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Hier soir dans "C à vous" sur France 5, Catherine Ceylac était l'invitée d'Anne-Elisabeth Lemoine. L'animatrice sort un livre sur la mort où elle évoque notamment les confidences de Jean-Louis Trintignant à propos de la disparition de sa fille, Marie, sous les coups de Bertrand Cantat.
Une mort pour laquelle l'homme de cinéma se sent responsable.
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Avec des "si" oui peut-être elle aurait pu être encore en vie mais elle aurait pu mourir aussi des mêmes causes un peu plus tard parce qu'avec leur personnalité explosive entourée d'alcool et d'autres substances le terrain était déjà propice à la discorde et la violence verbale. Il n'aura fallu qu'un pas de plus pour que la folie prenne toute sa dimension dans l'horreur absolue d'un acte irréversible. Mais bon, on peut comprendre la douleur d'un père qui se reprochera vraisemblablement jusqu'à sa mort de n'avoir pas été assez présent.
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