26/02/2021 17:09

EN DIRECT - Coronavirus: Le maire de Nice Christian Estrosi annonce la fermeture de la Promenade des Anglais lors des week-ends confinés - Finalement, la Mairie de Paris annonce ne pas vouloir de confinement à Paris

17h09: La Région Auvergne-Rhône-Alpes a annoncé vendredi le lancement dès la semaine prochaine d'une campagne de tests massive visant 100.000 lycéens et d'une opération d'enquête épidémiologique dans des écoles, collèges et lycées de la région. "Face au retour du virus et à la menace du confinement, nous lançons jusqu'à la fin du mois de mars une campagne de tests massive avec pour objectif de viser 400 lycées et une centaine de centres d'apprentissage avec la volonté de réaliser à peu près 100.000 tests", a déclaré à l'AFP le président LR de la région Laurent Wauquiez. Ces tests PCR seront effectués en partenariat avec une cinquantaine de laboratoires dont le personnel viendra effectuer les prélèvements sur la base du volontariat et avec l'accord des familles, précise M. Wauquiez. Fin décembre, une campagne de tests avait déjà permis de dépister près de 800.000 personnes dans la région, dont 100.000 lycéens. Par ailleurs, la région va appuyer une enquête épidémiologique, présentée comme une première en France, sous la direction du professeur Bruno Lina, directeur du Centre national de référence des virus infectieux respiratoires à l'hôpital de la Croix Rousse et membre du Conseil scientifique. Cette enquête, qui ciblera plusieurs écoles, collèges et lycées, voire des universités, permettra de déterminer le niveau de circulation du virus dans ces établissements mais aussi d'observer une "veille" de l'épidémie, a annoncé le professeur Lina devant la presse vendredi. "On s'est rendu compte que le niveau de détection que l'on peut observer dans les établissements est souvent le reflet de ce qui se passe dans la population de leur environnement", a-t-il expliqué. L'objectif est aussi d'avoir un moyen "d'identifier les élèves contaminés, de les sortir du site de façon à casser les chaînes de transmission", ainsi que d'assurer "une surveillance séquentielle" permettant d'établir si les efforts fournis par ces établissements, notamment lorsqu'il y a des foyers détectés, sont fructueux ou non. "A terme, l'idée serait aussi d'être capable, lorsqu'il n'y a aucun cas détectés, de lever un certains nombre de mesures pour assouplir le fonctionnement de l'établissement", a ajouté le professeur Lina. Le projet doit démarrer avec une étude pilote dans un petit nombre d'établissements où seront menés des dépistages répétitifs salivaires, de la mi-mars à juin. Dans la région, le Rhône et la Drôme font partie des 20 départements placés jeudi sous "surveillance renforcée" et susceptibles d'être reconfinés localement.

16h18: Le point sur la situation cet après-midi

Le gouvernement veut prendre son temps pour décider de nouvelles restrictions sanitaires dans vingt départements couvrant Paris, Lyon et Marseille, où les cas de coronavirus menacent de flamber, une stratégie de riposte graduelle qui lui vaut des critiques d'attentisme.

Alors que Nice et Dunkerque s'apprêtent à vivre leurs premiers week-ends de l'année 2021 confinés, toute la région parisienne, le Rhône, les Bouches-du-Rhône et une partie des Hauts-de-France et du Grand Est notamment se sont réveillés en sursis vendredi, placés sous «surveillance accrue» par l'exécutif.

Déjà soumis comme le reste de la France métropolitaine au couvre-feu de 18H00, ces territoires pourraient se voir imposer dans une semaine des mesures encore plus strictes, dont des confinements locaux le week-end, si la situation continuait à se dégrader, a prévenu jeudi le Premier ministre Jean Castex, en promettant une concertation avec les élus.

La discussion a démarré sur des bases tendues avec la ville de Paris. Le premier adjoint de la maire, Emmanuel Grégoire, a plaidé dès jeudi soir pour un confinement «tout court» de trois semaines, et pas seulement les samedi-dimanche, avant d'évoquer une simple «hypothèse» à «mettre sur la table», qui ne pourrait «être prise qu'à l'échelle de l'Ile-de-France».

«Cette épidémie joue avec les nerfs des Français depuis maintenant un an. Il est important que nous-mêmes ne jouions pas avec les nerfs des Français», a riposté le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal, renvoyant sur la mairie de la capitale une critique souvent dirigée contre l'exécutif. Samedi matin, le Premier ministre Jean Castex doit présider une réunion avec notamment les préfets et directeurs des Agences régionales de santé (ARS) des 20 départements concernés.

Mais face à la montée des nouvelles formes de coronavirus, notamment le variant anglais plus contagieux, et à une occupation toujours élevée des hôpitaux par les cas de Covid-19, plusieurs médecins et scientifiques ont critiqué le gouvernement, jugé trop attentiste.

138.771 nouveaux cas de Covid-19 ont été détectés la semaine dernière, contre 128.662 la semaine précédente, selon le bulletin hebdomadaire de Santé publique France, pour qui la situation reste «préoccupante». En Ile-de-France, le taux d'incidence a grimpé de 240 à plus de 300 cas pour 100.000 habitants sur sept jours.

15h07: Les autorités de santé canadiennes ont approuvé un troisième vaccin contre le Covid-19, celui du géant pharmaceutique AstraZeneca, ont annoncé vendredi les médias locaux. Ottawa, qui a déjà autorisé les vaccins de Pfizer-BioNTech et de Moderna, a commandé 20 millions de doses de ce vaccin.

13h34: A moins de cinq mois des Jeux olympiques, l’état d’urgence sera levé dimanche dans six départements du Japon alors que le rythme des infections par le coronavirus ralentit, a annoncé vendredi le Premier ministre Yoshihide Suga. La mesure restera cependant en vigueur au moins jusqu’au 7 mars dans quatre autres départements, dont le grand Tokyo où les JO reportés en 2020 en raison de la pandémie doivent s’ouvrir le 23 juillet.

Selon M. Suga, l’état d’urgence, déclaré début janvier sur une partie du Japon, a permis de réduire le nombre de nouvelles infections. « Compte tenu de cela et des conditions dans diverses régions, j’ai décidé de lever l’état d’urgence le 28 février dans six départements ». « Pour le grand Tokyo, le nombre de nouveaux cas d’infection est en baisse. Mais le système médical continue de rencontrer des difficultés », a ajouté le Premier ministre, qui souhaite « mettre l’accent » sur la réduction des heures d’ouverture des restaurants pour pouvoir lever l’état d’urgence « dans son intégralité le 7 mars ».

L’état d’urgence, décrété en pleine recrudescence du nombre de cas de Covid-19 au Japon, est moins strict que les mesures de confinement en vigueur ailleurs dans le monde et prévoit principalement la fermeture des bars et des restaurants à 20H00. Le Japon a adopté des mesures moins sévères que dans d’autres pays mais, début février, le Parlement a adopté des dispositions prévoyant notamment des amendes pour les entreprises qui ne ferment pas aux heures recommandées.

L’approche des autorités japonaises depuis l’état d’urgence semble avoir donné des résultats, avec une baisse des nouvelles infections dans tout le pays ces dernières semaines. Malgré la récente flambée des cas en décembre-janvier, le Japon a connu une épidémie de Covid-19 relativement faible, avec moins de 7.800 décès officiellement recensés depuis janvier 2020.

Le Japon a lancé son programme de vaccination la semaine dernière et a jusqu’ici administré les premières doses à environ 22.000 employés du secteur médical. La situation sanitaire au Japon est suivie de près par les organisateurs des Jeux olympiques et paralympiques. Ils ont déjà annoncé des mesures très strictes qui, selon eux, permettront d’assurer la sécurité des JO, même sans exiger que les participants soient vaccinés ou mis en quarantaine à leur arrivée.

12h27: Le maire de Nice Christian Estrosi annonce la fermeture de la Promenade des Anglais lors des week-ends confinés. Une annonce faite sur Twitter. "J’appelle les Niçoises et les Niçois au respect le plus total des mesures gouvernementales et plus précisément du confinement qui démarre ce soir à 18h. Si ces décisions peuvent être discutables, nous devons les appliquer avec l’espoir de retrouver une vie normale prochainement", explique-t-il.

Et d'ajouter : "J’ai décidé d’aller plus loin en fermant les marchés non alimentaires de #Nice06 dont les superficies et les configurations ne permettent de réguler les flux et se situant dans les quartiers des Moulins, Charles Ehrmann, Bon Voyage et l’Ariane durement touchés par l'épidémie".

"Enfin, j’ai choisi de fermer le trottoir sud de la Promenade des Anglais, le Quai des Etats-Unis, le boulevard Franck Pilatte, le sentier du littoral et les plages. Il nous faut absolument éviter des rassemblements trop massifs", ajoute-t-il. 

12h17: Le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal a appelé vendredi à «ne pas jouer avec les nerfs des Français», après la proposition de la mairie de Paris de confiner pendant trois semaines la capitale, tout en appelant les élus parisiens au dialogue. «La situation est difficile pour tout le monde, pour le gouvernement, les élus locaux et les Français. Cette épidémie joue avec les nerfs des Français depuis maintenant un an. Il est important que nous-mêmes ne jouions pas avec les nerfs des français», a déclaré le porte-parole du gouvernement lors d'un déplacement à Lyon sur les thèmes de la vaccination et des tests dans les écoles.

Toutefois, M. Attal a ajouté ne vouloir «jeter la pierre à personne». «Nous tendons la main aux élus de Paris, qu'ils rejoignent la concertation, pour en discuter ensemble. C'est tous ensemble qu'on relèvera ce défi (...) Il est important de se mettre autour de la table et j'espère que les élus de Paris seront prêts avec nous». Confronté à la dégradation de l'épidémie de Covid-19 et à la poussée du variant anglais, le gouvernement a placé jeudi en «surveillance renforcée» 20 départements, dont Paris et l'Ile-de-France, susceptibles d'être à leur tour reconfinés localement.

Mais plutôt qu'un confinement le week-end, une mesure «très contraignante sur le plan de l'impact sociétal et assez peu efficace sur le plan sanitaire», le premier adjoint Emmanuel Grégoire avait indiqué jeudi soir qu'il préférait «un confinement tout court» à Paris de façon à «vraiment redonner de l'oxygène et avoir la perspective dans trois semaines de tout rouvrir». Face aux critiques, ce dernier a nuancé son propos vendredi, évoquant une simple «hypothèse» élargie à la «zone dense» francilienne.

11h47: Le conseil exécutif de la Collectivité de Saint-Martin a demandé à l'unanimité au gouvernement et au ministre de l'Outre-mer Sébastien Lecornu de lever les motifs impérieux pour les voyages à destination de Saint-Martin. Les élus du conseil exécutif de l'île antillaise estiment qu'il est indispensable "de tenir compte de l'importante et structurelle dépendance de l'économie saint-martinoise au secteur du tourisme". Le président de la Collectivité de Saint-Martin Daniel Gibbs et la totalité du conseil exécutif demandent au gouvernement d'envisager une perspective d'ouverture totale du territoire aux "visites d'agrément et d'affaires dès le mois de mars". Pour le président Daniel Gibbs, "il est vital pour l'économie du territoire et son équilibre social que l'exigence de motifs impérieux pour se déplacer, imposée brutalement le 2 février dernier, soit supprimée le plus vite possible". Les élus estiment que tout doit être fait pour lever les mesures de restrictions de déplacement par "voies terrestres, maritimes et aériennes en particulier celles affectant les déplacements aériens entre Saint-Martin, les Antilles et la France hexagonale". Pour le conseil exécutif, cet objectif de levée programmée des restrictions doit être assorti de mesures d'assouplissement "décidées localement" et évaluées à un rythme hebdomadaire. Le 8 février, La préfecture avait décidé de lever l'obligation de motifs impérieux pour les voyages entre les deux îles antillaises de Saint-Martin et Saint-Barthélemy, après une bronca de la classe politique.

09h29: Emmanuel Grégoire, premier adjoint à la Mairie de Paris: "Les chiffres ne sont pas bons, les tendances sont encore moins bonnes".

"Nous sommes en couvre-feu depuis 140 jours, les restaurants et les bars ont fermé depuis le 29 octobre... Nous allons, ce week-end, travailler sur des propositions (...) avec une obsession: tenir le plus longtemps possible, le temps que les vaccins se déploient.."

"Nous demandons le renforcement des campagnes de dépistage dans les écoles et les entreprises"

"Le confinement le week-end, nous avons une grande réticence, cette mesure nous semble trop contraignante et peu efficace sur le plan sanitaire.""

"Nous demandons la mise en place obligatoire du télétravail"

"La stratégie du "vivre avec" a incontestablement notre préférence"

"Nous sommes favorables au maintien de l'ouverture des écoles."

08h24: Invité ce matin sur franceinfo, le maire LR de la capitale mosellane confie sa déception après les annonces de Jean Castex hier : "C'était une conférence de presse pour rien. Nous apprenons que nous sommes en surveillance renforcée, nous pensions naïvement l'être déjà depuis longtemps."

06h51: Le résumé des annonces de Jean Castex hier - Confronté à la dégradation de l'épidémie de Covid-19 et à la poussée du variant anglais, le gouvernement a placé jeudi en "surveillance renforcée" 20 départements, dont Paris et l'Ile-de-France, susceptibles d'être à leur tour reconfinés localement. "La situation sanitaire de notre pays s'est dégradée", a déclaré le Premier ministre lors d'une conférence de presse aux côtés du ministre de la Santé Olivier Véran. Et de citer les 31.000 cas de Covid-19 enregistrés mercredi, "un chiffre que nous n'avions pas atteint depuis novembre".

La faute notamment au variant anglais du virus, qui représente désormais "près (de) la moitié" des contaminations. Si Jean Castex n'a annoncé aucun confinement national, il a décrété le placement en "surveillance renforcée" de 20 départements. Ils recouvrent toute l'Ile-de-France, le Rhône, les Bouches-du-Rhône, l'Oise, le Nord, le Pas-de-Calais, la Somme, la Drôme, la Moselle, la Meurthe-et-Moselle ou encore l'Eure-et-Loir.

Ces territoires pourront faire l'objet de mesures de confinements locaux à partir du 6 mars si la situation continuait à se dégrader, après "concertations avec les élus", a ajouté le chef du gouvernement. Niveau d’incidence autour de 250 cas pour 100.000 habitants, part de variant "supérieure à 50%", pression hospitalière "proche du seuil critique" et "circulation virale qui commence à s’accélérer sérieusement" ont présidé à leur désignation.

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06h41: Face à la remontée épidémique, la mairie de Paris veut d'ores et déjà aller plus loin et va proposer au gouvernement un confinement de 3 semaines dans la capitale afin "d'avoir la perspective de tout rouvrir" à son issue, a affirmé le premier adjoint Emmanuel Grégoire jeudi sur France Info.

"On ne peut pas s'imposer de vivre dans une semi-prison pendant des mois. Il faut maintenant prendre des décisions courageuses", a déclaré l'adjoint de la maire PS Anne Hidalgo.

"La seule chose que j'ai compris, c'est que le mantra présidentiel va être appliqué : +il ne faut pas que l'on dise que l'on a confiné le pays+", a commenté sur BFMTV Gilbert Deray, chef du service néphrologie à l'hôpital de la Pitié Salpêtrière, pour qui il aurait fallu "faire comme l'Italie et la Grande-Bretagne: fermer pendant six semaines".

06h23: Olivier Véran a annoncé que la France a commandé "des dizaines de milliers de doses d'anticorps monoclonaux d'une génération supérieure", attendus "à la mi-mars". Ces anticorps de synthèse sont censés épauler le système immunitaire pour neutraliser le coronavirus. Selon des données plus consolidées de Santé publique France, il y a eu 138.771 personnes testées positives la semaine dernière, contre 128.662 la précédente. Et la pression hospitalière reste élevée, avec toujours plus de 25.000 patients hospitalisés (contre plus de 33.000 et 32.000 aux pics des deuxième et première vague), dont plus de 3.400 dans des services de réanimation, où sont soignés les malades les plus gravement atteints.

06h15: Le nombre de malades en réanimation reste loin des records de l'automne (4.900) et du printemps (7.000), mais la progression de la vaccination ne sera pas suffisante, sans restrictions supplémentaires, pour éviter un bond des hospitalisations à un niveau supérieur au pic de la première vague, prévient l'Institut Pasteur dans une étude publiée mercredi.

06h01: Jeudi, la campagne vaccinale a entamé une nouvelle étape avec la possibilité pour les médecins de ville d'injecter l'un des trois antidotes autorisés en France, celui d'AstraZeneca, pour les 50-64 ans atteints de comorbidités, soit 2 millions de personnes. Dans les Ehpad, cible prioritaire de la campagne, le taux de couverture vaccinale avec deux doses atteint désormais 50% (80% pour la première dose) et le nombre de décès, enregistré deux fois par semaine, connaît une baisse sensible, avec 121 morts mardi (contre 235 une semaine plus tôt).

Au total, 2,7 millions de personnes ont reçu au moins une dose, dont 1,3 million de personnes ont été vaccinées avec les deux doses. Depuis le début de l'épidémie, 85.608 personnes atteintes du Covid-19 sont mortes, à l'hôpital ou en Ehpad, en très grande majorité des personnes âgées.

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Vos réactions

Portrait de Galileo.
26/février/2021 - 13h00

 

1 pas en avant... 2 pas en arrière.... c'était la leçon de Tango du jour de Mme Hidalgo ! smiley

 

Portrait de preshovich
26/février/2021 - 12h56

C'est une catastrophe la gestion de madame hidalgo mais on a l'impression que si elle decidait de faire démonter  la tour eiffel  pour y construire une mosquée les gens continueraient de voter pour elle.

Portrait de Nerfertiti
26/février/2021 - 12h32
yenavraimentmarre a écrit :

Quelle bande de guignols cette mairie socialiste ! On en rirait s'il n'y avait pas cette terrible épidémie, ils sont vraiment trop nuls.Rien qu'à voir ce qu'est devenue la capitale, ça en dit long sur la maire et son équipe d'incapables.

Le pire, c'est qu'elle veut se présenter aux présidentielles. De toute façon, elle n'a ni les compétences ni le charisme 

De toute façon, il y a assez de clowns incompétents pour ne pas en rajouter

Le PS et la gauche en général sont des naufrages

Portrait de yenavraimentmarre
26/février/2021 - 10h28

Quelle bande de guignols cette mairie socialiste ! On en rirait s'il n'y avait pas cette terrible épidémie, ils sont vraiment trop nuls.Rien qu'à voir ce qu'est devenue la capitale, ça en dit long sur la maire et son équipe d'incapables.

Portrait de jarod.26
26/février/2021 - 10h20

ho ce beau rétropédalage de la part du maire smiley