donald trump 21h25: Sean Conley, le médecin de Donald Trump: "Le président aurait pu sortir hier, il a reçu un suivi médical 24 heures sur 24 de très grande qualité (...) toute l'équipe médicale continuera à suivre le président de très près".
"Le président va continuer à travailler normalement, dans un espace sécurisé", ajoute-t-il.
20h54: Donald Trump a annoncé lundi qu'il sortirait de l'hôpital en fin d'après-midi, en lançant sur Twitter: "N'ayez pas peur du Covid".
Le président des Etats-Unis, impatient de donner au moins l'image d'un candidat mobilisé par sa campagne à 29 jours du scrutin le voyant briguer un second mandat, aura donc été hospitalisé pendant trois jours depuis son admission vendredi soir, moins de 24 heures après avoir été testé positif au Covid-19.
"Je quitterai le formidable Centre médical Walter Reed aujourd'hui à 18H30 (22H30 GMT)", a tweeté le milliardaire républicain. "Me sens vraiment bien", "mieux qu'il y a 20 ans!", a-t-il insisté.
Il en a profité pour tenter de se présenter comme revigoré par cette épreuve, et pour défendre une fois de plus sa gestion de la pandémie, critiquée de toute part.
"N'ayez pas peur du Covid. Ne le laissez pas dominer votre vie", a-t-il martelé. "Nous avons développé, sous l'administration Trump, de bons médicaments et de bonnes connaissances."
De nombreux experts s'interrogeaient ces dernières heures sur une sortie hâtive de l'hôpital. Mais il ne s'agit nullement d'un retour à la normale: Donald Trump restera encore pour un temps confiné à la présidence, équipée pour qu'il continue à être soigné. Il va donc encore être privé de déplacements dans les Etats-clés pour tenter de refaire son retard dans les sondages face au démocrate Joe Biden.
Or la Maison Blanche ressemble de plus en plus à un foyer virulent du coronavirus.
Après le président, sa femme Melania, sa proche conseillère Hope Hicks et plusieurs autres membres de son équipe, c'est Kayleigh McEnany, la porte-parole de Donald Trump, qui a annoncé lundi avoir été testée positive au Covid-19. A plusieurs occasions ces derniers jours, elle s'est adressée, sans porter de masque, aux journalistes.
Cette annonce, après trois jours de communication cacophonique sur l'état de santé du président de la première puissance mondiale, renforce encore un peu plus l'image d'un exécutif n'ayant pas pris la pleine mesure de l'épidémie.
Le médecin présidentiel a fini par admettre dimanche que l'état initial de son patient avait été plus grave que ce qui avait été officiellement déclaré dans un premier temps, renforçant l'impression d'un vrai manque de transparence, voire d'une réelle inquiétude au plus fort de la maladie.
Faisant volte-face par rapport à son point presse de samedi, le docteur Sean Conley a confirmé que Donald Trump avait bien eu besoin d'une mise sous oxygène vendredi, pendant environ une heure, à la Maison Blanche, un épisode jugé suffisamment inquiétant pour décider de l'hospitaliser le soir même.
Le médecin a aussi annoncé un autre épisode de baisse de la saturation en oxygène survenu samedi matin. Et samedi également, les médecins lui ont administré un troisième traitement, la dexaméthasone, un corticoïde efficace contre les formes graves du Covid-19, en plus de l'antiviral remdesivir et du cocktail expérimental de la société Regeneron, qu'il a reçus dès vendredi.
Le Dr Conley a reconnu qu'il n'avait pas révélé cet incident la veille pour projeter une image "optimiste".
- Avalanche de tweets -
La famille et l'entourage de Donald Trump tentent en effet de dépeindre un président "combattant" prêt à vaincre la maladie et remonter sur le ring.
Dès dimanche, avec sa brève sortie pour saluer depuis sa voiture ses partisans devant l'hôpital, l'ex-magnat de l'immobilier avait manifesté son impatience de reprendre sa campagne.
Car en face, Joe Biden, 77 ans, qui a maintenu voire accru son avance dans les intentions de vote après le débat confus de la semaine dernière face à Donald Trump, continue lui sa campagne à son rythme. Il s'est rendu lundi en Floride, l'un des Etats-clés que le président sortant doit à tout prix remporter à nouveau, comme en 2016, pour conserver un espoir de victoire au niveau national.
Lundi, à défaut de déplacement sur le terrain, le milliardaire républicain a lui renoué avec un rythme très soutenu sur Twitter, après avoir été en retrait depuis son test positif au coronavirus.
Avant même le lever du soleil sur la capitale fédérale des Etats-Unis, le président-candidat s'est lancé dans une longue série de courts tweets, majuscules et points d'exclamation à l'appui, appelant ses sympathisants à voter.
"MARCHES BOURSIERS EN HAUSSE. VOTEZ!". "L'ARMEE LA PLUS FORTE QUI SOIT. VOTEZ!". "LA LOI ET L'ORDRE. VOTEZ!". "LIBERTE RELIGIEUSE. VOTEZ!". "PLUS FORTES BAISSE D'IMPOTS DE L'HISTOIRE ET UNE AUTRE QUI ARRIVE. VOTEZ!". "FORCE DE L'ESPACE. VOTEZ!". "LUTTE CONTRE LES MEDIA FAKE NEWS CORROMPUS. VOTEZ!".

17h27: La porte-parole de Donald Trump, Kayleigh McEnany, a été testée positive à la Covid-19.
La porte-parole de la Maison Blanche, Kayleigh McEnany, annonce avoir été testée à son tour positive au Covid-19, trois jours après l'hospitalisation du président américain. "Après avoir été testée systématiquement négative au Covid-19, chaque jour depuis jeudi, j'ai été testée positive lundi au Covid-19, sans ressentir de symptômes", a-t-elle tweeté, précisant se mettre en quarantaine.

16h15: Le point sur ce que l'on sait cet après-midi
Donald Trump pourrait sortir lundi de l’hôpital mais la décision était encore en suspens, après trois jours chaotiques et la révélation que l’état du président des Etats-Unis, atteint du Covid-19, avait été plus grave que la version officielle initiale.
Avec sa brève sortie de dimanche pour saluer depuis sa voiture ses partisans devant l’hôpital, le milliardaire républicain avait manifesté son impatience de reprendre sa campagne à désormais moins d’un mois de l’élection présidentielle du 3 novembre face au démocrate Joe Biden. A la stupéfaction générale et au risque d’alimenter les polémiques déjà intenses sur sa prise de conscience de la gravité du coronavirus.
«Sa santé continue à s’améliorer», a déclaré lundi matin son chef de cabinet Mark Meadows.
«Sur la base de ses progrès incroyables (...) nous sommes toujours optimistes sur le fait qu’il pourra sortir, mais la décision ne sera prise que plus tard dans la journée», a-t-il ajouté sur la chaîne Fox News.
Le «chief of staff» de la Maison Blanche a précisé que les médecins avaient prévu de faire un point en fin de matinée. La décision sera ensuite prise «par le président en lien avec ses médecins», «au plus tôt dans l’après-midi».
Donald Trump, 74 ans, est hospitalisé depuis vendredi soir après avoir été testé positif au Covid-19 jeudi soir. Aucun bulletin de santé n’a été publié lundi matin après sa troisième nuit à l’hôpital militaire Walter Reed près de Washington, la dernière communication officielle des médecins remontant à la mi-journée de dimanche.
De nombreux experts s’interrogent sur une éventuelle sortie d’hôpital qui leur paraîtrait hâtive. Mais il ne s’agirait nullement d’un retour à la normale: le 45e président des Etats-Unis serait encore pour un temps confiné à la Maison Blanche, équipée pour qu’il puisse continuer à être soigné.
Le médecin présidentiel a fini par admettre dimanche que l’état initial de son patient avait été plus grave que ce qui avait été officiellement déclaré dans un premier temps, renforçant l’impression d’un vrai manque de transparence, voire d’une réelle inquiétude au plus fort de la maladie.
Faisant volte-face par rapport à son point presse de samedi, le docteur Sean Conley a confirmé que Donald Trump avait bien eu besoin d’une mise sous oxygène vendredi, pendant environ une heure, à la Maison Blanche, un épisode jugé suffisamment inquiétant pour décider de l’hospitaliser le soir même.
Le médecin a aussi annoncé un autre épisode de baisse de la saturation en oxygène survenu samedi matin. Et samedi également, les médecins lui ont administré un troisième traitement, la dexaméthasone, un corticoïde efficace contre les formes graves du Covid-19, en plus de l’antiviral remdesivir et du cocktail expérimental de la société Regeneron, qu’il a reçus dès vendredi.
Le Dr Conley a reconnu qu’il n’avait pas révélé cet incident la veille pour projeter une image «optimiste».
La famille et l’entourage de Donald Trump tentent en effet de dépeindre un président «combattant» prêt à vaincre la maladie et remonter sur le ring.
«Je pense que je serai bientôt de retour et j’ai hâte de finir la campagne comme je l’ai commencée», a lancé dès samedi soir l’ex-magnat de l’immobilier, privé pour une durée indéterminée des meetings qu’il affectionne et sur lesquels il comptait pour refaire son retard dans les sondages.
Car en face, Joe Biden, 77 ans, qui a maintenu voire accru son avance dans les intentions de vote après le débat chaotique de la semaine dernière face à Donald Trump, continue lui sa campagne à son rythme. Il devait se rendre lundi en Floride, l’un des Etats-clés que le président sortant doit à tout prix remporter à nouveau, comme en 2016, pour conserver un espoir de victoire au niveau national.
Lundi, à défaut de déplacement sur le terrain, le milliardaire républicain a lui renoué avec un rythme très soutenu sur Twitter, après avoir été en retrait depuis son test positif au coronavirus.
Avant même le lever du soleil sur la capitale fédérale des Etats-Unis, le président-candidat s’est lancé dans une longue série de courts tweets, majuscules et points d’exclamation à l’appui, appelant ses sympathisants à voter.
«MARCHES BOURSIERS EN HAUSSE. VOTEZ!». «L’ARMEE LA PLUS FORTE QUI SOIT. VOTEZ!». «LA LOI ET L’ORDRE. VOTEZ!». «LIBERTE RELIGIEUSE. VOTEZ!». «PLUS FORTES BAISSE D’IMPOTS DE L’HISTOIRE ET UNE AUTRE QUI ARRIVE. VOTEZ!». «FORCE DE L’ESPACE. VOTEZ!». «LUTTE CONTRE LES MEDIA FAKE NEWS CORROMPUS. VOTEZ!».
15h54: La décision sur une éventuelle sortie du président américain Donald Trump de l’hôpital sera prise « plus tard dans la journée », a indiqué lundi matin son chef de cabinet Mark Meadows.
« La décision n’a pas encore été prise », a déclaré M. Meadows sur Fox News. « Sa santé continue à s’améliorer », a-t-il ajouté.
Donald Trump, 74 ans, est hospitalisé depuis vendredi soir après avoir été testé positif au Covid-19 jeudi soir.
« Sur la base de ses progrès incroyables (...) nous sommes toujours optimistes sur le fait qu’il pourra sortir (lundi), mais la décision ne sera prise que plus tard dans la journée », a-t-il ajouté.
M. Meadows a précisé que les médecins avaient prévu de faire un point en fin de matinée et que la décision serait ensuite prise « par le président en lien avec ses médecins ».
Dimanche, un optimisme prudent dominait dans son entourage, bien que le médecin de la Maison Blanche ait finalement admis que l’état initial de son patient avait été plus grave que ce qui avait été officiellement déclaré dans un premier temps.
Faisant volte-face par rapport à son point presse de samedi, le docteur Sean Conley a confirmé que Donald Trump avait bien eu besoin d’une mise sous oxygène vendredi, pendant environ une heure, à la Maison Blanche, un épisode jugé suffisamment inquiétant pour décider de l’hospitalisation le soir.
Le docteur a reconnu qu’il n’avait pas révélé cet incident la veille pour projeter une image « optimiste ».
14h47: Un peu en retrait sur les réseaux sociaux depuis son test positif au Covid-19, Donald Trump a retrouvé lundi matin un rythme très soutenu sur Twitter, depuis l’hôpital militaire de Walter Reed.
Avant même le lever du soleil sur Washington, le président des Etats-Unis s’est lancé dans une longue série de tweets, majuscules et points d’exclamation à l’appui, appelant ses sympathisants à voter.
« MARCHES BOURSIERS EN HAUSSE. VOTEZ! ». « L’ARMEE LA PLUS FORTE QUI SOIT. VOTEZ! ». « LA LOI ET L’ORDRE. VOTEZ! ». « LIBERTE RELIGIEUSE. VOTEZ! ». « PLUS FORTES BAISSE D’IMPOTS DE L’HISTOIRE ET UNE AUTRE QUI ARRIVE. VOTEZ! ». « FORCE DE L’ESPACE. VOTEZ! ». « LUTTE CONTRE LES MEDIA FAKE NEWS CORROMPUS. VOTEZ! ».
Hospitalisé depuis vendredi soir à l’hôpital militaire de Walter Reed, le président américain pourrait sortir dans la journée de lundi, selon ses médecins.
A la stupéfaction générale, il est brièvement dimanche sorti de l’hôpital pour saluer ses partisans depuis sa voiture, suscitant une vive polémique en particulier lié au risque pour les agents du Secret Service l’accompagnant.
Dimanche, un optimisme prudent dominait dans son entourage, bien que le médecin de la Maison Blanche ait finalement admis que l’état initial de son patient avait été plus grave que ce qui avait été officiellement déclaré dans un premier temps.


“I’m voting for Donald Trump. My father is a Union Worker and his 401K has tripled under President Trump.” USA Voter. @foxandfriends Thank you, and remember that the Stock Market is getting ready to break its all time high. NEXT YEAR WILL BE THE BEST EVER. VOTE, VOTE, VOTE!!!!!
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) October 5, 2020
IF YOU WANT A MASSIVE TAX INCREASE, THE BIGGEST IN THE HISTORY OF OUR COUNTRY (AND ONE THAT WILL SHUT OUR ECONOMY AND JOBS DOWN), VOTE DEMOCRAT!!!
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) October 5, 2020
Virginia Voters! Your Governor wants to obliterate your Second Amendment. I have stopped him. I am the only thing between you and your Second Amendment. Working hard in Virginia. It’s IN PLAY. Better Vote for your favorite President, or wave goodbye to low taxes and gun rights!
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) October 5, 2020
09h54: La polémique enflait parallèlement sur les précautions ou l’absence de précautions prises par la Maison Blanche et la famille Trump contre le coronavirus, mais aussi sur la décision de laisser le vice-président Mike Pence continuer à faire campagne pour l’élection du 3 novembre, alors qu’il prendrait l’intérim en cas d’incapacité de Donald Trump.
La politique de prévention de l’exécutif s’est entièrement fondée sur les tests, erreur dénoncée par les experts depuis des mois et qui semble avoir fait de la Maison Blanche un foyer de contaminations.
«On ne peut pas dire d’un côté qu’il faut agir, et de l’autre laisser le virus circuler librement. Il a fini par circuler librement à la Maison Blanche», a regretté Nancy Pelosi, présidente démocrate de la Chambre des représentants, sur CBS.
Ainsi le samedi 26 septembre, des dizaines d’élus et de personnalités républicaines s’y sont pressés pour la nomination par Donald Trump de la juge Amy Coney Barrett à la Cour suprême, en extérieur mais aussi en intérieur -- un événement qui lie de nombreux cas positifs déclarés ces derniers jours, dont des sénateurs et des collaborateurs présidentiels.
L’équipe Biden se retrouve confortée dans sa décision de conduire une campagne limitée, à forte composante virtuelle, et de respecter scrupuleusement les gestes barrières.
Quant au deuxième débat télévisé entre les deux hommes, prévu le 15 octobre, le camp Biden confirme que Joe Biden y sera. Le démocrate, jusqu’à présent négatif dans ses tests, fera également campagne en Floride lundi.
08h12: L’équipe médicale a dit dimanche que l’amélioration des symptômes était telle qu’elle préparait le retour de M. Trump à la Maison Blanche, peut-être dès lundi, où il pourrait poursuivre notamment les injections de remdesivir, le traitement par intraveineuse devant durer cinq jours.
«Notre espoir est de le faire sortir de l’hôpital dès demain et qu’il poursuive ses traitements depuis la Maison Blanche», a déclaré l’un des médecins de l’équipe, le Dr Brian Garibaldi.
Mais Sean Conley a refusé de décrire l’état des poumons de Donald Trump, la question des séquelles se posant pour une charge aussi lourde que la présidence des Etats-Unis. Il a seulement répondu: «Nous avons fait des observations attendues, mais rien de majeur d’un point de vue clinique».
Donald Trump s’est ainsi appliqué dimanche à donner l’image d’un président certes hospitalisé, mais au travail -- «fermement aux commandes», selon Robert O’Brien, son conseiller à la sécurité nationale, sur CBS.
Il a recommencé à tweeter et à téléphoner, comme en ont témoigné son fils Eric, son conseiller Jason Miller, et la présentatrice de Fox News Jeanine Pirro.
Le septuagénaire a fait diffuser des photographies de lui «au travail» depuis l’hôpital, et il a publié deux vidéos depuis l’hôpital. Samedi soir, il admettait que les prochains jours seraient «le vrai test», le Covid-19 étant notoire pour la brusque dégradation que certains malades subissent après une phase initiale tolérable.
Quant à la campagne, un sondage réalisé après le débat présidentiel de mardi dernier mais avant son hospitalisation et paru dimanche rapporte une considérable progression des intentions de vote pour le candidat démocrate Joe Biden: 53% contre 39%, selon cette enquête NBC/Wall Street Journal.
06h41: Donald Trump est sorti de l'hôpital quelques instants cette nuit pour saluer ses partisans depuis sa voiture à l'extérieur de l'hôpital dimanche. Une sortie trop risquée pour les autres occupants du véhicule selon des experts médicaux, à la veille d'un retour possible du président américain à la Maison Blanche. A la surprise générale, un convoi de véhicules noirs est apparu devant les grilles de l'hôpital militaire de Walter Reed près de Washington en début de soirée, et Donald Trump, masqué, a salué à travers la vitre ses nombreux sympathisants, qui y étaient installés tout le week-end. Mais cette initiative a surpris et suscité de vives critiques, en particulier liées au risque pour les agents du Secret Service l'accompagnant.
"Il faut que chaque personne présente dans le véhicule pendant cette sortie présidentielle complètement inutile soit mise en quarantaine pendant 14 jours", a affirmé James Phillips, du département de médecine de l'université George Washington. "Ils peuvent tomber malades. Ils peuvent mourir. Pour le théâtre politique.
Commandés par Trump pour mettre leur vie en danger pour ce théâtre. C'est de la folie". Zeke Emanuel, expert à la télévision et président du Département d'éthique médicale et de politique de la santé de l'Université de Pennsylvanie, a tweeté pour sa part: "Faire conduire ses agents des services secrets avec un patient Covid-19, qui plus est avec des fenêtres fermées, les expose inutilement à un risque d'infection. Et pour quoi? Un coup de pub".
Le porte-parole de la présidence a assuré que les précautions "appropriées" avaient été prises pour protéger M. Trump et son entourage, notamment des équipement de protection.
"La sortie a été validée par l'équipe médicale comme sûre", a ajouté Judd Deere. Peu après cette sortie, la Maison Blanche a fait savoir que le président était revenu à l'hôpital. "J'ai beaucoup appris sur le Covid, je l'ai appris en faisant l'expérience moi-même, c'est l'école de la vie", a-t-il aussi déclaré dans un message vidéo posté sur Twitter, remerciant ses médecins et les "grands patriotes" qui veillent sur lui dehors.
Après deux nuits à l'hôpital, un optimisme prudent dominait dimanche dans son entourage, bien que le médecin de la Maison Blanche ait finalement admis que l'état initial de son patient avait été plus grave que ce qui avait été officiellement déclaré dans un premier temps. Faisant volte-face par rapport à son point presse de samedi, le docteur Sean Conley a confirmé que Donald Trump avait bien eu besoin d'une supplémentation en oxygène vendredi, pendant environ une heure, à la Maison Blanche, un épisode jugé suffisamment inquiétant pour décider de l'hospitalisation le soir.
"J'étais inquiet d'une progression potentiellement rapide de la maladie, j'ai recommandé au président une supplémentation en oxygène", a dit Sean Conley, qui affirme que Donald Trump n'était toutefois pas essoufflé. Le docteur a reconnu qu'il n'avait pas révélé cet incident la veille pour projeter une image "optimiste". Alors que le chef de cabinet présidentiel, Mark Meadows, au même moment, confiait à des journalistes que les 24 heures précédentes avaient été très inquiétantes.
Sean Conley a aussi annoncé que samedi "matin", un autre épisode de baisse de la saturation en oxygène était survenu.
Et samedi également, les médecins ont administré au président un troisième traitement, la dexaméthasone, un corticoïde efficace contre les formes graves du Covid-19, en plus de l'antiviral remdesivir et du cocktail expérimental de la société Regeneron, administrés dès vendredi.
Mais l'équipe médicale a dit dimanche que l'amélioration des symptômes était telle qu'elle préparait le retour de M. Trump à la Maison Blanche, peut-être dès lundi, où il pourrait poursuivre notamment les injections de remdesivir, le traitement par intraveineuse devant durer cinq jours.
"Notre espoir est de le faire sortir de l'hôpital dès demain et qu'il poursuive ses traitements depuis la Maison Blanche", a déclaré l'un des médecins de l'équipe, le Dr Brian Garibaldi. Mais Sean Conley a refusé de décrire l'état des poumons de Donald Trump, la question des séquelles se posant pour une charge aussi lourde que la présidence des Etats-Unis. Il a seulement répondu: "Nous avons fait des observations attendues, mais rien de majeur d'un point de vue clinique".
Vos réactions
Angelussauron, Trump est sorti avec la permission de ses médecins alors ne dis pas n'importe quoi.
D'ou j'ai dis n'importe quoi? j'ai dis qu'il s'est foutu des américains une fois de plus depuis le début, histoire d’être courageux et d'avoir vaincu le virus et de l'avoir compris. Le traitement expérimental c'est du bla bla pour dire regarder les américains ont découvert le traitement qui guéri du coronavirus et on l'a injecté à Trump car il est courageux....
Il est asymptomatique depuis le début juste par précaution que ces médecins l'ont envoyé à l’hôpital c'est tout.
C'est vraiment le pire président américain depuis longtemps. Si il perds il est capable d'emmener son pays à la guerre civile (ses dernières phrases le prouvent).
Décidément tout est bon pour la polémique, il sort masqué, vitre baissé, avec l'autorisation de ses médecins, mais ses opposants relayés par les médias nous expliquent qu'il a mis en danger son service secret (comme s'ils en avaient quelque chose à faire de son service secret).
C'est bien le soucis il se fout de tout (des américains, du covid, son parti, de son service de sécurité, etc...). Il dit qu'il a appris sur le covid, mais il a rien appris du tout il s'est moqué des américains une fois de plus, il a jamais reçu de traitement expérimental.
Le seul truc qui l’intéresse c'est uniquement sa propre personne.
Vive Trump !
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