17/10/2020 20:45

Professeur décapité - Une dixième personne a été placée en garde à vue ce samedi soir - Le procureur anti-terroriste fait état "d'un haut niveau de menace en France" - Un hommage national aura lieu mercredi

20h43: Une nouvelle personne a été placée en garde à vue ce samedi. Dix personnes sont actuellement entendues dans le cadre de l'enquête ouverte pour « assassinat en relation avec une entreprise terroriste » et « association de malfaiteurs terroriste criminelle ».

18h19: L'hommage national à l'enseignant se déroulera mercredi annonce l'Elysée en accord avec la famille. L'hommage national à Samuel Paty, l'enseignant décapité vendredi dans les Yvelines par un jeune homme Russe tchétchène, se tiendra mercredi, a indiqué l'Elysée samedi. Cet hommage, dont le lieu n'a pas encore été annoncé, est organisé en coordination avec la famille. Emmanuel Macron s'était rendu dès vendredi soir sur les lieux de l'attaque, à Conflans-Sainte-Honorine, où il avait dénoncé un "attentat islamiste caractérisé".

18h09: Selon France Info, Abdelhakim Sefrioui, une figure connue de l'islam radical, fichée S, fait partie des personnes placées en garde à vue. C'est cet homme qui a accompagné le père d'une élève voir la principale du collège, pour se plaindre quelques jours après le cours de l'enseignant au cours duquel il a montré des caricatures de Mahomet.

17h38: Le meurtrier du professeur Samuel Paty n'avait plus aucun lien avec la Russie, assure l'ambassade russe. "Ce crime n'a rien à voir avec la Russie, étant donné que cet individu vivait en France depuis 12 ans et avait été accueilli par la patrie française", a déclaré un porte-parole.

15h33 : Des centaines de personnes sont réunies en ce moment à Conflans devant le collège où enseignait ce professeur d'histoire de 47 ans ans.

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15h00: Jean-François Ricard, procureur général du parquet national antiterroriste (Pnat) qui s'est saisi de l'enquête : 

"C'est un enseignant qui a été agressé mais aussi la liberté d'expression. Cela confirme le très haut niveau de la menace dont nous faisons l'objet. Vendredi, à 17h11, la police nationale a été sollicité par la police municipale après la découverte d'un corps sur la voie publique. La police municipale désignait un homme portant une arme de poing comme auteur présumé des faits. La police national a identifié l'agresseur présumé à quelques centaines de mètres du corps découvert. L'agresseur a couru vers les forces de l'ordre en tirant à cinq reprises avec une arme de poing.

Trois des policiers ont riposté, entraînant la chute de l'assaillant. Alors qu'il tentait de se relever et de donner des coups de couteau, il a été neutralisé par les forces de l'ordre. Son corps présente neuf impacts de balles. Un couteau de type poignard, une arme de poing de type airsoft et cinq cartouches de gaz  ont été saisies aux côté de l'agresseur.

L'assaillant portait un titre de séjour, il était né le 12 mars 2002 en Russie, il bénéficiait du statut de réfugié et était inconnu des services de renseignement. Sur le plan judiciaire, il n'a jamais été condamné. Il était toutefois connu pour des affaires de dégradation de biens publics et de violence en réunions. Au moment de ces faits, il était encore mineur.

Les premières investigations ont permis d'établir que début octobre la victime avait, lors d'un enseignement moral et civique dispensé à une classe de 4èmes, évoqué la liberté d'expression. Un débat avait ainsi été organisé autour des caricatures de Mahomet de Charlie Hebdo et de l'opportunité de leurs publications. 

Dès le 7 octobre au soir, le père d'une des élèves publiait sur son compte Facebook un récit des faits faisant état de la diffusion d'une image du prophète nu et appelait à la mobilisation contre le professeur. 

Le père s'est ensuite rendu au commissariat de Conflans-Sainte-Honorine, accompagné de sa fille, pour porter plainte pour "diffusion d'image pornographique". L'élève a indiqué que l'enseignant, préalablement à son exposé, avait demandé aux élèves musulmans de lever la main et de sortir.

De son côté, le professeur, conteste avoir demandé aux élèves musulmans de sortir. Il dit avoir en revanche proposé à ses élèves de ne pas regarder les dessins, dans l'hypothèse où ils auraient pu être heurtés. Le professeur a ensuite déposé plainte pour "diffamation publique".

Le 8 octobre, en fin de matinée, le père de l'élève, accompagné d'un second individu, ont été reçu par la responsable de l'établissement. Et ils ont exigé devant la principale le renvoi du professeur. Le soir-même ils ont diffusé le nom de l'établissement et le nom du professeur. Le soir une vidéo a été postée sur les réseaux sociaux qui citait également Emmanuel Macron et lui attribuait une responsabilité dans ce qui se passait.

Selon les premiers témoignages, l'auteur des faits se trouvait devant le collège dans l'après-midi et avait sollicité des élèves afin qu'ils lui désignent la future victime.

Immédiatement après les faits, un message de revendication a été posté sur un compte twitter", affirme le procureur. En plus d'une photo macabre de la victime, un texte violent justifiait le crime au nom d'Allah.  Dans un autre tweet, il désignait la victime par son nom. Après investigations, les enquêteurs ont prouvé que ce compte twitter était bien celui de l'agresseur. L'assaillant avait enregistré dans son téléphone son texte de revendication ainsi que la photographie de la victime.

Neuf personnes sont placées en garde à vue, dont le père de l'élève. La demi-sœur de cet homme a rejoint l'Etat islamique en Syrie en 2014."

Le procureur n'a pas souhaité répondre aux questions des journalistes à la fin de la conférence de presse.

 

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11h33:  Un hommage National lui sera rendu annonce l'Elysée

Un hommage national sera rendu au professeur d'histoire-géographie, Samuel Paty, assassiné hier soir dans les Yvelines, a indiqué ce samedi l'Elysée. 

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11h25: L'enseignant était visé par une plainte déposée par un parent d'élève le 8 octobre, selon BFMTV. Ce père avait porté plainte pour "diffusion d'images pornographiques" car, selon lui, le professeur avait montré à ses élèves des caricatures de Mahomet, dont une où ce dernier était représenté nu.

09h57: Manuel Valls, ancien Premier ministre, a appelé sur franceinfo "toute la presse" à "publier les caricatures de 'Charlie Hebdo'" dans "les jours qui viennent".

08h56: Selon le Figaro, 9 personnes ont été arrêtées, principalement dans l'entourage de l'assaillant. Parmi les cinq nouvelles personnes, figurent deux parents d'élève du collège où travaillait la victime, ainsi que des personnes de l'entourage non familial de l'assaillant.

08h44: Après le placement en garde à vue cette nuit de quatre personnes, dont un mineur, cinq nouvelles personnes sont en garde à vue, a appris l'AFP samedi de source judiciaire.

07h26: L'assaillant, qui a crié "Allah Akbar" avant d'être abattu par les policiers selon une source proche de l'enquête, n'a pas encore été formellement identifié. Une pièce d'identité retrouvée sur lui indique qu'il serait né à Moscou en 2002, selon une source judiciaire. Les enquêteurs s'intéressent aussi à un message posté sur Twitter par un compte désormais fermé, montrant une photo de la tête de la victime sous laquelle Emmanuel Macron est qualifié de "dirigeant des infidèles". Son auteur, qui assure vouloir venger celui "qui a osé rabaisser Muhammad", est-il l'agresseur ?

06h46: Quatre personnes, dont un mineur, ont été placées en garde à vue dans la nuit de vendredi à samedi après la décapitation d'un professeur d'histoire près d'un collège de Conflans-Sainte-Honorine, dans la banlieue ouest de Paris, a appris l'AFP de source judiciaire. Ces personnes sont issues de l'entourage familial de l'assaillant, qui a été tué par des policiers, selon cette source. La victime avait montré à ses élèves des caricatures de Mahomet. Il a été décapité à quelques mètres du collège, trois semaines après l'attaque devant les anciens locaux de Charlie Hebdo. 

Son agresseur présumé a été tué par la police dans la ville voisine d'Eragny (Val-d'Oise). Le parquet national antiterroriste (Pnat) a annoncé à l'AFP s'être aussitôt saisi de l'enquête, ouverte pour "assassinat en relation avec une entreprise terroriste" et "association de malfaiteurs terroriste criminelle".

05h28: Ce que l'on sait ce matin:

Un professeur d'histoire-géographie, qui avait montré à ses élèves des caricatures de Mahomet, a été décapité près d'un collège vendredi à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines) dans "un attentat terroriste islamiste caractérisé", pour Emmanuel Macron, trois semaines après l'attaque devant les anciens locaux de Charlie Hebdo. "Ils ne passeront pas. L'obscurantisme ne gagnera pas", a martelé, ému, le chef de l'Etat, à l'adresse des islamistes radicaux, lors d'une déclaration à la sortie du collège du Bois d'Aulne de Conflans-Sainte-Honorine où travaillait la victime.

Le président de la République, entouré par les ministres de l'Intérieur, Gérald Darmanin, et de l'Education, Jean-Michel Blanquer, a appelé "la nation toute entière" à se ranger aux côtés des enseignants pour les "défendre". "Ce soir, c'est la République qui est attaquée avec l'assassinat ignoble de l'un de ses serviteurs, un professeur", avait réagi plus tôt sur Twitter M. Blanquer, qui recevra samedi les représentants des personnels et des parents d'élèves.

Le parquet national antiterroriste (Pnat) a annoncé à l'AFP s'être aussitôt saisi de l'enquête, ouverte pour "assassinat en relation avec une entreprise terroriste" et "association de malfaiteurs terroriste criminelle". Le procureur national antiterroriste, Jean-François Ricard tiendra une conférence de presse samedi après-midi.

Les faits se sont déroulés vers 17H00, selon une source policière. Des effectifs de la brigade anticriminalité (BAC) de la ville ont été appelés pour un individu suspect rôdant près du collège du Bois d'Aulne, selon cette source. Sur place, ils ont découvert la victime et, 200 mètres plus loin à Eragny-sur-Oise (Val-d'Oise), ont tenté d'interpeller un homme armé d'un couteau qui les menaçait et l'ont abattu.

"Nous avons besoin de comprendre l'enchaînement des événements, comprendre comment on peut finir décapité quand on est un enseignant au XXIe siècle", a dit Jean-Rémi Girard, président du Snalc (syndicat du secondaire). Quatre personnes, dont un mineur, ont été placées en garde à vue dans la nuit de vendredi à samedi, a appris l'AFP de source judiciaire. Ces personnes sont issues de l'entourage familial de l'assaillant, qui aurait crié "Allah Akbar" avant d'être abattu, selon une source proche de l'enquête.

Selon une source judiciaire, une pièce d'identité a été retrouvée sur l'assaillant indiquant qu'il est né en 2002 à Moscou. Mais les enquêteurs attendent une identification formelle. Ils cherchent également à savoir si l'agresseur est l'auteur d'un message posté sur Twitter par un compte désormais fermé et qui montre une photo de la tête de la victime. Sous cette photo, un message menace Emmanuel Macron, "le dirigeant des infidèles", et son auteur assure vouloir venger celui "qui a osé rabaisser Muhammad". Le choc et l'incompréhension dominaient vendredi soir chez les riverains rencontrés par l'AFP dans ce quartier pavillonnaire, qu'ils décrivent comme calme et sans histoire.

Rodrigo Arenas, coprésident de la FCPE, la première association de parents d'élèves, a dit avoir reçu un signalement vendredi dernier qui faisait état "d'un père extrêmement énervé" après la publication en classe d'une caricature de Mahomet. La victime aurait, selon M. Arenas, "invité les élèves musulmans à sortir de la classe" avant de montrer une caricature du prophète accroupi avec une étoile dessiné sur ses fesses et l'inscription "une étoile est née".

L'attentat a soulevé une vague d'indignation dans la classe politique. A l'Assemblée nationale, les députés se sont levés pour "saluer la mémoire" du professeur et dénoncer un "abominable attentat". "Le séparatisme islamiste doit être combattu sans relâche, sans jamais faiblir", a réagi la députée LREM des Yvelines Aurore Bergé.

"Face à ceux qui veulent nous détruire, détruire la parole libre de nos enseignants, nous devons être implacables et cesser de regarder ailleurs!", a pressé Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France.

Cette attentat atteint un "niveau de barbarie insoutenable", a condamné la présidente du Rassemblement national Marine Le Pen. "Ignoble crime", s'est indigné le leader de la France insoumise Jean-Luc Mélenchon tandis le député PS Boris Vallaud a fait part de son "immense émotion et révolte face à cet acte barbare terroriste".

Charlie Hebdo a exprimé sur Twitter "son sentiment d'horreur et de révolte", estimant que "l'intolérance vient de franchir un nouveau seuil". Cette attaque survient trois semaines jour pour jour après l'attentat au hachoir perpétré par un jeune Pakistanais de 25 ans devant leurs anciens locaux. L'auteur de cet attentat islamiste avait déclaré aux enquêteurs avoir agi en réaction à la publication et la republication par Charlie Hebdo début septembre des caricatures de Mahomet, qui avaient fait de l'hebdomadaire satirique une cible des jihadistes.

Cette republication avait eu lieu à l'ouverture le mois dernier du procès des attentats de janvier 2015, qui doit se tenir jusqu'au 10 novembre. Depuis la vague d'attentats jihadistes sans précédent amorcée en 2015 en France, qui a fait 259 morts avec ce professeur, plusieurs attaques ont été perpétrées à l'arme blanche, notamment à la préfecture de police de Paris en octobre 2019, ou à Romans-sur-Isère en avril dernier.

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Vos réactions

Portrait de Lepton
17/octobre/2020 - 21h33
STUTZEN 550® a écrit :

Je parle de la France. 

De plus vous comparez des choses incomparables pour justifier le misérabilisme et l'invasion des Salafistes.  De plus on ne peut mettre les Protestants au même niveau que  les évangélistes, les témoins de Jehova, les mormons et les Amish.  

Mais même si toutes ses variantes de la chrétientés existent ils s'opposent souvent parfois même par des discours et des écrits.   Mais au contraire des factions de la secte du pédophile bédoin de Médine, ils ne paraderont jamais un acte criminel donné au nom de leur Dieu juste parce qu'il est écrit dans l'ancien Testament  "Dent pur dent" alors que tous coreligionnaires de la secte islam le font en se taisant dans un silence assourdissant. Un Amish ne tolérerait jamais l'assassina d'un humain  au nom de Dieu. Il ne lui ferait jamais de tort direct mais fera tout pour l'empêcher de prospérer. 

Le protestantisme est le tronc,les évangélistes divers  en sont des branches et je ne justifie rien, je vous posais la question suite à votre remarque.. Toutes les religions aboutissent parfois à des excès,je vous épargne le moyen-âge pour les cathos mais plus récemment Yitzhak Rabin a été assassiné par un adepte d'une version exacerbée du sionisme religieux. Il a déclaré lui même agir "au nom de dieu" . Le problème posé par les fanatiques islamistes est bien sûr le plus préoccupant à l'heure actuelle, j'en suis parfaitement conscient.

Portrait de Romynette12
17/octobre/2020 - 20h25

Pour le droit au blasphème quelle que soit la religion ! N'oublions pas qu'une majorité de musulmans dénoncent cette barbarie. On peut se sentir blessé par des propos, dessin et accepter LA LOI française.

Portrait de Lepton
17/octobre/2020 - 20h14
STUTZEN 550® a écrit :

Ils ne le font pas parce qu'ils ne le peuvent pas vraiment vu que les candidats qui osent parler vrai ne sont pas acceptés par les média. 

Regardez le sort qui est fait d'un NDA,  d'une Morano,  et même d'un Zemmour qui n'est que polémiste, même Michel Onfray est menacé de mort par les Muzs.  Et chez les journalistes il y a menaces et demande d'exclusions divers dès que ça pense un peu à droite dur.  Charlotte d'Ornellas plusieurs fois menacée de mort,  Louis de Raguenel écarté d'Europe 1,  etc etc...  

Dès que pointe une personnalité de droite apprécié comme Zemmour, toute la gauche médiatique se lève comme danette devant l'appel de Staline pour envoyer au Pavillon des cancéreux ces suppôts de Satan (selon eux). 

Il y a un temps  que les moins de vingt ans ne peuvent connaître où mes professeurs à l'école m'apprenaitent que ces méthodes étaient le signe d'une dictature. 

Oui car quand dans des universités des étudiants demandent l'interdiction d'un prof parce que son discours ne correspond à leur valeurs religieuse. Quand on spectacle ou une lecture est interdite à la Sorbonne parce que ça choque une partie des étudiants.  Quand des parents tweetent au lieu d'aller voir le prof, la Principale ou le rectorat pour imposer leur sous culture et que l'Etat laisse faire de peur de heurter c'est qu'on est sur le chemin d'une dictature futur. 

"Oui car quand dans des universités des étudiants demandent l'interdiction d'un prof parce que son discours ne correspond à leur valeurs religieuse.

Vous parlez des ouailles des pasteurs protestants aux USA qui font virer les profs qui osent enseigner la théorie de l'évolution de Darwin car elle ridiculise les blablas enseignés par leur chère bible?

Portrait de L_AFRANCE
17/octobre/2020 - 19h59

"Je suis enseignant"

Ce malaise... qui résume la cuckerie ultime des français

Portrait de Oh Yes It's Good
17/octobre/2020 - 18h44

" Le procureur anti-terroriste fait état "d'un haut niveau de menace en France" "

Ah bon ? C'est pas vrai ? T'as un cinglé qui décapite un prof, et ça y'est, on passe à un haut niveau de menace. C'est-à-dire qu'avant, malgré les attentats, malgré un prêtre décapité il y a quelques années, le niveau de menace était encore modéré. 

Portrait de hummerH2
17/octobre/2020 - 17h46
Azrael68 a écrit :

Décapiter un homme en pleine rue, en France, aujourd’hui, n’est pas un fait divers de plus , c’est l’acte de trop !C’est une déclaration de guerre qu’à fait l’Islam contre la France et les Français ! Il est grand temps que la France agisse contre cet Islam une bonne fois pour toute ! Il est grand temps que nos dirigeants prennent la mesure de ce qui se passe dans notre pays !

" Il est grand temps que nos dirigeants prennent la mesure de ce qui se passe dans notre pays !"

 

Depuis 30 ans, tous ceux qui annonçaient ce qu'il allait se passer, et ce qui se passe effectivement de nos jours, se voyaient unanimement traités de "racistes" et "xénophobes" par ceux qui nous dirigent, par les "intellectuels" et autres "bien-pensants", sans oublier les media, et se voyaient et se voient toujours finalement  jugés pour "incitation à la haine raciale" par une justice complice !

Pourquoi voulez vous que cet acte supplémentaire fasse bouger les choses ??

En fait, seuls les Français pourraient faire bouger les choses, à travers leur bulletin de vote, mais ils ne le font pas !

Portrait de L_AFRANCE
17/octobre/2020 - 16h31
Azrael68 a écrit :

Décapiter un homme en pleine rue, en France, aujourd’hui, n’est pas un fait divers de plus , c’est l’acte de trop !C’est une déclaration de guerre qu’à fait l’Islam contre la France et les Français ! Il est grand temps que la France agisse contre cet Islam une bonne fois pour toute ! Il est grand temps que nos dirigeants prennent la mesure de ce qui se passe dans notre pays !

Euh désolé mais rien ne changera hein... 

 

Portrait de L_AFRANCE
17/octobre/2020 - 16h30
nouvellesdujour a écrit :

 c'est incroyable comme la France est lucide après , mais jamais avant !!!

Lucide ? Pour les gagos pendant 2/3 jours et tout disparaitra dans 3 jours

 

Portrait de Azrael68
17/octobre/2020 - 16h12 - depuis l'application mobile

Décapiter un homme en pleine rue, en France, aujourd’hui, n’est pas un fait divers de plus , c’est l’acte de trop !C’est une déclaration de guerre qu’à fait l’Islam contre la France et les Français ! Il est grand temps que la France agisse contre cet Islam une bonne fois pour toute ! Il est grand temps que nos dirigeants prennent la mesure de ce qui se passe dans notre pays !

Portrait de Le libertaire
17/octobre/2020 - 15h37
Wouhpïnaise a écrit :

J'espère que ce déchet ne sera pas inhumé sur le territoire français et que son corps sera renvoyé dans son pays.

Dechet vous dites... pourquoi pas le donner a manger aux cochons dans ce cas ?...ca serait un bon pieds de nez et la meilleure des sanctions a donner pour ceux qui voudraient l'imiter lol

Portrait de Le libertaire
17/octobre/2020 - 15h24

Il faut que les juges qui ont donnes le titre de séjour a l'assaillant rendent des comptes.

Portrait de Wouhpïnaise
17/octobre/2020 - 13h46
Stylgemini a écrit :

Je ne comprends pas tous les commentaires, mais excusez-moi, je ne suis qu'une simple prof d'histoire-géo et d'EMC et je vais juste essayer de faire passer du vécu. En France,  les enfants n'ont aucune connaissance religieuse, quelle que soit leur religion. En cela, ils sont semblables à la plupart des adultes. Or, être laïc ne signifie pas ignorer totalement les religions mais les connaître et les accepter à condition qu'elles respectent notre République. Beaucoup de parents pensent que la laïcité c'est l'absence de référence aux religions ce qui n'est pas du tout cela. La laïcité est la neutralité, le fait d'accepter tout le monde afin qu'il y ait liberté et égalité et nous enseignons donc l'histoire des religions, les croyances de chacune. Nous devons aussi apprendre aux élèves à critiquer, à débattre. c'est très difficile quand il n'y a pas les fondations. Comment faire quand les exigences sont de plus en plus réduites ? Il y a sans doute quelque chose à faire pour cela ?

"En France,  les enfants n'ont aucune connaissance religieuse, quelle que soit leur religion." - C'est faux. En France rien que le catéchisme est enseigné dès l'âge de 7-8 ans (même de 3 à 7 ans pour "l'éveil de la foi" concernant les parents plus croyants). Vous me direz, il y a de moins en moins d'enfants inscrits au catéchisme. C'est vrai. Mais il y a en a quand même. Alors désolé mais le "aucune connaissance religieuse" ne tient pas du tout la route. Il aurait été préférable que vous nuanciez vos propos. smiley

Portrait de Harriet
17/octobre/2020 - 13h29
Stylgemini a écrit :

Je ne comprends pas tous les commentaires, mais excusez-moi, je ne suis qu'une simple prof d'histoire-géo et d'EMC et je vais juste essayer de faire passer du vécu. En France,  les enfants n'ont aucune connaissance religieuse, quelle que soit leur religion. En cela, ils sont semblables à la plupart des adultes. Or, être laïc ne signifie pas ignorer totalement les religions mais les connaître et les accepter à condition qu'elles respectent notre République. Beaucoup de parents pensent que la laïcité c'est l'absence de référence aux religions ce qui n'est pas du tout cela. La laïcité est la neutralité, le fait d'accepter tout le monde afin qu'il y ait liberté et égalité et nous enseignons donc l'histoire des religions, les croyances de chacune. Nous devons aussi apprendre aux élèves à critiquer, à débattre. c'est très difficile quand il n'y a pas les fondations. Comment faire quand les exigences sont de plus en plus réduites ? Il y a sans doute quelque chose à faire pour cela ?

Je vous ai lue avec attention (et même relue), par contre qu'entendez-vous par "des exigences de plus en plus réduites" ?

Pardon, mais pourriez vous être plus explicite ? smiley

Portrait de Stylgemini
17/octobre/2020 - 13h20

Je ne comprends pas tous les commentaires, mais excusez-moi, je ne suis qu'une simple prof d'histoire-géo et d'EMC et je vais juste essayer de faire passer du vécu. En France,  les enfants n'ont aucune connaissance religieuse, quelle que soit leur religion. En cela, ils sont semblables à la plupart des adultes. Or, être laïc ne signifie pas ignorer totalement les religions mais les connaître et les accepter à condition qu'elles respectent notre République. Beaucoup de parents pensent que la laïcité c'est l'absence de référence aux religions ce qui n'est pas du tout cela. La laïcité est la neutralité, le fait d'accepter tout le monde afin qu'il y ait liberté et égalité et nous enseignons donc l'histoire des religions, les croyances de chacune. Nous devons aussi apprendre aux élèves à critiquer, à débattre. c'est très difficile quand il n'y a pas les fondations. Comment faire quand les exigences sont de plus en plus réduites ? Il y a sans doute quelque chose à faire pour cela ?

Portrait de L_AFRANCE
17/octobre/2020 - 13h04

Voilà ou on est dans ce trou :

- des hommages

- Des discours sur twitter

- Des "Je suis prof" par des milliers de cassos sur les réseaux sociaux

- Des bougies (depuis le bataclan, ca c'est le must have)

- Des appels aux mulsulmans de condamner cet acte

Et on oubli et next.

Quel miséable pays

Portrait de lumelec
17/octobre/2020 - 13h02
hummerH2 a écrit :

On va encore avoir droit à un cortège de politiques tous plus hypocrites les uns que les autres et responsables de cette situation venir condamner cet acte devant les caméras, puis un hommage national, une marche blanche, plein de ptites bougies !!! , quelques "courageux" brandiront une banderole "Plus jamais ça",  et......... rien de plus !

En attendant le prochain ! smileysmiley

hélas,, c'est malheureusement vrai

Portrait de hummerH2
17/octobre/2020 - 12h46

On va encore avoir droit à un cortège de politiques tous plus hypocrites les uns que les autres et responsables de cette situation venir condamner cet acte devant les caméras, puis un hommage national, une marche blanche, plein de ptites bougies !!! , quelques "courageux" brandiront une banderole "Plus jamais ça",  et......... rien de plus !

En attendant le prochain ! smileysmiley

Portrait de Wouhpïnaise
17/octobre/2020 - 10h43

J'espère que ce déchet ne sera pas inhumé sur le territoire français et que son corps sera renvoyé dans son pays.

Portrait de tobian
17/octobre/2020 - 08h54

   L'agresseur n'est pas formellement identifié, mais on a arrêté toute sa famille...