
La ministre de la Culture et de la Communication Aurélie Filippetti a exprimé dimanche sa "solidarité" ainsi que celle du gouvernement à Sonia Dridi, journaliste de France 24 victime d'une "agression révoltante" vendredi au Caire.
Mme Filippetti, précise un communiqué de son ministère, "a pu joindre ce dimanche Sonia Dridi, correspondante de France 24, et lui témoigner sa solidarité ainsi que celle du gouvernement après l'agression révoltante dont elle a été victime vendredi place Tahrir au Caire".
"La colère qui prévaut face à la difficulté des femmes reporters à pouvoir exercer leur métier librement dans certains pays, va de pair avec une détermination sans faille pour défendre partout la liberté de la presse et ceux et celles qui l'incarnent", poursuit la ministre.
"Malheureusement, ajoute la ministre, les attaques sur des femmes journalistes sont aussi un témoignage douloureux de la situation terrible des femmes dans certaines régions du monde.
Leur courage pour en parler est aussi le moyen de faire évoluer la situation pour toutes les autres femmes", conclut-elle. La correspondante en Egypte de France 24 Sonia Dridi a été agressée et victime d'attouchements à caractère sexuel vendredi place Tahrir au Caire, un nouvel épisode de violences commises contre des femmes journalistes dans la capitale égyptienne.
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Elle qui dit que l'immigration est une chance pour la France, va falloir choisir.
Quelle idée d'aller dans ce pays aussi, qu'on les laisse entre eux
Quand on lit le communiqué de Filippetti, on ne sait si la journaliste a subi un contrôle d'identité musclé par des policiers, ou si elle été attaquée par des individus voulant lui dérober ses effets, argent, bijoux. Sans connaissance de l'info, son communiqué est indéchriffrable. Toujours cette incapacité à nommer les choses quand les sujets sont musulmans.
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