
08h32: D'après les premiers éléments, il s'agit d'un mineur de 17 ans qui se présente comme "le bras armé des gilets jaunes" à Toulouse, mais aucune revendication n'est encore clairement identifiable.
Défavorablement connu de la police Lors de sa prise de parole mardi soir, le procureur de la République de Toulouse Dominique Alzeari a fait savoir que l'individu était connu "défavorablement des services de police pour des affaires de violence sur les forces de l'ordre notamment, de vols et pour participation en décembre à une manifestation de gilets jaunes où il avait été interpellé pour 'participation à un groupement en vue de commettre des violences et des destructions'".
Dominique Alzeari précise néanmoins que le jeune homme n'avait pas un profil "classé comme particulièrement dangereux".
Regardez les images de son interpellation:
Blagnac: Les images de l'interpellation du preneur d'otage pic.twitter.com/EeIs7fJXBy
— BFMTV (@BFMTV) 7 mai 2019
07h01: Les quatre femmes retenues en otages depuis mardi après-midi par un jeune homme de 17 ans dans un bar-PMU de Blagnac, près de Toulouse, ont été libérées "saines et sauves" en début de soirée et le forcené arrêté peu avant minuit. "#Blagnac : le mis en cause a été interpellé.
Reconnaissance et gratitude à l'antenne du RAID et à la BRI pour leur sang-froid et leur professionnalisme. J'associe à ces remerciements toutes les forces de sécurité et secours mobilisées sous l'autorité du Préfet de Haute-Garonne", a écrit le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner sur Twitter peu avant minuit.
Il s'agissait d'une "opération délicate", a souligné devant la presse, sur place, le patron du Raid Jean-Baptiste Dulion, car il a fallu une "très longue négociation" pour le ramener "à la raison et l'interpeller en douceur". "Tout s'est bien passé au final", s'est-il félicité.
Le jeune preneur d'otage, qui était armé, avait déclenché son action à 16H20. Une première femme a été libérée vers 20h00, avant que les trois autres ne soient aussi relâchées, environ une heure plus tard. Il s'agissait de la patronne de l'établissement et d'employées.
"Les femmes ont été libérées, saines et sauves, en bonne santé, après de longues heures de négociation", avait indiqué un peu plus tôt le préfet de Haute-Garonne et d'Occitanie Etienne lors d'un point presse. Le preneur d'otages, un jeune homme de "presque 18 ans, était défavorablement connu pour des affaires de violences, sur les forces de l'ordre notamment, de vol, mais aussi pour sa participation en décembre à une manifestation de +gilets jaunes+, où il avait été interpellé", a précisé le procureur de Toulouse, Dominique Alzeari.
"Ce n'était pas non plus quelqu'un de classé comme dangereux", a précisé M. Alzeari.
Il a laissé à son domicile "un courrier, où il semble assez dépressif, ou en tout cas préoccupé par son état de santé, et il fait une allusion au mouvement des +gilets jaunes+ mais en assurant que l'acte qu'il voulait commettre n'irait pas au-delà de cette démarche finalement un peu spectaculaire", selon le procureur. La piste terroriste avait rapidement été écartée par les enquêteurs.
"Mais on est forcément inquiets quand on a un jeune homme très déterminé et armé", selon le procureur. Le suspect avait tiré deux fois en l'air au début de la prise d'otages, selon une source proche du dossier. Il "aurait déclaré que, si la police intervenait, il tirerait sur les forces de l'ordre", a-t-elle ajouté. Le preneur d'otage est "droit dans ses baskets avec une famille carrée", avait affirmé aux médias un livreur venu sur les lieux après, dit-il, avoir été alerté par le père du preneur d'otage, qu'il fréquentait.
Selon lui le jeune homme, prénommé "Yanis", est originaire du quartier populaire Bélisaire de Blagnac.
Un livreur a affirmé avoir vu la mère du preneur d'otage escortée à deux reprises vers le PMU par la police.
Peu avant l'annonce de la libération, un homme affirmant avoir pu parler au téléphone avec la patronne de l'établissement s'était voulu rassurant devant les médias. La patronne "m'a expliqué qu'ils allaient bien et qu'il a libéré quelqu'un apparemment, il est en train de négocier, il est très calme, il n'y a aucun souci", a affirmé cet homme, Jamel El-Béchir.
"Sur les coups de 16H30, 16H45, j'étais dehors quand un policier, arme au poing, m'a dit de rentrer car il y avait une prise d'otage", a raconté pour sa part à l'AFP un employé d'une agence de voyage située en face du bar-PMU, Jean-Baptiste Boutié. Les policiers ont ensuite fait évacuer la quarantaine de salariés de cette agence.
Très fréquenté, avec "beaucoup de passage en fin d'après-midi" selon M. Boutié, ce bar-PMU est tenu depuis une quarantaine d'années par la même propriétaire, a précisé la mairie.
Le preneur d'otages va maintenant être interrogé pendant 48 heures avant d'être déféré, selon le procureur.
22h05: Le point sur la situation ce soir après la libération à 21h des quatre femmes retenues en otages pendant quatre heures
Les quatre femmes retenues en otages depuis mardi après-midi par un jeune homme de 17 ans dans un bar-PMU de Blagnac, près de Toulouse, ont été libérées «saines et sauves» en début de soirée.
Peu avant 21h30, le preneur d’otage, armé, qui avait déclenché son action à 16H20, était toutefois «toujours retranché dans le bar-tabac», a indiqué le préfet de Haute-Garonne et d’Occitanie Etienne Guyot, lors d’un point de presse sur les lieux.
Une première femme a été libérée vers 20h00, avant que les trois autres ne soient aussi relâchées, selon la même source. Il s’agissait de la patronne de l’établissement et d’employées.
«Les femmes ont été libérées, saines et sauves, en bonne santé, après de longues heures de négociation», a ajouté le préfet.
Le preneur d’otages, un jeune homme de «presque 18 ans, était défavorablement connu pour des affaires de violences, sur les forces de l’ordre notamment, de vol, mais aussi pour sa participation en décembre à une manifestation de +gilets jaunes+, où il avait été interpellé», selon le procureur de Toulouse, Dominique Alzeari. «Ce n’était pas non plus quelqu’un de classé comme dangereux», a précisé M. Alzeari.
Il a laissé à son domicile «un courrier, où il semble assez dépressif, ou en tout cas préoccupé par son état de santé, et il fait une allusion au mouvement des +gilets jaunes+ mais en assurant que l’acte qu’il voulait commettre n’irait pas au-delà de cette démarche finalement un peu spectaculaire», selon le procureur. La piste terroriste avait rapidement été écartée par les enquêteurs
Le suspect avait tiré deux fois en l’air au début de la prise d’otages, selon une source proche du dossier. Il «aurait déclaré que, si la police intervenait, il tirerait sur les forces de l’ordre», a-t-elle ajouté.
21h20: Le préfet s'exprime
"Nous nous réjouissons que les quatre femmes ont été libérées, en bonne santé"
"L'opération est toujours en cours. Le preneur d'otages est toujours retranché dans le bar tabac"
21h19: Le preneur d'otages est "défavorablement connu pour des affaires de violences sur les forces de l'ordre, pour des affaires de vols", a indiqué le procureur de la République, Dominique Alzeari. Et d'ajouter : "Ce n'était pas non plus quelqu'un de classé comme dangereux ou de criblé spécialement".
21h15: Selon BFMTV, le preneur d'otages est toujours à l'intérieur du bar-PMU. Il est seul, sans otages
21h00: Les trois dernières femmes retenues en otage par un jeune homme dans un bar-PMU de Blagnac, près de Toulouse, ont été libérées mardi en début de soirée, a-t-on indiqué de source policière.
Le suspect de 17 ans, connu pour des faits de droit commun et interpellé dans le cadre du mouvement des «gilets jaunes», avait libéré vers 20h00 une première otage. La prise d’otages avait débuté peu après 16h00.
20h27: Ce que l'on sait sur la prise d'otages survenue à Blagnac
Un jeune homme de 17 ans retient mardi soir quatre femmes en otage, depuis plusieurs heures, dans un bar-PMU de Blagnac, près de Toulouse.
«Le suspect est un jeune âgé de 17 ans qui retient en otage la patronne et des employées. Il a tiré deux fois en l’air depuis le début de la prise d’otages», selon une source proche du dossier. «Il n’y a pas de suspicion terroriste, ce n’est pas évoqué», a indiqué à l’AFP la mairie de Blagnac, qui confirme que tous les otages sont des femmes. «L’individu ne ferait pas part de revendication à l’heure actuelle», selon la préfecture.
«Le RAID 31 (Toulouse) est sur les lieux. L’unité centrale du RAID est dépêchée sur place et le RAID 33 (Bordeaux) est en alerte» a indiqué le site twitter de cette Unité.
«L’homme aurait déclaré que, si la police intervenait, il tirerait sur les forces de l’ordre», selon une source proche du dossier.
«Les forces de l’ordre et les sapeurs pompiers présents sur place ont établi un périmètre de sécurité, a pour sa part indiqué la préfecture. Le préfet de la région Occitanie, Etienne Guyot, «a pris la direction des opérations», a-t-elle ajouté dans un communiqué.
Un employé d’une agence de voyage situé en face du bar, qui a requis l’anonymat, a indiqué à l’AFP avoir entendu «quatre coups de feu», aux environs de 16H20, heure à laquelle la prise d’otage a débuté.
Un COD (centre opérationnel départemental) a été ouvert afin de coordonner les actions des différents acteurs intervenant sur le terrain, a précisé la préfecture.
Très fréquenté, avec «beaucoup de passage en fin d’après-midi» selon M. Boutié, ce bar-PMU est tenu depuis une quarantaine d’années par la même propriétaire, a précisé la mairie. Le maire de Blagnac, Joseph Carles, s’est également rendu sur place.
20h25: Selon La Dépêche du Midi, le preneur d'otages se serait présenté comme "le bras armé des Gilets Jaunes"
20h08: Une des personnes retenues en otage depuis le milieu de l'après-midi vient d'être libérée, selon France 2. Il reste trois personnes dans un bureau de tabac de Blagnac.
20h00: Il y a quelques minutes, la préfecture de la Haute-Garonne a publié un communiqué de presse concernant l'opération de police en cours à Blagnac
19h14: La Dépêche du Midi donne plusieurs informations expliquant qu'à 18h14 puis 18h25, deux coups de feu ont été tirés par le preneur d'otages, un mineur de 17 ans qui serait né en juin 2001 et connu des services de police, afin de faire reculer les forces de l'ordre.
Ces dernières ont demandé à un employé du magasin de revenir pour leur décrire le plan des locaux.
Selon la Dépêche, tous les otages seraient des femmes qui auraient été ligotées. Il pourrait s'agir du personnel et de la patronne de l'établissement.
L'individu porte un casque sur lequel une caméra pourrait filmer la scène.
Aucune revendication de sa part n'a été exprimée. A ce stade, la piste terroriste est écartée par les autorités.
18h42: Un homme armé est retranché dans un bar-tabac de Blagnac, près de Toulouse, mardi après-midi. Il prétend détenir des explosifs et détient quatre personnes en otage, selon le parquet de Toulouse.
L''homme est entré dans l'établissement vers 16h20 et a appelé les pompiers, en affirmant détenir des otages.
Rapidement dépêchées sur place, les autorités ont pu établir un contact avec lui, notamment grâce au soutien de l'antenne toulousaine du Raid.
"Sur les coups de 16h30, 16h45, j'étais dehors quand un policier, arme au poing, m'a dit de rentrer car il y avait une prise d'otage", a raconté à l'AFP un employé d'une agence de voyage située en face du bar.
"La police est sur place, elle a bloqué tous les accès autour du PMU", a précisé la mairie de Blagnac à l'AFP.
Selon notre correspondant sur place, tous les accès à la ville ont été bouclés, tandis que les véhicules sont systématiquement fouillés.
Ce bar-tabac, très fréquenté, est tenu depuis une quarantaine d'années par la même propriétaire, a ajouté la mairie.
Le préfet de Haute-Garonne et de la région Occitanie, Etienne Guyot, et le maire de Blagnac, Joseph Carles, sont sur place, selon la même source.
18h40: Une équipe de l'unité centrale du Raid a décollé de sa base de Bièvres, dans l'Essonne, selon une source policière à France 3.
18h25: Le préfet de Haute-Garonne et de la région Occitanie, Etienne Guyot, ainsi que le maire de Blagnac, Joseph Carles, sont sur place
18h17: Selon BFMTV, l'homme est entré dans l'établissement et "a appelé la police en leur demandant de ne pas intervenir, menaçant de s'attaquer à 5 personnes qu'il prétendait retenir en otage"
17h57: Ce que l'on sait
Un individu a pris mardi après-midi quatre personnes en otage dans un bar-PMU de Blagnac, près de Toulouse, ont indiqué à l’AFP le parquet de Toulouse et une source policière.
Le RAID a été dépêché sur place, a précisé la source policière. «L’homme aurait déclaré que si la police intervenait il tirerait sur les forces de l’ordre», selon une source proche du dossier.
«La police est sur place, elle a bloqué tous les accès autour du PMU», a précisé pour sa part la mairie de Blagnac. La prise d'otages a débuté à 16h20.
17h34: Selon La Dépêche du Midi, il pourrait s'agir d'un braquage qui a mal tourné
17h30: La police nationale de la Haute-Garonne précise sur Twitter qu'une "opération de police en cours sur le secteur du plan du Port à BLAGNAC". Elle appelle aux riverains "de bien vouloir éviter le secteur et respecter le périmètre de sécurité".
17h25: Le caractère terroriste est pour l'heure écarté, indique une source policière à BFMTV
17h25: Les autorités sont sur place et le Raid a été placé en pré-alerte. "L'homme réclame un négociateur et menace d'abattre un otage si le périmètre de sécurité n'est pas reculé", rapporte de son côté France 3.
17h23: Selon La Dépêche du Midi, un homme retient depuis le milieu de l'après-midi au moins cinq personnes en otage dans un commerce de Blagnac, à l'ouest de Toulouse.
Nos confrères précisent qu'un périmètre de sécurité de près de 500m a été mis en place autour de l'établissement tabac-presse. "L'homme aurait tenté de tirer sur des policiers", indique La Dépêche.
Vos réactions
Les gilets jaunes ont le dos large ! Facile de tout leur reprocher!
que de conneries sont écrites
un macroniste n'a pas licence pour délivrer des brevets d'intelligence, pas plus qu'un boucher statuer sur de la physique nucléaire
le saviez vous ? avant de s'écraser contre la coque du titanic, l'iceberg avait prété allegeance aux gilets jaunes dans une video youtube ?
Encore une casserole pour la macronie, toujours entrain de creuser, en esperant qu'ils trouvent du pétrole.
que de conneries sont écrites
les gilets jaunes ont bon dos, c'est un taret voilà tout, si c'était pas ça c'était un film d'horreur ou un jeux vidéo violent? quelle belle connerie tout ça, faut assumer au lieu de toujours mettre la faute ailleurs
le saviez vous ? avant de s'écraser contre la coque du titanic, l'iceberg avait prété allegeance aux gilets jaunes dans une video youtube ?
Encore une casserole pour la macronie, toujours entrain de creuser, en esperant qu'ils trouvent du pétrole.
Un plouc.Il voulait une société plus égalitaire... En prenant en otages des citoyens lambdas dans un tabac... Il ne doit pas avoir la lumière à tous les étages, comme ses autres amis, les gilets jaunes qu'il reste encore et qui manifestent pour rien.
Un rassemblement de psychopathes, maintenant le terrorisme !
Encore un taré de GJ qui a voulu se faire remarquer..... ils devraient tous faire un séjour en psychiatrie !
Ça ne commence pas par M , mais c'est Yanis D.
un peu,raciste;
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