Une lettre anonyme des gendarmes du GIGN s'en prend vivement à leur chef, le colonel Hubert Bonneau. Ces membres du Groupe d'intervention de la gendarmerie nationale reprochent à leur supérieur d'être "peu courageux" et de ne pas avoir engagé ses hommes au Bataclan lors des attentats du 13 novembre.
Cette lettre de trois pages adressée au patron de la gendarmerie nationale Denis Favier, révélée par Le Canard enchaîné et que l'AFP s'est procurée est seulement signée "l'esprit de l'inter", au nom de membres de la Force intervention, qui regroupe une centaine de militaires.
En cause, notamment, selon ces militaires anonymes -- les syndicats ne sont pas autorisés dans la gendarmerie --, la soirée du 13 novembre. Alors que le groupe étaient pré-positionné au début des attentats, le colonel Bonneau "attendait sagement d'être appelé", accusent-ils.
Vos réactions
Les gendarmes de St Tropez, (de mémoire)
- " Chef Pensez vous que... "
- " J' évite Ça ralenti les réflexes ..."............
le gouvernement aurait laissé le massacre se prolonger ?
C est bien de reprendre les résumés des dépêches.... Mais le stagiaire devrait un peu peu plus bosser et expliquer ce qu est justement l "esprit de l inter" qui a ne signification très forte.
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