Björn Borg 
Sandrine Rousseau, élue écologiste du Nord, a évoqué ce dimanche sur RTL le suicide de sa mère, après un long combat contre le cancer.
La porte parole d'Europe Ecologie-Les Verts témoigne de l'agonie de sa mère pendant près de 9 heures. "Elle avait un cancer en phase terminale, elle a mis fin à ses jours de manière volontaire, dans sa chambre", a-t-elle raconté.
Cette dernière avait absorbé des médicaments pour se suicider, "après 26 ans de combat pour la vie", précise-t-elle. "C'était sa volonté, elle voulait partir dignement, elle ne voulait pas se voir trop dégradée".
Et d'ajouter: "J'ai respecté sa volonté, je l'ai fait avec bonheur pour elle".
Pour elle , "Il faut temoigner de la réalité de ce que sont ces departs non encadrés medicalement".
Sandrine Rousseau assume pleinement son acte, même si elle risque des poursuites judiciaires pour non-assistance à personne en danger.
"La cause est plus importante que mon cas personnel", conclut-elle.
Björn Borg matthew perry giorgio armani brigitte bardot école
Vos réactions
Arrêtons de se voiler la face, merci à cette élue de relancer le débat; Trop de persones finissent leur vie dans la souffrance, c'est ça la dignité. Laissons le choix à chacun.
bals des hypocrites - on interdit lre suicide assisté mais les puissants - eux - ont tous les moyens pour mourir dignement - alors, un peu de courage messieurs les députés et sénateurs - il faut que l'on puisse mourir proprement et ne pas être obligé de se jeter par la fen^tre ou pire !
Il faut arrêter de croire que seul les croyants ne sont pas favorables à l'euthanasie active.
Il est très facile de manipuler un conseil d'éthique pour décider d'euthanasier un malade, ou même d'influencer un patient. Par contre, poser une limite légale à l'euthanasie active est difficile.
Dans le long terme c'est la porte ouverte vers le suicide assisté d'individus depressifs, handicapés, trisomiques, bref à tous ceux qui à un moment de leur vie veulent en finir.
Et je ne crois pas que l'hôpital (lieu public) et nos médecins aient ce rôle, la moins pire des solutions seraient d'investir dans les soins palliatifs.
Et gardez pour vous vos exemples de proches ayant souffert, nous avons tous étaient confrontés à la mort durant notre vie. Vous n'êtes pas plus apte de discuter de l'euthanasie, au contraire vous introduisez une dimension sentimentale dans un texte de loi qui doit tous nous protéger : non pas de la mort mais des abus, et de manipulation.
En voulant légaliser l'euthanasie active et donc l'introduire dans l'hôpital qui est un lieu PUBLIC, vous m'impliquez et la société dans un choix PERSONNEL.
Mon attitude peut sembler hypocrite, mais j'assume. Car l'hypocrisie c'est la vie dans ce monde qui a encore besoin de garde-fou.
Bref, ce débat est bien plus complexe, et les croyances et expériences de chacuns ne doivent pas nous influencer. Le "y'a qu'à faut qu'on" n'existe pas dans la médecine.
Tout doit être super encadré, mais je comprend pas la difficulté qu'il y a à poser clairement un diagnostique de maladie incurable et de souffrance insupportable pour accepter l'euthanasie (active, passive, notions inutiles, c'est toujours actif non)
Et quel rapport avec la dépression (curable), l'handicap (s'il ne fait pas souffrir physiquement) et la trisomie (sans commentaire)??!
C'est bien vrai que vous êtes hypocrite, car déjà tous les actes humains ont une base affective/sentimentale. Nous ne sommes qu'expérience et croyances.
Et il est bien entendu que ce droit et devoir doit partir d'un choix personnel du malade (si on le sait incurable je répète).
Enfin, vous parlez de fardeau, alors je rétorquerai sur le même niveau, que si vous voulez portez votre croix (pour vous déculpabiliser de quelque chose éventuellement) sur le dos d'un individu en souffrance extrème, si ça vous donne une raison de vivre (alors que l'autre vous demande d'arrêter sa souffrance) c'est vous que vous aimez mais certainement pas cet autre.
l'euthanasie est un probleme très délicat. Avant je ne me posais pas la question. Elle me semblait indispensable ds l'instant ou la personne le souhaiatait. Et puis, mon mari a été atteint d'un cancer. Lui aussi militait pour l'euthénasie. Lors de sa maladie, il s'est battu de toutes ses forces, et jamais n'a évoqué la volonté de partir ! Pourtant avant d'être malade, il m'avait demandé si j'accepterai de faire ça pour lui...l'instinct de survie surement... Alors dans la mesure, ou la personne la demande, c'est qu'elle a épuisé TOUTES ses forces. ou que son traitement anti douleurs n'est pas bien adapté...quoiqu'il en soit, il faut encadrer l'euthanasie, et l'autoriser. même si moi, je n'aurai pas pu...
Oui vous auriez pu si, comme c'est certain, vous aimez vraiment votre mari.
En fait les gens qui sont contre l'euthanasie et les gens incapables d'aider à faire cesser la soufrance d'une personne aimée, ne pensent qu'à eux.
Les premiers ne pensent qu'à leur petite morale, et les deuxièmes ne pensent qu'a leur propre souffrance de perdre l'être aimé, et n'aiment donc pas vraiment l'autre. Donc si vous aimez vraiment votre mari, vous l'auriez fait.
Oui, allez vite légiférer là-dessus. Pour que vous puissiez tuer n'importe qui pour n'importe quel motif comme ça sera bientôt le cas en Belgique...
L'imbécilité et la cruanté de certains culs-bênit, c'est terrible quand même... En plus ça ose mettre un emblème de liberté comme image de profil! Allez va te cacher inhumain personnage
Sujet très délicat a voir au cas par cas a mon avis
Lowell je partage ce que vous dites complètement !
De plus le refus d'administrer de la morphine (ou autre sédatif fort) sous prétexte que ça risque de le tuer (sic) à quelqu'un en fin de vie qui hurle de douleur, qui n'est pas dans le coma mais qui mourra vite de toute façon c'est IMMONDE de perversité médicale !
Il faut savoir que les mêmes n'hésitent pas à ouvrir la perf si c'est un de leurs proches... c'était du même topo avant la loi sur l'avortement CAD faites ce que je dis mais interdit de faire ce que je fais...
Oui, allez vite légiférer là-dessus. Pour que vous puissiez tuer n'importe qui pour n'importe quel motif comme ça sera bientôt le cas en Belgique...
lorsque la soufrance n'est plus supportable et qu'il n'y a plus aucune guerison possible,il faut laisser le choix d'en finir a ces personnes !!
l'euthanasie est un probleme très délicat. Avant je ne me posais pas la question. Elle me semblait indispensable ds l'instant ou la personne le souhaiatait. Et puis, mon mari a été atteint d'un cancer. Lui aussi militait pour l'euthénasie. Lors de sa maladie, il s'est battu de toutes ses forces, et jamais n'a évoqué la volonté de partir ! Pourtant avant d'être malade, il m'avait demandé si j'accepterai de faire ça pour lui...l'instinct de survie surement... Alors dans la mesure, ou la personne la demande, c'est qu'elle a épuisé TOUTES ses forces. ou que son traitement anti douleurs n'est pas bien adapté...quoiqu'il en soit, il faut encadrer l'euthanasie, et l'autoriser. même si moi, je n'aurai pas pu...
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