo mis en place sous Engineering Française qui, une fois les peintures sèches, a eu interdiction de regard sur ce qu'il se passait !  

Sauf que le ministère des armées a démenti cette rumeur de militaires revenus de Wuhan avec des symptômes ressemblant de près ou de loin à la covid:

"Le ministère des Armées a été contraint de réagir en tenant à rappeler qu'au moment des jeux «l'épidémie liée au Covid-19 n'était pas connue». La délégation française qui a participé à l'événement était composée de 406 personnes dont 281 athlètes, une centaine de sportifs de haut niveau et 18 militaires blessés. Cette délégation «a bénéficié d'un suivi médical avant et pendant les jeux avec une équipe médicale dédiée composée de près d'une vingtaine de personnels. Il n'y a pas eu, au sein de la délégation française des JMME, de cas déclarés auprès du service de santé des armées de grippes ou d'hospitalisation pendant et au retour des JMME pouvant s'apparenter, a posteriori, à des cas de Covid-19», a-t-on complété au ministère."