vaccin Ce matin, Catherine Dolatka, gérante du magasin "La Fripe à petit prix" à Chauny (Aisne), était l’invitée de Jean-Marc Morandini dans "Morandini Live" sur CNews et Non Stop People. En plein direct, elle a craqué en évoquant sa situation liée à la fermeture de son commerce en raison du confinement. "Il y en a marre. J'ai mis toutes mes économies dans mon affaire. Tout est ouvert, mais pas les petits commerçants. Dans mon magasin, on jauge ; je désinfecte ma cabine d'essayage à chaque essayage...", a-t-elle débuté, les larmes aux yeux.
Et d'ajouter : "Je suis à bout, fatiguée. Au dernier confinement, j'ai perdu mes cheveux. La fatigue, le stress... On fait du click and collect, Arrivé le soir, je change toute ma boutique. Je reste jusqu'à une heure du matin. Je rentre chez moi, je suis maman : j'ai 6 enfants, une semaine sur deux. On fait des journées non stop, on n'a plus de vie familiale. Pourquoi ? Parce qu'il faut sauver notre affaire (...) Aujourd'hui, je n'ai pas le droit de vendre des vêtements. Demain, il y a le marché. Vous allez avoir le droit de vendre des vêtements".
Vos réactions
Certes. Mais en quoi son chiffre d'affaire des années passées peut il vous intéresser?
pour savoir si son commerce était viable ou déjà périclitant....
nous savons tous que se genre de commerce (a part pour de grosse société....) ne sont que rarement viable à moyen et long terme.
se n'est que mon avis.
et alors ????
Les fripes étants par essence des vêtements déjà portés, il est normal, pour moi, de faire attention. (et ne me dite pas que certaines personnes ne peuvent pas acheter neuf....
 
magasin de fripes, normal que se soit fermé, montrez nous votre chiffre d'affaire de 2018/2019/2020 apres on en reparle.
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