09/01/2023 10:55

Brésil : La police a repris le contrôle après que des centaines de partisans de l'ex-président Jair Bolsonaro aient envahi les principaux lieux de pouvoir à Brasilia - Regardez

10h55: Le pape François a évoqué lundi les « crises politiques » sur le continent américain, sources de « tensions et de violences », évoquant en particulier le Brésil, où des partisans de l’ex-président Jair Bolsonaro ont envahi dimanche des lieux de pouvoir. « Je pense aux diverses crises politiques dans plusieurs pays du continent américain, avec leur lot de tensions et de formes de violences aiguisant les conflits sociaux », a-t-il affirmé lors de ses voeux au corps diplomatique au Vatican.

« Je pense particulièrement à ce qui s’est passé récemment au Pérou et ces dernières heures au Brésil », a-t-il précisé. Cette allusion à la situation au Brésil ne figurait pas dans la version originale de son discours communiquée aux journalistes. Le pape a également noté, « dans de nombreuses régions, des signes d’affaiblissement de la démocratie dus aux croissantes polarisations politiques et sociales, qui n’aident pas à résoudre les problèmes urgents des citoyens »

10h06: La Chine "s’oppose fermement à l’attaque violente" contre les lieux de pouvoir au Brésil, pris d’assaut dimanche par des partisans de l’ex-président d’extrême droite Jair Bolsonaro, a déclaré lundi un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères. « La Chine suit avec attention et s’oppose fermement à l’attaque violente contre les autorités fédérales au Brésil le 8 janvier », a déclaré le porte-parole, Wang Wenbin, lors d’un point de presse régulier.

Pékin « soutient les mesures prises par le gouvernement brésilien pour calmer la situation, rétablir l’ordre social et préserver la stabilité nationale », a-t-il ajouté.

Après plusieurs heures d’un chaos qui a rappelé l’invasion du Capitole à Washington il y a deux ans après la défaite électorale de l’ex-président américain Donald Trump, les forces de l’ordre brésiliennes ont repris le contrôle du palais présidentiel, du Congrès et de la Cour suprême envahis dimanche par des centaines d’opposants au nouveau chef de l’Etat Luiz Inacio Lula da Silva.

« Nous estimons que, sous la direction du président Lula, le Brésil maintiendra la stabilité nationale et l’harmonie sociale », a encore dit Wang Wenbin, qualifiant le Brésil de « partenaire stratégique global » de la Chine. Le président chinois Xi Jinping s’était dit fin octobre « prêt à travailler » avec Lula, tout juste élu, afin de renforcer le partenariat entre les deux pays.

09h21 : Le point de la situation ce matin - Les autorités judiciaires au Brésil ont lancé les premières investigations pour déterminer les responsabilités de la prise d'assaut de plusieurs bâtiments officiels dimanche par des partisans de l'ex-président d'extrême droite Jair Bolsonaro à Brasilia, où est revenu l'actuel chef état Luiz Inacio Lula da Silva qui a dénoncé l'oeuvre de "putschistes".

Après plusieurs heures d'un chaos qui a rappelé l'invasion du Capitole à Washington il y a deux ans, les forces de l'ordre ont repris le contrôle du palais présidentiel, du Congrès et de la Cour suprême envahis dimanche par des centaines de manifestants anti-Lula, selon le ministre de la Justice et de la Sécurité Flavio Dino.

"Les putschistes qui ont promu la destruction des propriétés publiques à Brasilia sont en train d'être identifiés et seront punis. Demain nous reprenons le travail au palais de Planalto. Démocratie toujours", a tweeté le président de gauche, qui a inspecté les bâtiments saccagés à son retour à Brasilia tard dimanche soir.

Plus de 300 personnes ont été interpellées et le parquet général a demandé l'ouverture immédiate d'investigations pour établir "la responsabilité des personnes impliquées" dans l'attaque des bâtiments officiels. La zone avait été bouclée par les autorités. Mais les bolsonaristes, pour beaucoup habillés du maillot jaune de la Seleçao, la sélection de football du Brésil, un symbole qu'ils se sont approprié, sont parvenus à forcer les cordons de sécurité. Ils ont provoqué des dégâts considérables dans les trois immenses palais, qui sont des trésors de l'architecture moderne et regorgent d'oeuvres d'art.

Des tableaux d'une valeur inestimable ont été endommagés, dont "Les mulâtres", du peintre moderniste Di Cavalcanti, exposé au Palais présidentiel et percé de plusieurs trous, selon des photos circulant sur les réseaux sociaux.

Sur les réseaux sociaux ont également circulé des vidéos montrant des bureaux de parlementaires saccagés. Un manifestant s'est assis sur le siège du président du Sénat, un mimétisme saisissant avec les émeutiers partisans de l'ex-président américain Donald Trump qui avaient envahi le Capitole il y a deux ans.

Plan de Brasilia, la capitale du Brésil, situtant la Place des Trois pouvoirs, le palais présidentiel, le Congrès et la Cour suprême

Selon la chaîne CNN, des manifestants ont mis le feu au tapis d'un salon du Congrès, qui a dû être inondé pour éteindre l'incendie. Un syndicat de presse a fait état de l'agression de cinq journalistes.

Parmi eux, un photographe de l'AFP a été frappé et s'est fait voler tout son matériel. "Nous ne reconnaissons pas ce gouvernement parce qu'il est illégitime", a déclaré à l'AFP Victor Rodrigues. "Nous ne reculons pas, nous allons partir d'ici mais nous reviendrons", a-t-il promis.

07h23: Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva a annoncé qu'il reprendrait le travail dès aujourd'hui dans ses bureaux de Brasilia, pris d'assaut la veille par des centaines de partisans de son prédécesseur d'extrême droite, Jair Bolsonaro. "Les putschistes qui ont promu la destruction des propriétés publiques à Brasilia sont en train d'être identifiés et seront punis. Demain, nous reprenons le travail au palais de Planalto. Démocratie toujours"

 

06h10 : Après plus de quatre heures, les forces de l'ordre sont parvenues à évacuer le Congrès, où les dégâts sont nombreux, les manifestants brisant tout ce qu'il pouvaient dans ce bâtiment moderniste qui abrite le Sénat et la Chambre des députés. Ils ont escaladé la rampe menant au toit d'où ils ont été délogés par des grenades assourdissantes lancées par les forces de l'ordre depuis un hélicoptère, a constaté l'AFP.

Contrairement à l'assaut du Congrès américain à Washington en janvier 2021, survenu un jour de semaine, les bâtiments gouvernementaux envahis à Brasilia, dont le palais présidentiel de Planalto et le siège de la Cour suprême, étaient vides en ce dimanche. Selon la chaîne CNN, des manifestants ont mis le feu au tapis d'un salon du Congrès, qui a dû être inondé pour éteindre l'incendie.

Sur les fenêtres de la façade qui n'ont pas été brisées étaient inscrites certaines des revendications: "Intervention maintenant", "Suppression des trois pouvoirs", exécutif, législatif et judiciaire. Sur la place, deux voitures de police ont été vandalisées et au moins une a été incendiée.

À la tombée de la nuit, la police a finalement évacué les trois bâtiments et procédé à des arrestations. Jair Bolsonaro lui-même a condamné "les déprédations et invasions de bâtiments publics". Mais il a dans le même temps "rejeté les accusations, sans preuve" de Lula, qui a déclaré que le discours. de son prédécesseur avait "encouragé" les "vandales fascistes". Victor Rodrigues, affirme qu'il n'abandonnera pas la lutte : "Nous ne reculons pas, nous allons partir d'ici mais nous reviendrons".

04h32: Sur Twitter, Joe Biden a fait part de son "plein soutien" aux "institutions démocratiques du Brésil" après le saccage dans la capitale Brasilia des lieux de pouvoir (Congrès, Cour suprême, palais présidentiel) par des partisans de l'ex-président d'extrême droite Jair Bolsonaro "Je condamne l'assaut contre la démocratie et contre le transfert pacifique du pouvoir au Brésil", a ajouté le président américain, en référence aux violences une semaine après l'investiture de Lula.

02h28: Arrivé dans la soirée dans la capitale, le chef de l’Etat, en fonction depuis seulement une semaine, a constaté les dégâts. Plus tôt, depuis Araraquara, dans l’Etat de Sao Paulo, il avait dénoncé des « vandales [et] fascistes fanatiques ». « Nous allons tous les retrouver et ils seront tous punis de manière que personne n’ose avec un drapeau national sur le dos ou en portant le maillot de l’équipe brésilienne de football prétendre être patriote, être Brésilien, et faire cela », avait-il prévenu. « Ceux qui ont financé ces manifestations]vont payer pour ces actes irresponsables et antidémocratiques », avait également insisté le président Lula, avant de prendre un vol pour la capitale.

00h02: La police a évacué le Congrès brésilien, la Cour suprême et le palais présidentiel à Brasilia, plus de quatre heures après l'assaut donné ce dimanche par des centaines de partisans de l'ex-président d'extrême droite Jair Bolsonaro. Des centaines de personnes ont pénétré dans ces trois lieux de pouvoir dans la capitale brésilienne

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Dimanche 8 janvier

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22h28: Emmanuel Macron condamne dans un tweet l'assaut sur le Parlement brésilien : "La volonté du peuple brésilien et les institutions démocratiques doivent être respectées."

22h18: Le Président Lula annonce la mobilisation de l'armée dans la région de Brasilia

 

21h55: Plusieurs élus français, du camp présidentiel et de l'opposition de gauche, ont fustigé dimanche soir les «attaques de l'extrême droite» au Brésil et ont affiché leur soutien au président Lula après l'envahissement de plusieurs institutions par des militants bolsonaristes. Alors que plusieurs institutions brésiliennes ont été envahies par des militants bolsonaristes, ce dimanche 8 janvier, plusieurs élus français ont dénoncé les «les attaques de l'extrême droite» au Brésil.

«Solidarité avec le peuple brésilien, dont les institutions sont attaquées par des militants d'extrême droite. Voilà où mène le complotisme, la délégitimation d'un président démocratiquement élu et la remise en cause du suffrage universel», a tweeté l'eurodéputé macroniste Stéphane Séjourné, à la tête du parti Renaissance.

A gauche, l'Insoumis et ex-candidat à la présidentielle Jean-Luc Mélenchon a accusé «l'extrême droite» brésilienne de «tenter un putsch en mode Trump contre le nouveau président de gauche Lula». «Solidarité avec la démocratie brésilienne !», a-t-il écrit sur le même réseau social.

21h50: Le président Lula va s'exprimer sur cette attaque du Parlement et des lieux de pouvoir dans les prochaines minutes

 

21h32: Les bolsonaristes radicaux arrivés en masse ont pris de court les forces de sécurité, qui ont tenté de les repousser à l'aide de gaz lacrymogène, une semaine après l'investiture du président de gauche Lula, dont ils n'ont jamais reconnu la victoire contre Jair Bolsonaro à la présidentielle d'octobre.

21h11: «Cette tentative absurde d'imposer une volonté par la force ne va pas prévaloir. Le gouvernement du District fédéral (de Brasilia) va envoyer des renforts et les forces dont nous disposons sont en train d'agir», a déclaré sur Twitter Flavio Dino, ministre de la Justice et de la Sécurité publique. Samedi, Flavio Dino avait autorisé le déploiement d'agents de la Force Nationale, une force spéciale de police parfois envoyée dans les différents États en cas de menace contre la loi et l'ordre.

21h02: Une véritable marée humaine de manifestants vêtus de jaune et vert a pris d'assaut les principaux lieux de pouvoir du pays à Brasilia, a constaté l'AFP, des images impressionnantes qui rappellent l'invasion du Capitole à Washington en janvier 2021.

20h29: La zone autour du Congrès avait été bouclée par les autorités, mais les bolsonaristes qui refusent d'accepter l'élection de Lula sont parvenus à rompre les cordons de sécurité et plusieurs dizaines d'entre eux sont parvenus à monter sur la rampe de ce bâtiment à l'architecture moderne pour en occuper le toit. D'après des vidéos circulant sur les réseaux sociaux, ils ont réussi à entrer dans le Congrès. Des manifestants se sont également introduits dans le palais présidentiel. Le chef d'État Lula ne se trouve apparemment pas sur place, rapportent des reporters brésiliens.

20h14 : Des centaines de partisans de l'ex-président brésilien Jair Bolsonaro ont envahi  les principaux lieux de pouvoir à Brasilia, le Congrès, la Cour suprême et le Palais présidentiel de Planalto, faisant beaucoup de dégâts, selon des images circulant sur les réseaux sociaux. Ces manifestants protestent contre le retour au pouvoir il y a une semaine du président de gauche Luiz Inacio Lula da Silva, qui a battu Bolsonaro au second tour le 30 octobre.

19h38: La police brésilienne a utilisé ce soir des bombes lacrymogènes pour tenter de repousser des centaines de partisans de l'ex-président Jair Bolsonaro qui ont envahi l'extérieur du Congrès à Brasilia, une semaine après l'investiture du président de gauche Luiz Inacio Lula da Silva, a constaté un photographe de l'AFP.

 

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Vos réactions

Portrait de Thom70
9/janvier/2023 - 18h09
Tempura a écrit :

Ces résistants inspirent le respect et sont dans le vrai, surtout quand on voit toutes les ordures mondialistes qui soutiennent le putsh frauduleux de lula. Mais ce mouvement est un canard sans tête, sans un général, un leader fort qui en émerge, ça n'ira pas bien loin. 

Bolsonaro est comme Trump, il n'a pas les couilles de renverser le pouvoir.

Pour renverser un gouvernement ou un président, règle de base : être soutenu par L'ARMÉE ! Regardez tous les gouvernements dans l'histoire aussi bien en Amérique du Sud ou sur le continent africain...

Portrait de Thom70
9/janvier/2023 - 18h06
Suricate68 a écrit :

qu'attends-tu pour lancer ta révolution ?

j'avais bien l'impression que le roi du blablabla c'est toi...

Ma révolution est déjà faite bonhomme,  il y a une période, ça s'appelait la vraie guerre pour LA LIBERTÉ ! Crois moi, je sais ce que je dis, vers des années 1975....et les membres de ma famille y sont laissés leur peau, tu vois, c'est pas du bla bla, alors que toi, derrière ton écran,...

Portrait de Tempura
9/janvier/2023 - 15h18

Ces résistants inspirent le respect et sont dans le vrai, surtout quand on voit toutes les ordures mondialistes qui soutiennent le putsh frauduleux de lula. Mais ce mouvement est un canard sans tête, sans un général, un leader fort qui en émerge, ça n'ira pas bien loin. 

Bolsonaro est comme Trump, il n'a pas les couilles de renverser le pouvoir.

Portrait de Talya
9/janvier/2023 - 11h06
Suricate68 a écrit :

eh ben, en voilà une info !!! sources STP 

Je ne suis absolument pas trumpiste, mais là ça va un peu trop loin - d'habitude c'est lui qui lance des infox, il ne faudrait pas utiliser les mêmes pratiques contre lui (la vérité suffit amplement)

aucun média français n'en parle et toi tu as accès à des dossiers explosifs

Attends toi à recevoir le prix pulitzer

L'article est lisible dans le NY TIMES. Je cite : " le New York Times rassemble les pièces d’un puzzle qui, pour la première fois, met en relation le piratage russe de l’élection présidentielle américaine de 2016 et l’invasion de l’Ukraine par l’armée russe.

Au cœur de l’article, le « plan Marioupol ». Un plan secret qui implique un obscur homme d’affaires russe, un lobbyiste américain, un club privé situé au cœur de Manhattan. Et, bien sûr, l’ancien président américain Donald Trump et le président russe Vladimir Poutine. Le célèbre journal américain met en lumière un complot international dans lequel Trump et Poutine (ou leurs hommes de paille) collaborent main dans la main."

Compte tenu de la façon de procéder de l'ancien président Trump et de l'ingérence russe dans la dernière campagne américaine via les réseaux sociaux, cette information est complètement crédible. Il suffit de s'intéresser à la presse étrangère, de savoir lire et de comprendre l'anglais. Pour le prix pulitzer je n'en ai pas besoin !

Portrait de Talya
9/janvier/2023 - 08h47
AntinemesisBack a écrit :

Bravo au peuple brésilien qui tente de pousser vers la sortie ce Lula, condamné a 12 ans de prison pour corruption et blanchiment d'argent.

Et vivement le retour de Trump (le soit disant "fou" qui n'a déclenché aucune guerre sauf celle des mots sur twitter) pour stabiliser les relations avec la Russie et chercher réellement la médiation , tout le contraire de l'administration Biden qui nous pousse vers la souffrance et la guerre mondiale avec Macron en roquet.

Le New York Times a lâché une bombe. Le célèbre journal américain explique comment des hommes de Trump et de Poutine se sont mis d’accord : des élections truquées en échange de l’invasion de l’Ukraine. C'est cela la conception de la Démocratie que vous voulez + la destruction de la forêt Amazonienne en plein réchauffement climatique en guise de cerise sur le gâteau ?

Portrait de Thom70
9/janvier/2023 - 07h52

Au moins, ils ont des cojones pour faire cela, les européens sont connus pour très bien faire du bla Bla, pour les autres, ça s'appelle faire la révolution, il paraît que les français faisait cela il y a une période lointaine, très lointaine... 

Portrait de Angelussauron
9/janvier/2023 - 05h32
Tempura a écrit :

La gauche pense qu'elle peut frauder toutes les élections pour mettre ses gouvernements corrompus un peu partout.

Il y a encore des peuples qui résistent. Mais ces braves gens se feront taxer d'extrême droite h24 par les médias complices, comme toujours.

 

C'est bien une méthode "Trumpiste" de critiquer les élections et d'appeler à la fraude. Vous savez très bien que le peuple est manipulable (et encore plus avec les électeurs radicaux) et si l'adversaire ne reconnait pas sa défaite et parle de fraude cela permet de chauffer son électorat.

Alors lui est plus lâche que Trump par contre il pilote tout des États Unis.

 Oui Lula est un voleur et condamné c'est aussi pour ça que j'avais dis que le choix était entre la peste et le choléra mais Bolsonaro et ses partisans peuvent créer une guerre civile ce qui en fait le personnage le plus dangereux il faut mieux un voleur qu'un fou.

Contrairement aux Etats unis par contre c'est qu'il y avait des extrémistes que dans un sens, là au Brésil tu as vraiment l’extrême gauche et droite bien identifié donc cela peut très mal finir.

 

Imaginez vous une France coupé en deux entre les électeurs de Mélanchon et ceux de Zemmour (Je met volontairement Le Pen de coté pour parler des plus radicaux). On serait proche de la guerre civile et c'est ce qu'il se passe au Brésil actuellement. Le peuple d’extrême gauche peut a tout moment se soulever contre ses extrémistes de droite et ça sera la guerre.

"La haine rends non seulement aveugle et sourd mais incroyablement bête"

Portrait de COLIN33
8/janvier/2023 - 23h47 - depuis l'application mobile

Bolsonaro et ses progénitures doivent être expulsés tout de suite des USA....

Portrait de Tempura
8/janvier/2023 - 23h40

La gauche pense qu'elle peut frauder toutes les élections pour mettre ses gouvernements corrompus un peu partout.

Il y a encore des peuples qui résistent. Mais ces braves gens se feront taxer d'extrême droite h24 par les médias complices, comme toujours.

Portrait de COLIN33
8/janvier/2023 - 22h05 - depuis l'application mobile

Bolsonaro doit disparaitre de la vie politique brésilienne, Vive LULA !!! président pour la 3ème fois...

Portrait de COLIN33
8/janvier/2023 - 20h39 - depuis l'application mobile

Bolsonaro est parti aux USA pour diriger a distance ces manifestations, il a dû s'inspirer du coup d'état raté de Trump.... Ces individus doivent disparaître de la vie politique mondiale...