thierry ardisson 
Le Conseil constitutionnel a rejeté vendredi le recours déposé par Nicolas Sarkozy contre son renvoi en procès dans l'affaire Bygmalion, estimant qu'il pouvait être poursuivi pénalement malgré une sanction financière antérieure intervenue pour les dépenses excessives de sa campagne présidentielle de 2012.
L'ancien président a été renvoyé en février 2017 devant le tribunal correctionnel pour avoir dépassé le plafond des dépenses électorales autorisé, mais il faisait valoir qu'il ne pouvait pas être jugé étant donné qu'il avait déjà été sanctionné pécuniairement en 2013 après le rejet de ses comptes par les instances de contrôle.
thierry ardisson donald trump cheval défilé agression
Vos réactions
Allez les gauchistes craché votre venin.......
cuit?? aucun homme politique n'a jamais une lourde peine !! tout au + une amende qu'il peut soit dit en passant largement payer !!
pouvez vous me citer un homme politique ayant fait de la prison?
si oui j'aimerais des noms merci d'avance !!
Ah là là... Quand une ' rédaction ' ne peut pas ET ne veux pas en dire plus que ce qui fera ' réagir '... Bon après, c'est qu'un ' blog '... Quelle fut la tentative du nabotléon, sur ce coup-là ? Prétendre que son ' infraction ' non-jugée, mais ' sanctionnée ' ( avec pleine acceptation de sa part, comme c'est étrange... ) portant sur des peccadilles devait l'exonérer de poursuites pénales pour les millions finalement avérés...
Je vous la refait ?
Allez... Un voleur vous vole un truc dépassant du sac d'une mamie, sur le marché, et se fait choper, se prend une mandale et repart après avoir présenté des excuses à la mamie... Et puis quelques instants après, la mamie se rend compte que le fumier lui a aussi volé son porte-monnaie... Le voleur aurait-il des ' chances ' de ne pas être ' jugé ' pour avoir volé le porte-monnaie, parce qu'il avait pris une mandale après avoir été attrapé pour le ' petit ' délit ?
Vous dites, si vous n'avez pas compris, je peux tenter une nouvelle reformulation, mais vous devrez supporter une raillerie, si vous osez...
Je n'aime pas que l'on me raille ,alors je vais dire :j'ai bien compris !
Pour la petite histoire, notons que les "Sages",pour prendre cette décision se sont réunis autour du président du Conseil constitutionnel Laurent Fabius, mais sans Alain Juppé, qui s'est "déporté"...
Il reste toutefois une ultime étape et un ultime espoir pour Sarkozy: la Cour de cassation, qui avait transmis la QPC aux "Sages", doit tirer maintenant les conséquences de leur décision mais aussi trancher sur d'autres moyens soulevés par la défense pour contester l'ordonnance de renvoi du juge.
Mais il ne doit plus se faire trop d'illusions maintenant, les jeux sont pratiquement faits.
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