31/12/2019 16:02

Le Liban affirme que Carlos Ghosn est arrivé "légalement dans le pays et il ne sera pas inquiété par la justice locale"

16h01: Carlos Ghosn est entré légalement au Liban, où il ne sera pas inquiété par la justice, a fait savoir la Direction générale de la sûreté générale, citée par l'agence de presse libanaise NNA. Une source avait déclaré que le Liban traitait Carlos Ghosn, arrivé lundi à Beyrouth, conformément aux «accords internationaux». L'un de ses avocats au Japon a pourtant déclaré à la presse que les trois passeports de Carlos Ghosn, qui possède les nationalités française, libanaise et brésilienne, étaient toujours aux mains de ses défenseurs.

13h40: Le journaliste Philippe Riès et ami de l'ex-PDG, qui travaille actuellement sur sa biographie était l'invité de RTL ce midi et il a affirmé:  "La seuls chose, ce que je peux dire, c'est qu'il n'y a eu évidemment, contrairement à certaines spéculations que j’entends ici et là, aucune espèce d'accord secret ou tacite avec les autorités japonaises", a-t-il déclaré au micro de RTL. Selon l'ancien directeur du bureau de l'AFP à Tokyo, Carlos Ghosn s’est débrouillé "comme un grand". "C'est le combat de sa vie, il lutte pour sa vie, pour sa réputation, pour son héritage dans l'industrie automobile mondiale, qui est assez considérable. Et pour faire la vérité sur ce qui lui est arrivé", a ajouté le journaliste. 

11h49: La CGT Renault a espéré mardi que "toute la lumière" sera faite sur la fuite au Liban de Carlos Ghosn, en résidence surveillée au Japon, "notamment des complicités" dont a pu bénéficier l'ex-PDG de Renault-Nissan.
"Nous espérons que toute la lumière sera faite sur cette affaire et notamment des complicités dont a bénéficié Carlos Ghosn", a déclaré Fabien Gâche, délégué CGT du constructeur automobile, dans un communiqué.
"Comment a-t-il pu quitter le Japon sachant qu'il était, selon ses avocats, assujetti à résidence et à des contrôles stricts tant dans ses déplacements que dans ses échanges avec autrui ? Comment a-t-il pu passer le contrôle des aéroports (Japon, Turquie...) sans passeport, puisque ses avocats affirment détenir ses passeports français, libanais et brésilien ?", a interrogé le syndicat.
"Une nouvelle fois, Carlos Ghosn s'autorise à décider de ce qui relève de la justice ou non, tout comme il s'est autorisé à licencier des centaines de milliers de salariés sans autre forme de procès", a commenté le syndicat..

08h39: Le point sur ce que l'on sait ce matin

Carlos Ghosn, l'ex-PDG de Renault-Nissan, qui attendait son procès en résidence surveillée au Japon, a confirmé mardi se trouver au Liban d'où il entend parler librement à la presse dans les jours à venir.

"Je suis à présent au Liban. Je ne suis plus l'otage d'un système judiciaire japonais partial où prévaut la présomption de culpabilité", a-t-il écrit, selon ce document transmis par ses porte-parole.

"Je n'ai pas fui la justice, je me suis libéré de l'injustice et de la persécution politique. Je peux enfin communiquer librement avec les médias, ce que je ferai dès la semaine prochaine", ajoute-t-il.

Il s'agit d'un développement inattendu pour le magnat déchu de l'automobile, jusque-là assigné à résidence au Japon où il attendait d'être jugé à partir d'avril 2020 pour des malversations financières présumées.

Carlos Ghosn est arrivé lundi à l'aéroport de Beyrouth, avait au préalable indiqué à l'AFP une source sécuritaire, confirmant des informations de médias libanais. Un autre responsable libanais a confirmé à l'AFP cette information, ajoutant "que la manière dont il a quitté le Japon n'est pas claire".

Selon le journal libanais al-Joumhouriya, qui a dévoilé l'information, le patron déchu de l'alliance Renault-Nissan-Mitsubishi est arrivé à Beyrouth dans un avion en provenance de Turquie.

Après son arrestation, le 19 novembre 2018 à Tokyo, ses avocats et sa famille ont vivement dénoncé ses conditions de détention, le traitement qui lui a été infligé et la façon dont la justice japonaise mène la procédure à charge dans ce dossier.

Il avait été libéré sous caution fin avril, mais sous de strictes conditions: il lui était notamment interdit de voir ou contacter sa femme Carole.

Mi-novembre, il avait pu lui parler à distance, par vidéoconférence, pour la première fois depuis près de huit mois.

Quelques jours plus tôt, ses enfants avaient réclamé un procès "équitable" pour leur père dans une tribune publiée sur le site de la radio publique française Franceinfo.

Selon ses défenseurs et son équipe de communication, Carlos Ghosn demandait "la levée totale" des différentes interdictions qui pesaient sur lui, les jugeant "excessives, cruelles et inhumaines, et afin que soient respectés ses droits fondamentaux ainsi que ceux de son épouse".

Celui qui avait été salué comme "le sauveur de Nissan" après son arrivée dans le groupe japonais en 1999 a passé au total 130 jours en prison entre novembre 2018 et avril 2019, en cumulant garde à vue et détention provisoire.

M. Ghosn, qui fut le chef d'entreprise le mieux payé au Japon, fait l'objet de quatre inculpations dans ce pays: deux pour des revenus différés non déclarés aux autorités boursières par Nissan (qui est aussi poursuivi sur ce volet), et deux autres pour abus de confiance aggravé.

Conséquence de cette affaire retentissante: le dirigeant franco-libano-brésilien a été éjecté de ses sièges de président de Nissan et de Mitsubishi Motors (3e membre de l'alliance) dans les jours suivant son interpellation il y a 13 mois. Il a ensuite démissionné de la présidence de Renault, avant même que d'autres investigations ne soient menées en France à son encontre.

Depuis le début de l'affaire, Carlos Ghosn dénonce un "complot" de la part de Nissan pour empêcher un projet d'intégration plus poussée avec Renault.

Lors d'une audience préliminaire en octobre, sa défense a demandé l'annulation des poursuites intentées contre lui au Japon, accusant les procureurs d'"actes illégaux" et de collusion avec son ancien employeur japonais pour le faire tomber.

Les inculpations sont "politiquement motivées depuis le début, fondamentalement biaisées", et "cette affaire n'aurait jamais dû donner lieu à des poursuites pénales", dénonçaient-ils.

Les conditions de liberté de l'ex-PDG de Renault-Nissan précisaient que ses passeports étaient gardés par ses avocats, garants du respect des règles imposées par la justice à son égard.

Son assignation à résidence à Tokyo lui laissait la liberté de voyager à l'intérieur du Japon, mais la durée d'absence de son domicile était réglementée.

Carlos Ghosn et ses avocats se plaignaient qu'il était suivi depuis sa deuxième libération sous caution en avril, accusant dans un premier temps des officiers du bureau des procureurs puis soupçonnant ensuite des personnes mandatées par Nissan.

08h35: "Si un ressortissant étranger fuyait la justice française on serait très fâché. Mais c'est un ressortissant français, le soutien consulaire lui est acquis", a déclaré Agnès Pannier-Runacher, la secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Economie, sur France Inter.

 

07h42: Le principal avocat japonais de Carlos Ghosn s'est dit mardi «abasourdi» par l'annonce de la fuite au Liban de son client, affirmant qu'il n'a eu aucun contact avec lui depuis son départ dont les conditions demeurent mystérieuses.

«C'est une surprise totale, je suis abasourdi», a déclaré aux médias Junichiro Hironaka, affirmant ne pas avoir été contacté par Carlos Ghosn et avoir appris «par la télévision» que l'ex-patron de Renault-Nissan avait fui le Japon où il est sous le coup de quatre inculpations pour malversations financières.
05h31: L’ex-patron de l’alliance Renault-Nissan, Carlos Ghosn, a confirmé tôt ce matin dans un communiqué se trouver au Liban après avoir quitté le Japon où il est sous le coup de quatre inculpations: “Je suis à présent au Liban. Je ne suis plus l’otage d’un système judiciaire japonais partial où prévaut la présomption de culpabilité”, a-t-il écrit, selon ce document transmis par ses porte-parole:

“Je n’ai pas fui la justice, je me suis libéré de l’injustice et de la persécution politique. Je peux enfin communiquer librement avec les médias, ce que je ferai dès la semaine prochaine”, ajoute-t-il.

Carlos Goshn déclare dans un communiqué qu'il ne restera pas "otage du système judiciaire japonais faussé". Il s'exprimera la semaine prochaine dans les médias. "Le système judiciaire japonais rejette les droits humains basiques dans une violation flagrante des obligations légales du Japon" ajoute-t-il avant de se réjouir de pouvoir à nouveau communiquer librement avec les médias. 

Selon le Financial Times, Carlos Ghosn ne se trouvait plus sous le régime de résidence surveillée auquel il était jusque-là assujetti, sans déterminer si Ghosn a pu trouver un accord lui permettant de quitter le territoire japonais ou s'il a réussi à s'échapper.

Le Wall Street Journal cite de son côté une source qui affirme que l'architecte de l'alliance Renault-Nissan a pris la fuite. Carlos Ghosn a prévu de tenir une conférence de presse depuis le Liban dans les prochains jours, a indiqué le Wall Street Journal.

Carlos Ghosn est sous le coup d'une assignation à résidence depuis sa deuxième sortie de prison le 25 avril. Il avait été libéré sous caution après 130 jours de détention. Il n'avait pas le droit de contacter sa femme, il est désormais à ses cotés.

L'ex-patron de Renault-Nissan était tombé de son piédestal lors de son arrestation surprise le 19 novembre 2018.

01h01: L'ex-PDG de Renault-Nissan Carlos Ghosn, sous le coup d'une assignation à résidence au Japon où il devait être jugé en 2020 notamment pour malversations financières, a rejoint dimanche le Liban, a confirmé une source sécuritaire libanaise à l'AFP: "Carlos Ghosn est arrivé dimanche à l'aéroport de Beyrouth", a indiqué à l'AFP cette source sécuritaire, tandis qu'un autre responsable libanais a confirmé à l'AFP cette information ajoutant "que la manière dont il a quitté le Japon n'est pas claire".

Selon le journal libanais al-Joumhouriya qui a dévoilé l'information, le patron déchu de l'alliance Renault-Nissan-Mitsubishi est arrivé à Beyrouth dans un avion en provenance de Turquie. Carlos Ghosn avait été arrêté à Tokyo le 19 novembre 2018 et est inculpé au Japon pour abus de confiance et pour dissimulation de revenus, dans l'attente de son procès prévu en 2020. Détenu pendant plusieurs mois au Japon, il a été libéré une première fois sous caution en mars 2019, avant d'être de nouveau arrêté début avril et encore libéré sous caution dans de strictes conditions fin avril.

Depuis son arrestation, ses avocats et sa famille ont vivement dénoncé ses conditions de détention et la façon dont la justice japonaise mène la procédure dans ce dossier.

"Carlos Ghosn ne cherche par à fuir ses responsabilités mais il fuit l'injustice du système japonais", a expliqué lundi à l'AFP une source proche du dossier souhaitant garder l'anonymat. Adulé pendant des années au Japon pour avoir participé au renouveau de Nissan, Carlos Ghosn avait lui-même dénoncé dernièrement un "complot" de la part de Nissan pour empêcher un projet d'intégration plus poussée avec Renault. Les conditions de liberté de l'ex-PDG de Renault-Nissan précisaient que ses passeports étaient gardés par ses avocats, garants du respect des règles imposées par la justice à son égard.

Son assignation à résidence à Tokyo lui laissait la liberté de voyager à l'intérieur du Japon, mais la durée d'absence de son domicile était réglementée. Carlos Ghosn et ses avocats se plaignaient qu'il était suivi en permanence depuis sa deuxième libération sous caution en avril, accusant dans un premier temps des officiers du bureau des procureurs.

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Lundi 30 décembre

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23h51: Que sait-on à cette heure de la fuite de Carlos Ghosn du Japon vers le Liban ?

L’ex-patron du groupe automobile Renault-Nissan, Carlos Ghosn, est rentré à Beyrouth, malgré son assignation à résidence à Tokyo, où il est sous le coup de quatre inculpations pour corruption, ont rapporté en début de soirée, hier, deux médias locaux. Une information confirmée par une source interrogée par L’Orient-Le Jour puis en France par les Echos, Europe 1 et plusieurs médias.

Si les circonstances de cette fuite au Liban restent encore à éclaircir, l'entourage de Carlos Ghosn a expliqué à la radio française qu'il ne souhaite pas se soustraire à la justice, mais que le contexte juridique nippon ne lui laissait pas la possibilité d'espérer un procès équitable.

M. Ghosn est, selon le quotidien al-Joumhouriya, premier à avoir rapporté l’information, arrivé à l’aéroport de Beyrouth à bord d’un avion privé en provenance de Turquie. Les circonstances de ce voyage de l’homme d’affaires libano-franco-brésilien, malgré son assignation à résidence au Japon, ne sont toutefois pas encore claires. La date exacte de son retour au Liban n’est pas claire non plus. Une source a indiqué à L’Orient-Le Jour que M. Ghosn a été vu lundi matin à Beyrouth.

23h30: La fuite de Carlos Ghosn intervient quatre jours seulement après une séance de préparation de son procès, comme il s’en tient chaque mois entre les juges, le bureau du procureur de Tokyo, et la défense. Le 25 décembre dernier, Carlos Ghosn a appris que le deuxième volet de son procès, concernant les accusations les plus graves d’abus de confiance aggravée, ne se tiendrait pas en septembre comme il l’espérait. Un peu plus tôt, ses demandes renouvelées de pouvoir entrer en contact avec son épouse, Carole, notamment pour un dîner de Noël, lui avaient également été refusées.

23h29: Carlos Ghosn est confronté à quatre chefs d'accusation, notamment pour n'avoir pas déclaré une partie de ses rémunérations lorsqu'il était à la tête du groupe automobile, ou encore pour abus de confiance aggravé. Il a été arrêté au Japon en novembre 2018, puis libéré sous caution le 25 avril, et assigné à résidence. Parmi les conditions auxquelles il était soumis, l'interdiction de voir son épouse, Carole Ghosn, ou de la contacter. L'ex-PDG de Renault-Nissan était dans l'attente d'un procès, qui aurait sans doute eu lieu dans le courant de l'année 2020.

23h23: Les circonstances de ce retour au Liban de l’homme d’affaires, qui possède les nationalités française, brésilienne et libanaise, restent floues. Selon les médias libanais, il est arrivé en jet privé après un transit par la Turquie.

L’annonce de ce départ est une surprise, alors que l’ancien patron franco-libanais était sous le coup d’une assignation à résidence depuis le 25 avril dernier, en attente de son procès prévu pour 2020. Arrêté pour malversations financières présumées le 19 novembre 2018, l’ancien PDG de l’Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi fait face à des accusations de dissimulation de revenus entre 2009 et 2017 et d’abus de confiance. Pour ces faits, il risque jusqu’à dix ans de prison.

23h15: Joint par Europe 1, l’entourage de Carlos Ghosn a expliqué qu’il ne souhaitait pas se soustraire à la justice japonaise. Mais le contexte autour de cette affaire ne lui laisserait pas la possibilité d’espérer un procès équitable, toujours selon son entourage. 

Au Japon, Carlos Ghosn est sous le coup de quatre chefs d'accusation pour n'avoir pas déclaré une partie de ses rémunérations, mais aussi pour abus de confiance aggravé. Arrêté en novembre 2018 au Japon, il avait ensuite été libéré sous caution au printemps et assigné à résidence à Tokyo dans des conditions très strictes, en attendant un procès qui devait avoir lieu en 2020. L'ancien patron avait notamment interdiction de voir son épouse et de la contacter, alors qu'elle-même n'était pas poursuivie dans cette affaire. Un échange en présence d'un avocat s'était organisé au mois de novembre. Les conditions de détention, puis d'assignation à résidence de Carlos Ghosn ont plusieurs fois été dénoncées par sa femme, Carole, et ses avocats.

23h05: Selon une information de L’Orient Le Jour, confirmée par Les Echos et Europe 1, l’ancien PDG de Renault a quitté le Japon pour rejoindre Beyrouth, la capitale du Liban, où il a passé une partie de son enfance. Les circonstances de ce voyage ne sont pas claires pour l’instant. Il n’est pas précisé si les autorités japonaises l’ont autorisé, alors que l’homme d’affaires était assigné à résidence à Tokyo depuis le 25 avril et sa deuxième libération d'une prison de la capitale japonaise.

22h59: L’ancien PDG de Renault Carlos Ghosn, a fui le Japon pour rejoindre Beyrouth, la capitale du Liban

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Vos réactions

Portrait de .Kazindrah.
1/janvier/2020 - 16h15

Lorsque l'on pense que certains affirmaient aux Japonais qu'il était inutile de l'emprisonner parce que jamais il ne penserait à s'échapper...

Portrait de heller
31/décembre/2019 - 20h28

Chapeau l'artiste !!! smiley

Portrait de Pimboy
31/décembre/2019 - 19h20 - depuis l'application mobile

Trop fort le mec ! Je le kiffe !! Ce qu’on peut faire quand même quand on est blindé de tunes !! : ))

Portrait de A.Thomas
31/décembre/2019 - 18h55

Nous voyons ici les pro Ghosn et les" anti Ghosn" (sans doute des nostalgiques de Sophocle ou de Cocteau..)

Il faut lui laisser que même dans l'adversité ,il reste poli Gohsn ,attitude carrée même quand ça ne tourne plus rond pour lui et qu'il est mis au Li ban de la bonne société..

Portrait de justicepointzero
31/décembre/2019 - 18h07
oblabla a écrit :

Si tenté que votre QI d'amibe vous le permette, au lieu de vous comporter en donneur de leçon communiste français (c'est dans les gènes de ce pays) essayez de prendre du recul. C.Ghosn est un des plus grands dirigeants d'entreprise de cette planète avec des résultats éblouissants au bénéfice de Renault, Nissan (qu'il a sorti de la faillite) et de Mitsubishi et au bénéfice de l'économie française et de l'image de la France dans le monde. Alors quels que soient les éventuelles fautes de C. Ghosn, il a créé pour ce pays des richesses inestimables. Et ce ne sont pas des syndicalistes cgt ou des franchouillards majoritairement envieux, jaloux, fainéants et assistés qui empêcheront Mr Ghosn de prouver son innocence et à minima de faire éclater la vérité sur cette affaire qui n'a pas fini d'éclabousser beaucoup de monde en France... Il m'est avis que dans la classe de la haute fonction publique française certains vont passer un mauvais réveillon...

merci pour ce fou rire !! vous m'avez permis de bien terminer l'année !!

PROUVER SON INNOCENCE !! MORT DE RIRE !!

VOUS ÊTES LE CHAMPION DE L'HUMOUR VOUS !!

BONNES FÊTES QUAND MÊME smiley

Portrait de bib
31/décembre/2019 - 17h53

Quand je pense comment on est contrôlé dans les aéroports et que lui ou Benalla (dans un autre contexte) réussissent à passer comme des fleurs...

Portrait de bib
31/décembre/2019 - 17h52

La CGT nous sort des cours de morale smiley

C'est plus drôle que les bêtisiers de Noël.

Qu'ils commencent par s'occuper de leur gestion pour le moins opaque, où certains profitent largement du système,

et du droit qu'ils s'attribuent à couper les centrales. Car pour eux, ce n'est pas un délit.

Je les rejoins sur un point : que toute la lumière soit faite sur cette affaire :

- ce que l'on reproche à CG, et qu'il soit jugé normalement (c'est mal parti)

- qui l'a balancé, avec qui ? (voeu pieux)

- pour quelle raison Bruno Lemaire le disait fiscalement à jour ? (rires dans la salle, puisque CG n'était pas fiscalement français depuis 2012 mais néerlandais)

- qui aide CG ? (voeu pieux)

- s'il n'a pas oublié de profiter du système, alors qu'il était déjà riche à gogo, son management a-t-il été cependant bénéfique à Renault-Nissan ?

Portrait de minou75
31/décembre/2019 - 16h17 - depuis l'application mobile

Vite une cagnotte...Pour que Carlos vive dignement au Liban tranquillement à l'ombre des grands cèdres !!!

Portrait de lahainesurinternet
31/décembre/2019 - 16h13
justicepointzero a écrit :

alors pourquoi tout ce cirque s'il est innocent ?????????

Quelque soient ses torts les autorités japonaises étaient décidées à le clouer au piloris pour récupérer le leadership de Nissan.

Portrait de Otis dentiste
31/décembre/2019 - 15h41

J'espère que le Japon va demander un mandat d'arrêt international, à défaut de justice, au moins Ghosn sera coincé au Liban pour le restant de ses jours. Quant aux carpettes soumises qui voient en Ghosn un honnête dirigeant martyrisé par l'Etat japonais, ils oublient qu'un procès l'avait menacé aux USA pour dissimulation de 140 millions de dollars, donc si les carpettes soumises  avaient un peu de logique il faudrait également écrire que les US ont aussi comploté contre Ghosn pour le faire tomber. Le système judiciaire américain étant ce qu'il est, il a échappé au pénal et a été condamné au civil à une amende et condamné à l'interdiction d'être dirigeant d'un entreprise cotée pendant 10 ans. Mais au Japon contrairement au US l'argent n'achète pas la justice et les traitements de faveurs ne se font pas selon la taille du portefeuille. Et puis même, quand on connait un minimum l'affaire et les mouvements d'argent qu'il a effectué c'est tellement évident que Ghosn a fait du grand n'importe quoi, les mensonges notamment au propre DAF de Nissan, impossible de nier qu'il y avait matière à procès sauf à être un soumis de première.

Portrait de oblabla
31/décembre/2019 - 13h54
Juillet2307 a écrit :

Ce n'est pas parce qu'il a redressé RENAULT qu'il doit se comporter comme le Roi Soleil!smiley

Si tenté que votre QI d'amibe vous le permette, au lieu de vous comporter en donneur de leçon communiste français (c'est dans les gènes de ce pays) essayez de prendre du recul. C.Ghosn est un des plus grands dirigeants d'entreprise de cette planète avec des résultats éblouissants au bénéfice de Renault, Nissan (qu'il a sorti de la faillite) et de Mitsubishi et au bénéfice de l'économie française et de l'image de la France dans le monde. Alors quels que soient les éventuelles fautes de C. Ghosn, il a créé pour ce pays des richesses inestimables. Et ce ne sont pas des syndicalistes cgt ou des franchouillards majoritairement envieux, jaloux, fainéants et assistés qui empêcheront Mr Ghosn de prouver son innocence et à minima de faire éclater la vérité sur cette affaire qui n'a pas fini d'éclabousser beaucoup de monde en France... Il m'est avis que dans la classe de la haute fonction publique française certains vont passer un mauvais réveillon...

Portrait de justicepointzero
31/décembre/2019 - 13h52

ENCORE UN QUI N'EST PAS COUPABLE COMME BALKANY

C'EST PITOYABLE !!!!!!!!

Portrait de justicepointzero
31/décembre/2019 - 13h50
lahainesurinternet a écrit :

Donc t'as la preuve que c'est un magouilleur  - parce que des journalistes l'ont chargé - et pour ça le type mérite d’être traité comme un chien? j'aurais pas aimé te croiser sous l'Occupation.

alors pourquoi tout ce cirque s'il est innocent ?????????

Portrait de lahainesurinternet
31/décembre/2019 - 12h36
justicepointzero a écrit :

comment pouvez vous défendre cet en .......... ?

encore un magouilleur pro défendu par certains sur ce forum

bravo les mecs continuez à défendre ce pauvre type !!!

Donc t'as la preuve que c'est un magouilleur  - parce que des journalistes l'ont chargé - et pour ça le type mérite d’être traité comme un chien? j'aurais pas aimé te croiser sous l'Occupation.

Portrait de justicepointzero
31/décembre/2019 - 12h32

comment pouvez vous défendre cet en .......... ?

encore un magouilleur pro défendu par certains sur ce forum

bravo les mecs continuez à défendre ce pauvre type !!!

Portrait de lahainesurinternet
31/décembre/2019 - 11h27

En ce qui me concerne Carlos Ghosn  a eu 10 fois raisons: il a été infiniment plus mal traité que Nordahl Lelandais, l’État français la laissé tomber et a baissé son froc face aux manips de la justice japonaise qui manifestement voulait se le payer, en plus journalistes / gauche française ( France inter..) l'ont traité comme de la merde , on ne parlera pas des petits procureurs des forums..

Portrait de hummerH2
31/décembre/2019 - 10h18
arquen a écrit :

Suite aux dernières révélations, qui font état que de nombreuses langues se délient pour confirmer un coup monté pour ultra-nipponiser Nissan et donc l'évincer, CG était désormais en droit de craindre pour sa vie. Il a foutrement raison et bravo à lui tant tous ses Droits fondamentaux ont été bafoués ! Plus d'un an emprisonné sans avoir le droit de voir les siens et sans avoir accès au dossier est insupportable et va à l'encontre de toutes les règles du Droit International.

Même pour les autorités japonaises ce dossier commence à sentir politiquement et juridiquement le roussi et il ne serait pas surprenant qu'il soit au Liban avec l'accord implicite de ces autorités..

 

+1000 ! smiley

Portrait de MICMAH458
31/décembre/2019 - 10h11
Les justices japonaises et françaises sont décidément bien naïves.
Portrait de letarsier
31/décembre/2019 - 09h26

Après l'ambassadeur de France qui aide l'épouse de Ghosn à fuir, voici que ce dernier parvient également à s'échapper ... sans passeport. Le pays du soleil levant est décidément bien poreux.

Ou alors, Ghosn aurait-il ramassé un faux passeport, voire diplomatique, tombé malencontreusement devant sa porte ? smiley

 

PS: ceux qui s'imaginent que Ghosn est tombé uniquement ou principalement pour une histoire de fric devraient se remettre en question.

 

Portrait de LaLouise
31/décembre/2019 - 08h49

Belle évasion ! bravo.

Portrait de roadrunner
31/décembre/2019 - 08h18

Bravo Carlos tu les as bien NIKKEI..

Portrait de UldAses
31/décembre/2019 - 08h00

Ça fera un chef d'inculpation de plus s'il s'est sorti du territoire sans l'aval des autorités. Reste à savoir si l'extradition est possible entre le Liban et le Japon. CG se plaint que le procès ne serait équitable mais en quoi? Il a finalement découvert ce qu'était le système judiciaire pour 99% de la population.

Portrait de minou75
30/décembre/2019 - 23h54 - depuis l'application mobile

Trop cool les Japs...Il méritait un boulet au pied dans le fond d'un cachot !!!

Portrait de Grock
30/décembre/2019 - 23h22

Sans blaaague !