Guy Bedos traite encore Nadine Morano de "conne" et affirme avoir "envie de frapper Copé" - Ecoutez

Parce que la Morano elle est pas abrutie et vulgaire?

Continuez Monsieur Bedos a leur mettre le nez dans leur Mer...Et merci de représenter le bon sens du peuple.

"Je ne sais pas ce qui me retient de frapper Copé....si ce n'est le fait qu'il est plus fort que moi et risque de me casser la gueule grave une fois que je l'aurai attaqué...." ont probablement été ses vraies paroles... Bouffon

"Je ne sais pas ce qui me retient de frapper Copé....si ce n'est le fait qu'il est plus fort que moi et risque de me casser la gueule grave une fois que je l'aurai attaqué...." ont probablement été ses vraies paroles... Bouffon

Qu'il se la fasse ( en y arrivant , ce qui est pas certain) et qu'il arrête de nous ennuyer avec son obsession ...

Nadine Morano a été Députée de Meurthe et Moselle. Copé est député du peuple français. Bedos n' ajamais été élu par personne.... 

Il dit dans cette interview de l'insupportable Clark qu'il serait "pour accorder des permis de vote car il y a des gens qui sont pas prêts", qu'il n'est pas déçu par la démocratie mais "par ceux qui ne la comprennent pas". 

Et je passe sur les interventions sidérantes de Clark et dont les associés pouffent de rire à la première insulte formulée. Un rire qui ne résultent pas d'une remarque drôle de la part de Bedos mais qui est juste l'expression irrépressible d'un contentement dès qu'il débecte son mépris sur tel ou tel.

Bedos dit aussi : "La plupart de ceux qui me reçoivent (dans les médias) sont d'accord avec moi en coulisse." Ca veut tout dire 

Et tout se passe dans la plus grande normalité: l'humoriste se répand, la journaliste approuve sans retenue, rit, admire...

La désinhibition est totale; une sorte de journalisme de gauche décomplexé qui prétend sans doute exercer sa mission de service public.  

On vit dans une société où le parti pris idéologique médiatique est hallucinant. La plupart du temps il avance dissimulé par des faux-semblants d'indépendance. Mais le ton, les mots choisis, l'expression des visages de beaucoup de ces fabricants de l'info (...) ne trompent pas.

Mais ils sont inconscients de l'image que leur milieu renvoie, trop occupés qu'ils sont à se féliciter, à se promotionner, à se pistonner pour assurer leur carrière...

C'est une sorte de collectif médiatico-artistique, d'une vaste corporation dont les adhérents se vénèrent eux-mêmes, admirent les mêmes personnes et ont les mêmes détestations.

Des individus, qui en somme évoluent dans une sphère d'influence qu'ils souhaitent à tout prix étendre. Ils revendiquent l'ouverture d'esprit, la liberté d'expression (...) mais dans la réalité ils n'ont aucun sens de l'esprit démocratique puisqu'ils ne s'écoutent essentiellement qu'entre eux.

Et lorsqu'ils font l'effort d'écouter les esprits déviants (ceux en dehors de leurs sphère), c'est dans le but de les caricaturer, détourner leurs propos pour mieux les détruire... Bref, des esprits totalitaires.

Dire «je suis de gauche, je suis de gauche...», faire passer l'insulte pour une marque d'humour, se faire promotionner et pistonner par des médias le qualifiant de génie... Voilà à quoi se résume le talent de Bedos et de quelques autres de ses descendants, imbuvables pour la majorité des français, mais qui ont trouvé le filon de la niche à fric qu'ils prétendent pourtant mépriser. Leur clientèle assez restreinte mais fidèle se persuade que se proclamer de gauche est beaucoup plus une preuve de leur intelligence qu'un banal engagement politique. Elle voit dans les insultes prononcées par leurs idoles à l’encontre des personnes qu’elles exècrent la preuve de leur génie et une forme d'héroïsme face au pouvoir (de droite) bien qu'il s'agisse plutôt de leur unique moyen d'expression pour ne pas tomber dans l'oubli.

Quant à Pascale Clark cette figure de l’inquisition, elle est journaliste du service public !! L’appellation « service public »  a-t-elle d’ailleurs un sens au vu de ce qu’il représente réellement ? Et le journalisme de manière générale  qui se vante sans cesse de son indépendance alors que c’est un milieu grouillant d’individus partisans faisant semblant de ne pas l’être, peut-il prétendre nous informer ? Une chose est certaine : ils sont convaincus d’œuvrer pour l’intérêt général.

La force de ce système médiatique est de faire en sorte que leur parti pris passe inaperçu ou du moins qu’il soit considéré par nous comme une donnée normale et ne devant susciter aucune contestation.  

La société s’est habitué à cet ostracisme français de la part d’un certain milieu qui avec suffisance se croit porteur (prêcheur) de la bonne parole et qui est si prompt à corriger, dénoncer et caricaturer tout propos de ceux qu’il considère comme des déviants ou des mal-pensants. Il ne s’agit plus là de débat, de confrontation des points de vue, ni même de réflexion mais d’une idéologie vécue par certains comme un acte de foi. Bref la pensée unique.

Mais soyons juste et lucide. Il s'agit en fait d'un ostracisme bienfaiteur dont le but est de nous éclairer, et leur reprocher d’œuvrer pour notre enrichissement d’esprit serait une forme d’ingratitude. C’est d’ailleurs la mission du service public d’agir en ce sens. Tous, nous leurs sommes donc redevable et payons donc la redevance.

En effet, engagement politique et esprit partisan du service public, c'est normal en démocratie. D'ailleurs, la Gauche française aime la démocratie; elle en est l'unique garante. Elle pense que les médias de service public doivent éclairer et éduquer les esprits désœuvrés et perdus dans la complexité du monde. C’est une mission d’ordre divin que celle d’inculquer la bonne pensée et de mettre à mal les systèmes parasites susceptibles de nous faire douter de Sa bonté. Elle incruste en nous la certitude de penser juste et fait de nous des êtres doués de raison, éclairés, aptes à répandre la lumière sur les esprits en proie au doute, naïfs ou réfractaires. Quel honneur plus grand en tant que citoyen que celui de payer la redevance audiovisuelle, impôt divin qui finance la vertu. Nous sommes ainsi des mécènes de notre propre santé mentale et aptes à exercer notre souveraineté.

C’est ça la Démocratie! Amen.

Ce sale type est un cancer incurable dont on aimerait bien se débarrasser de nos écrans

Il me fera toujours autant rire celui là. Cela fait du bien de donner un coup de pied dans la fourmillière et courageux de faire part de ses opinions et de battre en brèche le politiquement correct dans la mesure où on ne porte pas atteinte à l'intégrité d'une personne.  C'est avant  tout du second degré.

C'est un facho