
Frédéric Bonnaud a été nommé directeur de la rédaction des Inrockuptibles en replacement d'Audrey Pulvar, démissionnaire fin décembre, a annoncé vendredi le magazine dans un communiqué. Frédéric Bonnaud, 45 ans, qui a commencé sa carrière aux Inrockuptibles, a travaillé depuis 2002 à France Inter, Europe 1, au Mouv’, Mediapart et Arte.
Il prendra ses fonctions à compter du 1er mars. La transition sera assurée par Jean-Marc Lalanne, actuel rédacteur en chef de l'hebdomadaire. Frédéric Roblot est quant à lui nommé directeur général des Inrockuptibles à compter de ce vendredi. Directeur général adjoint des Inrockuptibles depuis 2011, il en était le directeur financier entre 2003 et 2011.
Audrey Pulvar, ex-compagne du ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg, avait été nommée en juillet 2012 directrice générale en charge de l'éditorial aux Inrockuptibles. Elle était également la directrice de la rédaction du journal.
Vos réactions
ha tant que ça
Je l'ai souvent entendu sur Europe 1, il est plutôt un bon journaliste
Depuis le démantellement éditorial entrepris par Bernard Zékri - qui avait déjà plombé Nulle Part Ailleurs en 1998 sur Canal+ et la chaîne itélé à partir de 2001 - les Inrocks ont été transformés en vulgaire news mag politico-parisiano-bobo.
Il est bien mort l'esprit rock et incorruptible de ceux qui l'ont fondé et qui ont été virés il y a plus de 3 ans...
Pour ce qui concerne Nulle Part Ailleurs, Bernard Zekri s'est occuppé de l'émission pendant les deux années où Guillaume Durand la présentait et qui ont été en moyenne les deuxième et troisièmes meilleures audiences de NPA juste après l'année Gildas-Baffie (dernière année de Gildouille) qui détient les records d'audience toutes années confondues. Pour ce qui concerne iTélé la chaîne était dans un tel état de nullité au moment où il l'a prise en main que ça n'a pas été très compliqué pour lui de remonter une audience très proche de zéro... Donc, il n'a rien plombé, au contraire. Alors quand on ne sait pas, on se tait et vous, vous ne savez rien!!!
dont acte, je ne me réabonne toujours pas aux inrocks
let's rock !
Votre sabir se transforme en amphigouri plus que burlesque avec fautes d'orthographe à foison, erreurs de syntaxe, et ponctuation approximative. Cela pique les yeux et devient illisible, je préfère briser là.
Libre à vous cher ami... je vous laisse vous délecter devant la télé-réalité, n'est-ce pas... des choses intéressantes à la lecture de la liste de l'ensemble de vos messages depuis votre inscription sur ce site... il faudra attendre avant la nouvelle saison de Masterchef...
Votre manie de faire des phrases sans verbe est révélatrice de votre manque de fréquentation des bons auteurs. Vous ne devriez pas en abuser, ça devient lourd, lourd, un style de blaireau disait mon professeur de rhétorique.
Si vous aimez George Sand, lisez donc ses critiques, je pense à "Lettre à Charles Edmond sur la ponctuation" vous y apprendrez l'usage judicieux des points de suspension.
Un manque de fréquentation des "bons auteurs"? J'en doute fortement... "bons auteurs", quel drôle de terme... composez, composez... ne laissez pas l'écriture en suspens, si je puis dire... appuyer sur cette force dialectique qui doit vous habitez... en permanence... ne laissez surtout pas aller à votre foi dominante, avec tous ses incidents et ses inflexions, n'est-ce pas... réflexion...
Eliminer le vulgus pecum ? Mais alors qui va voter pour vos chères élites ? Vous avez bien raison, le peuple est trop vil pour de beaux esprits raffinés comme le vôtre qui généralisent à tout va.
Pour votre gouverne et pour parfaire votre connaissance limitée de la langue française, sachez toutefois que le mot "apparence" contient un e dans l'avant dernière syllabe. Que serait le fond sans la forme ? Le fond c'est la forme selon un grand poète nommé Victor Hugo que l'on découvre au collège et que l'on approfondit en faisant ses "humanités". Mais visiblement la vie a été dure pour vous et vous avez dû arrêter vos études bien trop tôt et suivre l'enseignement de gourous douteux et improbables.
En effet, la forme n'est nullement superfétatoire... lorsqu'il y a un fond cohérent, n'est-ce pas, structuré... une assise solide, où l'on peut broder par la suite, n'est-ce pas... la forme seule n'est que vulgarité... infirmité... je me faisais cette réflexion il y a quelques jours en lisant les Mémoires de George Sand, n'est-ce pas...
On sent bien l'homme rigoureux, exigeant et travailleur. Gros, gras, le cheveu en bataille, habillé comme l'as de pique, affalé dans son fauteuil devant les caméras; exigeant avec les autres bien sûr, adepte du laisser aller pour lui-même, mais imbu de sa personne malgré tout.
L'apparance... n'est-ce pas... le fléau de ce monde... ce monde de la publicité... vous en êtes l'exemple type... rejet du fond, n'est-ce pas... petite civilisation en somme... labyrinthe de fatalité... il en faudra du temps pour éliminer ce vulgum pecus qui manque cruellement de raffinement intellectuel...oui, exactement...
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