02/03/2021 17:26

EN DIRECT - Coronavirus - "Les semaines qui arrivent vont être difficiles", a déclaré le Premier ministre Jean Castex - Seulement 25% des doses de vaccins AstraZeneca reçues en France ont été utilisées

17h25: Seulement 25% des doses de vaccins AstraZeneca reçues en France ont été utilisées, a indiqué mardi le ministère de la Santé, reconnaissant qu'il y avait une "problématique" de sous-consommation de ce vaccin contre le Covid dans les hôpitaux. "Sur AstraZeneca, il y a une situation qui est particulière: nous sommes dimanche soir à 24-25% de consommation des stocks", contre "quasiment 70%" en moyenne pour l'ensemble des vaccins disponibles, a-t-on expliqué au ministère lors d'un point hebdomadaire sur les vaccins. Sur les 600.000 premières doses de ce vaccin, livrées début février aux établissements de santé pour les soignants de moins de 65 ans et les personnes à risque de 50 à 64 ans, "nous avons effectivement un sujet de consommation, (...) puisqu'on se rend compte qu'il nous reste à peu près 75% des stocks qui n'ont pas fait l'objet d'injections", ajoute la même source.

En revanche, sa diffusion en ville auprès des médecins généralistes à partir de jeudi dernier, a entraîné une "dynamique d'écoulement très forte" les premiers jours, selon le ministère, ajoutant que cette consommation devrait "s'amplifier" après l'annonce lundi soir par le ministre de la Santé de l'extension de l'utilisation de ce vaccin aux personnes âgées de 65 à 75 ans présentant des comorbidités. Cette extension s'appuie sur un avis de la Haute autorité de santé (HAS), publié mardi, qui prend en compte de nouvelles études réalisées au Royaume-Uni, montrant que le vaccin AstraZeneca est efficace pour réduire les hospitalisations chez les personnes âgées. "Maintenant qu'on a des bonnes nouvelles sur AstraZeneca, il faut impérativement que ce vaccin trouve toute sa place dans la stratégie vaccinale", estime-t-on au ministère de la Santé, de nombreux soignants ont boudé ce vaccin, notamment en raison d'effets secondaires plus prononcés, le plus souvent de forts symptômes grippaux, chez les personnes plus jeunes.

Des questions ont aussi émergé sur l'efficacité de ce vaccin pour contrer le variant sud-africain du coronavirus. Lors du même point-presse, le ministère de l'Economie a par ailleurs précisé que le vaccin de Janssen serait bien livré à partir d'avril, alors qu'il craignait la semaine dernière que son arrivée soit repoussée à mai. "On pousse pour que ce soit dès la fin mars si possible, en avril en tout état de cause", assure le ministère. La candidat vaccin de la filiale de l'américain Johnson & Johnson, qui vient d'être autorisé aux Etats-Unis et devrait l'être mi-mars dans l'Union européenne, a l'avantage de ne nécessiter qu'une seule dose et de pouvoir être stocké à des températures de réfrigérateur.

15h44: Le point sur la situation cet après-midi

Le gouvernement étend au maximum la vaccination contre le Covid-19, toujours sur sa ligne d'éviter un reconfinement national malgré de possibles nouveaux tours de vis en fin de semaine dans les zones où l'épidémie galope. Deux millions et demi de personnes supplémentaires deviennent ainsi éligibles, avec l'élargissement des critères pour bénéficier du vaccin AstraZeneca, suite aux résultats encourageants d'études menées en phase d'utilisation en Grande-Bretagne.

Jusqu'ici réservé aux professionnels de santé et aux deux millions de personnes de 50 à 64 ans atteintes d'une comorbidité (diabète, hypertension, antécédents de cancer...), ce vaccin va désormais être proposé aux 65-75 ans présentant ces mêmes pathologies. Il avait suscité la méfiance, et 25% seulement des doses reçues ont été à ce jour injectées, selon le ministère de la Santé. Cet élargissement a été annoncé lundi soir par le ministre de la Santé Olivier Véran, conformément à un avis de la Haute Autorité de santé (HAS) rendu public mardi. La HAS a également recommandé que tous les vaccins puissent à l'avenir être administrés par les pharmaciens, les infirmiers et les sages-femmes, en plus des médecins, et a étendu la liste des publics considérés comme prioritaires.

«Rien que sur le mois de mars, nous comptons proposer une première vaccination à 6 millions de Français», a insisté M. Véran, ce qui «fera 9 millions au total depuis le début». «L'enjeu aujourd'hui reste d'accélérer la vaccination, de faire le plus vite possible, en ciblant toujours en priorité les personnes qui ont des facteurs de risques de faire des formes graves», a renchéri mardi la présidente de la HAS, Dominique Le Guludec.

Une accélération de la campagne de vaccination, très critiquée lors de son lancement fin décembre, sur laquelle l'exécutif mise pour «tenir» les «quatre à six semaines» évoquées lundi par Emmanuel Macron comme horizon d'un éventuel assouplissement.

Car à l'approche de l'anniversaire du premier confinement général du pays, le gouvernement est conscient que «c'est très difficile aujourd'hui pour les Français» de vivre avec des restrictions à répétition, comme l'a reconnu mardi le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, en visite à l'hôpital Saint-Louis à Paris.

«On a une lumière au bout du tunnel avec la vaccination qui va progressivement permettre de protéger les personnes les plus vulnérables vis-à-vis de la maladie et donc, on l'espère, au printemps, d'alléger la pression sur l'hôpital et donc de pouvoir alléger un certain nombre de restrictions. Mais dans l'intervalle, l'important c'est de continuer à tenir,» a-t-il souligné.

15h02: Le chancelier autrichien Sebastian Kurz, soucieux de « ne plus dépendre uniquement » de l’Union européenne à la stratégie critiquée, a annoncé une possible coopération avec le Danemark et Israël pour les vaccins de deuxième génération. Si l’approche commune de Bruxelles était « correcte sur le principe », « l’Agence européenne des médicaments (EMA) est trop lente à approuver les vaccins et il y a des goulets d’étranglement dans l’approvisionnement de la part des sociétés pharmaceutiques », a déploré M. Kurz dans un communiqué transmis mardi à l’AFP.

« Nous devons donc nous préparer à d’autres mutations et ne plus dépendre uniquement de l’UE pour la production de vaccins de deuxième génération », a-t-il ajouté. Le chef du gouvernement autrichien se rend jeudi en Israël, où il doit rencontrer le Premier ministre Benyamin Netanyahou et la Première ministre danoise Mette Frederiksen afin de lancer ce partenariat inédit, portant à la fois sur la production et la recherche « dans les années à venir ».

Pour Mme Frederiksen, le monde « crie » son désir d’augmenter la cadence. Elle espère une « collaboration sur le long terme » pour « jeter les bases d’une stratégie  »durable de production« .  »À l’heure actuelle, on met beaucoup l’accent sur les vaccins ici et maintenant. Mais nous devons également nous assurer que nous en aurons suffisamment dans un an puis deux, trois, cinq, dix ans« , a-t-elle dit.

La présidente de l’Association autrichienne des fabricants de vaccins (ÖVIH), Renée Gallo-Daniel, a qualifié la stratégie entre les trois pays de  »très, très innovante«  et de  »bonne« . Mais elle a aussi prévenu, dans une interview à la radio nationale, qu’il faut  »normalement cinq à dix ans pour mettre en place une production et au moins quelques mois à un an pour réorienter une installation de production existante« .

Les pays de l’UE sont de plus en plus nombreux à s’émanciper de la tutelle de Bruxelles, alors que plus de la moitié de la population israélienne a déjà reçu au moins une première dose. Par comparaison, seuls 7,8% de la population danoise et 4,8% de la population autrichienne ont reçu une première injection.

14h22: Le président américain Joe Biden va annoncer que le laboratoire pharmaceutique Merck aidera Johnson & Johnson à produire son vaccin contre le Covid-19, a déclaré à l'AFP un haut responsable gouvernemental. Aucun détail sur cet accord entre les deux entreprises américaines n'a pour le moment été révélé. Le président Biden doit s'exprimer dans l'après-midi sur la crise sanitaire.

12h30: "Il faut agir pour alléger la pression sur les hôpitaux", a déclaré le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal en visite à l’hôpital St-Louis à Paris

12h14: Ce matin, lors d'une réunion de groupe avec des députés LREM, Jean Castex a indiqué que "les semaines qui arrivent vont être difficiles". "J'ai bon espoir qu'entre la météo et la vaccination on arrivera à sortir de cet entre deux d'ici quelques semaines", a ajouté le Premier ministre selon BFMTV.

10h45: La Turquie va assouplir les restrictions en vigueur depuis début décembre, en autorisant notamment la réouverture des restaurants et en raccourcissant le couvre feu imposé le weekend, a annoncé le président Recep Tayyip Erdogan.

10h13: L'entreprise de biotechnologie américaine Novavax a déclaré lundi espérer déposer une demande d'autorisation pour son vaccin contre le Covid-19 au Royaume-Uni au début du deuxième trimestre 2021, et pouvoir faire de même peu après aux Etats-Unis.

09h56: Tous les vaccins contre le Covid-19 doivent pouvoir être administrés par les pharmaciens, les infirmiers et les sages-femmes, en plus des médecins, afin d’accélérer la campagne de vaccination, a recommandé mardi la Haute autorité de santé (HAS). Jusqu’à présent, la HAS estimait que seul le vaccin d’AstraZeneca pouvait être injecté par les pharmaciens et les sages-femmes, et pas les deux autres disponibles en France, ceux de Pfizer/BioNTech et Moderna.

L’extension des compétences de tous ces professionnels de santé « est un levier d’accélération de la campagne » de vaccination, a souligné la présidente de la HAS, Dominique Le Guludec, lors d’une conférence de presse en ligne. L’objectif est de « diversifier le profil des vaccinateurs, de multiplier les lieux de vaccination et, in fine, de simplifier cette vaccination », a-t-elle poursuivi, en estimant que « la vaccination par les pharmaciens va pouvoir fluidifier et accélérer le processus de vaccination ». Une fois formulés, les avis de la HAS doivent ensuite être approuvés par le gouvernement pour entrer en vigueur.

Outre l’administration des vaccins, la HAS préconise aussi d’étendre les compétences des différents professionnels de santé pour leur prescription. Elle recommande ainsi que les pharmaciens puissent prescrire tous les vaccins contre le Covid, sauf aux femmes enceintes et aux personnes atteintes d’un problème sanguin appelé trouble de l’hémostase. De plus, elle conseille que les sages-femmes puissent aussi prescrire les vaccins aux femmes, « en particulier les femmes enceintes ».

Pour l’instant, les vaccinations contre le Covid ont essentiellement lieu dans les hôpitaux et les centres de vaccination. Une nouvelle étape de la campagne s’est toutefois ouverte jeudi dernier, avec la possibilité pour les médecins de ville et médecins du travail d’injecter le vaccin d’AstraZeneca aux personnes de 50 à 64 ans atteintes de comorbidités.

09h54: La Haute Autorité de Santé recommande désormais le vaccin AstraZeneca pour les personnes au-delà de 65 ans.

09h43: Des concertations ont eu lieu hier entre préfets et élus locaux des vingt départements, notamment en Ile-de-France et autour des grandes métropoles (Lyon, Marseille, Lille) qui craignent une nouvelle explosion des contaminations avec la propagation des variants plus contagieux. Des confinements locaux le week-end, comme à Nice et Dunkerque, pourraient être ordonnés à l'issue de ces consultations.

08h37: 379 malades du Covid-19 sont morts à l'hôpital en 24 heures selon les données de Santé publique France, un chiffre en hausse, comme celui des malades admis en réanimation, qui est repassé au-dessus de la barre des 3.500. Avec 3.544 personnes soignées dans ses services de réanimation, réservés aux cas les plus graves, dont 347 accueillis pendant les 24 dernières heures, le niveau d'occupation est similaire à celui de début décembre, à la sortie de la deuxième vague épidémique du coronavirus. Mais ce niveau reste éloigné du pic de la 2e vague de l'automne (4.900) et, surtout, de la 1e vague au printemps (7.000). Le total des personnes hospitalisées atteint lui 25.430 lundi, en hausse par rapport à dimanche. Après plusieurs jours de diminution, le nombre de morts enregistrés lundi (379) est lui aussi supérieur à celui comptabilisé sept jours plus tôt (334), mais en deçà des niveaux de début février, où plus de 400, voire 450 morts étaient enregistrés certains jours. Près de 87.000 personnes malades du Covid-19 sont décédées depuis le début de l'épidémie, il y a environ un an. Alors qu'ils avaient diminué au début du mois de février, les cas de contamination détectés sont ensuite repartis à la hausse, atteignant près de 140.000 la semaine du 15 février, contre un peu moins de 130.000 la semaine précédente, selon les données de Santé publique France. Face à la progression des variants plus contagieux du coronavirus, le gouvernement a instauré des confinements localisés le week-end sur tout le littoral des Alpes-Maritimes et pour la communauté urbaine de Dunkerque. Il a également placé 20 départements, qui couvrent notamment Paris, Lyon et Marseille, sous surveillance accrue, avec la possibilité d'y prendre les mêmes mesures.

07h45: Emmanuel Macron a estimé qu'il fallait encore tenir "quatre à six semaines" contre le Covid-19, misant sur la vaccination bientôt élargie à une partie des plus de 65 ans, au moment où un nouveau tour de vis dans vingt départements est toujours envisagé.

"Il faut tenir encore quelques semaines, quatre à six semaines", a affirmé le chef de l'Etat lors d'une visite à Stains (Seine-Saint-Denis), répondant à un jeune homme qui lui demandait de repousser le couvre-feu de 18H00 à 19H00, a constaté l'AFP.

Selon l'Elysée, le chef de l'Etat faisait référence à la progression de la vaccination des plus âgés, qui doit permettre d’éclaircir l'horizon en allégeant la pression hospitalière.

Mais sur le plateau du 20h de France 2, le ministre de la Santé, Olivier Véran, a été plus explicite : "le président rappelle, et il a totalement raison, que hélas sur les 4 à 6 prochaines semaines, il ne faut pas compter qu'on réduise la voilure des mesures, le couvre-feu et les mesures actuelles seront à minimum sur les 4 à 6 prochaines semaines".

L'exécutif mise sur la montée en puissance de la vaccination, alors que pour l'heure, près de 3 millions de personnes ont reçu au moins une dose, dont 1,5 million ont été vaccinées avec deux doses, en majorité des personnes âgées et des professionnels de santé avec les vaccins de Pfizer/BioNTech et de Moderna.

La campagne va s'accélérer avec l'ouverture aux 65-75 ans atteints de comorbidités (obésité, diabète, cancers, maladies cardiovasculaires), "soit 2,5 millions de Français en plus", qui pourront recevoir le vaccin d'AstraZeneca chez "leur médecin traitant, dans l'hôpital qui les suit" ou "dans quelques jours en pharmacie", a annoncé lundi soir Olivier Véran, en s'appuyant sur une décision de la Haute autorité de santé (HAS).

Jusqu'ici, le produit d'AstraZeneca, réservé aux 50-64 ans les plus fragiles et aux professionnels de santé, manquait de bras à piquer, les soignants ne se pressant pas pour se faire vacciner, à cause notamment de forts effets secondaires chez les plus jeunes, la plupart du temps des symptômes grippaux.

Sur 1,6 million de doses d'AstraZeneca reçues à fin février, seulement 275.000 avaient été injectées.

- "Ne nous reconfinez pas" -

La France est confrontée à une reprise épidémique soutenue du Covid-19, mais le gouvernement veut éviter un reconfinement généralisé, en comptant notamment sur des mesures territorialisées en plus du couvre-feu national à 18h.

"Je vous ai entendu, on fait tout ce qu'on peut", a répondu Emmanuel Macron à un senior vendu se faire vacciner dans un centre de Bondy, qui lui a lancé: "Ne nous reconfinez pas".

Il s'agissait de la première visite du chef de l'Etat dans un centre de vaccination depuis le début de la campagne. Il est ensuite parti de son côté pour une promenade improvisée dans le XVIIIè arrondissement de Paris, à la rencontre des habitants, sans prévenir la presse.

Des concertations ont eu lieu lundi entre préfets et élus locaux des vingt départements, notamment en Ile-de-France et autour des grandes métropoles (Lyon, Marseille, Lille) qui craignent une nouvelle explosion des contaminations avec la propagation des variants plus contagieux. Des confinements locaux le week-end, comme à Nice et Dunkerque, pourraient être ordonnés à l'issue de ces consultations.

La maire PS de Paris, Anne Hidalgo, a elle réitéré son opposition à un confinement de la capitale le week-end, prônant au contraire l'accès aux espaces publics pour la population et demandant que le rythme de vaccination soit multiplié par quatre.

- Cours en extérieur -

Pour faire face à l'épidémie, Mme Hidalgo a encore proposé "aux enseignants de faire cours fenêtres ouvertes en profitant notamment du retour des beaux jours" et en "extérieur toutes les fois que cela sera possible".

Dans la Drôme, le port du masque est désormais obligatoire dans l'ensemble des centres-bourg et des centres-ville du département, a indiqué la préfecture.

Emmanuel Macron doit en outre tenir cette semaine une réunion avec des membres du gouvernement pour préparer la mise en place d'un "pass sanitaire", qui ne sera pas un "passeport vaccinal", en vue de la réouverture des lieux culturels et des restaurants.

Au niveau européen, où l'idée d'un pass vaccinal doit être débattue, la France est parvenue dimanche à conserver ouverte sa frontière avec l'Allemagne. Mais un test négatif de moins de 48 heures sera désormais exigé à partir de mardi depuis la Moselle, une situation qui concerne 16.000 travailleurs français.

Dimanche, à Paris, 3.600 policiers et gendarmes avaient tenté de réguler l'affluence sur les quais de Seine. A Toulouse, la préfecture a interdit l'accès aux berges de la Garonne.

Plus de 3.500 personnes atteintes du coronavirus étaient soignées lundi dans les services de réanimation, un chiffre qui progresse depuis plusieurs jours. Au total, près de 87.000 malades du Covid-19 sont morts depuis le début de l'épidémie.

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Vos réactions

Portrait de Nerfertiti
2/mars/2021 - 16h43
PhilRAI a écrit :

Sauf qu'il n'y a aucune certitude que ces gens soient vraiment morts du covid. Sauf que si ces gens avaient été traités au début de la maladie par les médicaments efficaces comme l'hydroxychloroquine, l'azithromycine, l'ivermectine et d'autres, il y aurait eu bien moins de morts.

Arrêtez d’écouter Raoul, ça ramolli le cerveau

Ça vous fait du mal  smiley

Tous les médicaments que vous citez n'ont aucune efficacité contre le covid et encore moins sur les variants.

Portrait de LOIC 33
2/mars/2021 - 16h00

Quelle infos !!! Ce sera surtout difficile pour l'hôpital et la morgue, honte à ce gouvernement de bras cassés, on s'en souviendra en 2022....

Portrait de dakota
2/mars/2021 - 14h02
PhilRAI a écrit :

Sauf qu'il n'y a aucune certitude que ces gens soient vraiment morts du covid. Sauf que si ces gens avaient été traités au début de la maladie par les médicaments efficaces comme l'hydroxychloroquine, l'azithromycine, l'ivermectine et d'autres, il y aurait eu bien moins de morts.

Vous rendez vous compte que chaque jour vous sombrez encore un peu plus dans le ridicule ??

Votre pitoyable naufrage en deviens même, à la longue, burlesque !

Portrait de hummerH2
2/mars/2021 - 11h32
benvoyons a écrit :

c'est faux les pharmaciens comme les medecins ne peuvent pas vacciner avec tous les vaccins sur le marché si on tient compte de la conservation de certain a des temperatures necessitant un materiel specifique 

La aussi, les choses changent vite. smiley

Il y a quelques jours, Pfizer a annoncé que, après des études approfondies, le vaccin de Pfizer/BioNTech peut se conserver à des températures moins extrêmes. Elles ont adressé un courrier à l’autorité américaine des médicaments (FDA) dans lequel elles affirment qu’une température comprise entre -25ºC et -15ºC serait suffisante.

Pfizer et BioNTech demandent donc à la FDA d’adapter les directives relatives à la conservation du vaccin. Les doses pourraient ainsi être stockées durant deux semaines à cette nouvelle température.

Ces nouvelles données devraient être pris en compte en Europe, et d'ici peu, un simple congélateur "classique" devrait suffire. smiley

Portrait de hummerH2
2/mars/2021 - 11h26
benvoyons a écrit :

Il serait bon de savoir pourquoi un vaccin qui etait deconseille au + de 65 ans il y a 15 jours  est aujourd'hui valable  Astrazeneca  a changé quelque chose dans la composition du Vaccin  j'en doute!!!!!!!!!!!!!!!!!

C'est pourtant assez simple à comprendre. smiley

Au départ, il n'était pas conseillé officiellement sur les plus de  65 ans, car dans les resultats préliminaires de l'étude d'AstraZeneca, on estimait que les personnes de cette tranche d'age n'étaient pas assez nombreuses a avoir testés.

Sauf que depuis cette étude préliminaire ,les choses ont changées .

De nombreuses personnes de cette tranche d'age ont été vaccinés dans plusieurs pays du monde, et les données remontent au fil des jours .

Il y a quelques jours, par exemple, une étude écossaise portant sur 400 000 personnes immunisées se veut rassurante. Elle relève que, quatre semaines après la dose initiale, le niveau de protection s'élève à plus de 90 % et qu'il peut être préconisé « au-delà de 80 ans avec une bonne efficacité ».

Donc maintenant, les autorités pensent avoir assez de données pour donner le feu vert.