07/08/2011 11:05

Elle affirme avoir été la maîtresse de DSK pendant un an !

Pour la première fois Marie-Victorine M., 38 ans, a décidé de parler et de se confier au journal Suisse l'Illustré qui en fait sa Une.

 

Cette jeune femme affirme qu’elle a été pendant près d’une année la maîtresse de Dominique Strauss-Kahn, une liaison qu’elle a consignée au jour le jour dans un journal intime.

 

Le magazine expolique: "Née de mère espagnole et de père congolais, elle a rencontré le leader socialiste en février 1997 dans sa ville de Sarcelles, en banlieue parisienne, où il était maire. Rendez-vous secrets, baisers volés, elle évoque aujourd’hui une dévorante passion amoureuse. «Mon premier grand amour», dit-elle.

Actuellement consultante, juriste formée à la Sorbonne, à l’ONU à Genève, puis à la Cour pénale internationale à La Haye, Marie-Victorine M. vit depuis 2009 près de Los Angeles, mégalopole qu’elle a décidé de fuir samedi dernier par le premier avion pour se réfugier à Paris.

Harcelée par les journalistes américains désireux de raconter son histoire, sollicitée par le bureau du procureur de New-York (avec l'adjointe duquel elle a déjà eu plusieurs contacts téléphoniques), elle accepte aujourd'hui de se dévoiler pour L’illustré."

 

Dans ses déclarations, Marie-Victorine affirme: "On se voyait plus régulièrement dans un appartement du XVIe arrondissement dont il me disait que c’était le logement d’un de ses amis – un endroit assez spectaculaire, très grand, meublé à l’ancienne – mais aussi au Sofitel, dans le XVe arrondissement.

On pouvait se voir de jour comme de nuit, fréquemment au début, puis on s’appelait souvent aussi, on s’échangeait des textos. Parfois, il m’appelait pour ne rien dire, très tendre avec moi.

Quand le parti socialiste a gagné les législatives, par exemple, il était à la télévision et il prenait le temps de m’appeler. J’étais stupéfaite. «Pourquoi m’appelles-tu?» «Parce que j’ai envie d’entendre ta voix», me susurrait-il. C’était surréaliste."

Ça s’est terminé juste après Yom Kippour, à la fin du mois d’octobre. Entre-temps, il était devenu ministre. C’était devenu compliqué entre nous. Je ne me voyais pas en maîtresse à vie. La relation était intense. Physique."

 

La jeune femme écoque aussi un avortement mais précise qu'elle ne veut pas en dire plus.

 

Enfin, elle affirme, avoir eu un appel de l'avocat de Nafissatou Diallo: "Oui, nous nous sommes parlé au téléphone… (Elle sort son téléphone portable.) C’était le 18 juillet à 9 h 30 du matin, heure de Californie, 12 h 30 à New York. La conversation a duré environ quarante-cinq minutes et s’est passée en présence de mon avocate américaine, Gloria Allred. Ses questions étaient vraiment salaces, chirurgicales. Il m’a proposé aussi de rencontrer sa cliente, mais j’ai refusé."

 

 

 

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Vos réactions

Portrait de history
30/juillet/2011 - 14h41

ca s'arrête quand? car là ca devient pathétique
et ca nous regarde pas cette liaison