
Le paparazzi Sébastien Valiela, auteur des photos qui ont révélé la relation du président François Hollande et de l'actrice Julie Gayet, a estimé lundi que le président était "mal protégé" lors de ces rendez-vous, car il n'y avait "quasiment pas de sécurité".
"Il n'y avait quasiment pas de sécurité" autour de l'appartement, situé dans le VIIIe arrondissement, tout près de l'Elysée, où le président et l'actrice se rencontraient, a déclaré sur RTL le photographe, qui avait déjà été l'auteur en 1994 des photos de la fille de François Mitterrand Mazarine Pingeot, publiées par l'hebdomadaire Paris-Match.
"Je pense que le président est mal protégé, qu'il y a un problème de sécurité et que pour pouvoir se rendre à des rendez-vous avec Julie Gayet, il prend des risques", a-t-il insisté.
Le photographe a ajouté qu'il aurait pu "sans aucun problème" attenter à la vie de François Hollande car, "tous les soirs, on était là sans aucune sécurité, même à l'extérieur". "Le président a sous mes yeux fait le tour du pâté de maison" pour "s'engouffrer dans un parking, sur un scooter, le casque pas attaché et avec aucun véhicule derrière", a-t-il dit.
Par ailleurs, "absolument personne" ne protégeait le président quand il était dans l'appartement, a-t-il poursuivi. "A partir du moment où il était dans l'appartement, la sécurité partait", a-t-il indiqué.
Le photographe dit par ailleurs avoir été "surpris" de ce manque de sécurité, estimant "qu'un dispositif autour d'un président normalement, c'est plus important que ça".
"J'ai travaillé à peu près sur tous les derniers présidents. Notamment par exemple pour la photo de Mazarine, on était obligés de se placer à peu près à 300 mètres. Il y avait une quinzaine de gardes du corps, c'était très surveillé, on était loin, on avait un très gros objectif. Là, on était à proximité", a-t-il expliqué. "On n'était pas extrêmement cachés, on n'a pas mis en place quelque chose de très compliqué."
Sébastien Valiela a précisé par ailleurs que ces photos étaient "une commande du magazine Closer". "On s'y est mis après Noël, le 26", a-t-il ajouté, précisant qu'il avait auparavant commencé à "creuser" le sujet à partir du mois de mars.
"Il y avait beaucoup de monde sur le coup. Cette histoire serait automatiquement sortie", a-t-il encore estimé.
Interrogé sur le montant des photos, il s'est contenté de dire: "Vous seriez déçus de connaître le prix." "C'est une histoire franco-française. A partir du moment où c'est une commande, on ne peut pas demander la même chose que si on faisait monter les enchères entre plusieurs journaux. Que ce soit Mazarine ou ça, c'est sans doute les histoires que j'ai vendues le moins cher", a-t-il ajouté.
Vos réactions
Ca ne soulève aucune question/interrogation de savoir que Closer a commandé les photos ????
Dans les hautes sphères, tout le monde était déjà au courant. Donc non, pas de surprise...
Il portait un casque c'est donc qu'il était protégé
Non puisqu'il n'était pas attaché.
quand on est president on doit etre irreprochable ce qui n'est pas son cas !!!
Il portait un casque c'est donc qu'il était protégé
Ah oui... Sortez couvert ! Ok je sors...
non...juste une interrogation sur les plans foireux de ce président!
]non...juste une interrogation sur les plans foireux de ce président!
[/quote]
Moi je pense que ce sont eux le photographe et ce journal pouvelle qui sont des enfoirés, des remue la m.....e t appeler un plan foireux le fait d'avoir une soit-disant maîtresse, me fait doucement rigoler !
Ca ne soulève aucune question/interrogation de savoir que Closer a commandé les photos ????
non...juste une interrogation sur les plans foireux de ce président!
VALLS FERAIT BIEN D'APPLIQUER LA JURISPRUDENCE DIEUDONNE, ET FAIRE INTERDIRE LA CONFERENCE DE PRESSE DE HOLLANDE....C'EST UN VRAI TROUBLE A L'ORDRE PUBLIC !
Il portait un casque c'est donc qu'il était protégé
Ca ne soulève aucune question/interrogation de savoir que Closer a commandé les photos ????
Il ne vaudrait même pas le prix de la cartouche.
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