
Invité de "C à vous" hier soir sur France 5, Harry Roselmack a notamment évoqué les violences policières qui font la Une de l'actualité en ce moment.
Le journaliste a confié: "Mon père était CRS. Et c'est parce que je suis très attaché à la police, à son image, à son éthique évidemment comme l'incarnait mon père à mes yeux et à ceux de ses collègues, que je suis le premier à m'insurger contre les violences policières", Et d'ajouter: "La qualité de policier quand on commet des violences devrait être une circonstance aggravante et pas une circonstance atténuante", tout en rappelant que les forces de l'ordre représentent la République.
"La façon dont sont traitées ces affaires donne l'impression qu'il y a une forme de tolérance et que les policiers sont moins sévèrement punis que les citoyens, alors que ça devrait être l'inverse.", a-t-il poursuivi/
Avant de pointer du doigt "une question de volonté politique (...) Ça ne me semble pas hyper compliqué de faire en sorte que les policiers soient mieux formés, mieux sélectionnés parce que je trouve qu'il n'est pas normal que quelqu'un qui présente un racisme assumé et qui a un biais de traitement différent en fonction du citoyen qu'il aura en face lui, fasse partie de la police".
Et de réaffirmer que pour lui, les forces de l'ordre se doivent d'être "exemplaires"
Vos réactions
un mauvais policier voit un truc qui bouge...y frappe !
un bon policier y voit un truc qui bouge, y frappe mais c'est un bon policier !
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