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29/04/2016 07:52

Nuit Debout: La Place de la République évacuée par les CRS vers 1h30 après de nouveaux incidents - Regardez

Vidéos | nuit debout
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14 commentaires

Les forces de l'ordre ont dispersé, cette nuit, entre 1h30 et 2 heures, plusieurs centaines de personnes, qui refusaient de quitter la place de la République à Paris.

Elles étaient sur place pour un nouveau rassemblement de Nuit debout, mouvement entamé le 31 mars. Mais celui-ci était autorisé jusqu'à minuit seulement.

Vingt-sept personnes ont été interpellées et 24 placées en garde à vue pour jets de projectile sur les forces de l'ordre, violences et dégradations dans Paris dans la nuit de jeudi à vendredi après la dispersion du rassemblement Nuit debout par les policiers, a annoncé la préfecture de police.

"Jusqu'à 03H30, les forces de l'ordre ont subi des jets de projectiles. On ne dénombre aucun blessé, ni du côté des forces de l'ordre ni de celui des manifestants", affirme la préfecture de police dans un communiqué, précisant que les gardés à vue feront "l'objet de poursuites judiciaires".

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Vos réactions

Portrait de deuns
deuns
29/avril/2016 - 14h02

Y'en à marre de ces tâches qui sont payées à rien branler, pourrissent Paris et qui se revendiquent être les représentants des français. Sans parler des casseurs, ces chances pour la France qui s'en donnent à coeur joie. Mêmes s'il doit y avoir de la casse du côté des branleurs  il faut que le gouvernement fasse enfin cesser tout ça.

Portrait de Laziq
Laziq
29/avril/2016 - 08h31
Villon89 a écrit :

Une seule solution pour tout ceci : le référendum d'initiative populaire via internet (après tout on nous oblige à payer nos impôts via ce support). On pourra ainsi savoir si les revendications de Nuit Debout sont vraiment la représentation majoritaire de la volonté des habitants de ce pays

C'est le bons sens même.

 

La votation est la solution la moins injuste, la moins anti-démocratique pour trouver une solution à ce type de débat.

 

Sauf que la classe politique - UMPS - est contre les votations vu que cela la priverait du monopole de faire les lois.