
17h35 : La patronne du Louvre justifie les investissements qui ont été fait "pour améliorer et transformer certains lieux" et affirme "que ce sont des espaces de réception" et non des espaces privés. Elle dénonce les dérives dans la presse contre elle et les attaques personnelles : "Je suis une fonctionnaire et nous vivons un échec aujourd'hui. Je le redis, j'ai présenté ma démission qui a été refusée."
17h15: "Il n’y a pas de retard dans la mise en œuvre du schéma directeur de sûreté du Louvre", assure la directrice de l'établissement devant les sénateurs. "Nous avons une infrastructure vieillissante qui ne permet pas de greffer des équipements de toute dernière génération en termes de vidéo et de protection", explique-t-elle par ailleurs.
"J’ai fait de la sécurité une urgence absolue", a ajouté Laurence des Cars.
"Après avoir constaté les conséquences de la terrible attaque que nous venions de subir, j'ai présenté à la ministre de la Culture en responsabilité ma démission. Elle l'a refusée", indique la présidente du Louvre Laurence des Cars.
— Complètement LUNAIRE : le vol dans la galerie d’Apollon au musée du Louvre a été rendu possible car la caméra de surveillance… NE FILMAIT PAS DU BON CÔTÉ.
— Bastion (@BastionMediaFR) October 22, 2025
La présidente du musée reconnaît qu’il n’existe « que quelques caméras périmétriques », jugées… pic.twitter.com/klopjY95MA
17h13: L'administrateur général adjoint de l'Établissement Public du musée du Louvre Francis Steinbock partage son "sentiment d'effarement" et "sa grande surprise" à son arrivée après avoir visité les cinq postes de commandement.
"Nous avons aussi compris très rapidement que la question n'était pas qu'une question de poste de commandement. C'était une question d'infrastructure globale en termes numérique, d'outils et de caméras", indique-t-il.
16h40: L'audition de la directrice du Musée du Louvre, Laurence des Cars, vient de débuter au Sénat.
"Les musées ne sont pas et ne seront jamais des forteresses, ils sont par nature ouverts (...) Notre mission de partager ce patrimoine commun, tout en le partageant au plus grand nombre".
"C'est une blessure immense qui nous a été infligée", déclare Laurence des Cars, et de préciser que le cambriolage de dimanche constitue "le cauchemar" de toutes les équipes des musées du monde.
"L’attaque de dimanche nous rappelle que la violence criminelle ne s’arrêtera pas à nos murs. Le Louvre, comme bien d’autres musées sur notre territoire et dans le monde entier, n’est pas préservé de la brutalisation croissante de la société»'.
"Malgré nos efforts et notre travail, nous avons été mis en échec", a-t-elle reconnu.
"Le Louvre est immensément vaste. Y mener des travaux de rénovation implique des politiques de longue durée"
"Il ne s'agit nullement pour moi de me dérober ou d'adopter une position de dénis"
"Je ne veux pas laisser penser que ce vol est une fatalité. Je n'ai cessé depuis ma prise de fonction en septembre 2021 d'attirer l'attention de notre tutelle, de la représentation nationale et des médias, sur l'état de dégradation et d'obsolescence générale du Louvre, de ses bâtiments et de ses infrastructures", avant de rappeler avoir lancé l'alerte en avril 2024 sur ces points, devant la commission des affaires culturelles de l'Assemblée nationale.
Laurence de Cars salue "le professionnalisme" des agents du musée qui "ont suivi avec réactivité le protocole de sécurité", notamment en "évacuant dans le calme les visiteurs". "Dans ce cauchemar, aucune vie humaine n'a été touchée", a-t-elle confié.
Et de reconnaître "n'avoir pas repéré suffisamment à l'avance l'arrivée des voleurs". "Les faiblesses de notre protection périmétrique sont connues et identifiées", admet-elle devant les sénateurs, évoquant un "parc de vidéos très insuffisant".
La patronne du Louvre demande l’installation d’un "commissariat de police au sein du musée"
15h18: Une heure à peine après la réouverture du musée du Louvre, la Joconde retrouve ses nuées de curieux et la pyramide son parterre de touristes. Mais les portes sont closes devant la galerie d'Apollon, où ont été dérobés dimanche en plein coeur de Paris 88 millions d'euros de joyaux.
« Je suis tellement heureuse de pouvoir le visiter, qu'il ait rouvert », se félicite Carla Henry Hopkins, une Américaine de 60 ans. « J'ai confiance dans la sécurité du musée. Bien sûr, j'ai été choquée en apprenant le vol, mais je suis sûre qu'ils ont renforcé la sécurité », ajoute cette habitante de Baltimore, ville de l'est des Etats-Unis, venue à Paris avec sa fille et son gendre pour célébrer son anniversaire.
Les visiteurs ont commencé à affluer dès l'ouverture, à 09H00 (07H00 GMT). Une heure plus tard, les files d'attente s'allongent devant la célèbre pyramide, comme tous les jours. A l'intérieur, la foule est dense vers la salle 711, où est exposée la Joconde, de Léonard de Vinci, la star des collections du musée le plus visité au monde, avec neuf millions de personnes en 2024, dont 80% d'étrangers. « Nous sommes allés directement vers La Joconde. Mona Lisa était la seule chose que voulait voir ma fille », témoigne Yvonne Meulin, une Allemande de 46 ans.
Un peu plus loin, dans le labyrinthe de l'immense musée, des curieux s'arrêtent pour observer l'entrée fermée de la galerie d'Apollon, celle où a eu lieu le cambriolage. Certains prennent des photos des portes fermées, barrées de panneaux gris, malgré les pancartes qui leur demandent de s'abstenir et de poursuivre leur chemin.
Des guides accompagnant des groupes répondent à des questions. L'une d'elles détaille, en anglais, à l'aide d'un plan, les circonstances du spectaculaire vol de dimanche matin. Elle explique comment, en sept à huit minutes seulement, les cambrioleurs ont pénétré dans le musée à l'aide d'un monte-charge, fracturé une fenêtre et dérobé huit pièces, dont la valeur a été estimée à 88 millions d'euros.
Les quatre malfaiteurs sont toujours en fuite. L'enquête « progresse », a assuré mercredi le ministre de l'Intérieur Laurent Nuñez sur la télévision CNews et la radio Europe 1, précisant que « plus d'une centaine d'enquêteurs » sont mobilisés. Le président Emmanuel Macron a également demandé une « accélération » des « mesures de sécurisation » du musée. « Je suis un peu frustrée de ne pas voir les bijoux car j'adore ça. Mais je reviendrai quand la galerie rouvrira », déclare, fataliste, Carla Henry Hopkins.
Edward Simm, un Américain de 37 ans, avoue ne pas avoir su que le musée avait fermé plusieurs jours. « C'est ma première visite et c'est émouvant d'être là », se félicite-t-il. Dans une salle des antiquités orientales, cinq personnes assises sur des tabourets pliants dessinent les oeuvres accrochées face à elles. Leur professeur, Nicolas, explique l'afflux de visiteurs ce mercredi par le fait que le musée est resté fermé trois jours. « Les agents de sécurité étaient à cran à l'ouverture, ça se comprend ».
15h02: Le président LR de la commission des Affaires culturelles à l'Assemblée, Alexandre Portier, a déclaré remettre à plus tard la décision sur l'éventuelle création d'une commission d'enquête portant sur la protection du patrimoine, trois jours après le spectaculaire cambriolage au Louvre. La raison : la ministre de la Culture Rachida Dati a annoncé mardi avoir confié au député Jérémie Patrier-Leitus (Horizons), également membre de la commission des Affaires culturelles, une mission relative à la sécurité et à la sûreté des lieux patrimoniaux, en lien avec le ministère de l'Intérieur.
« Pour éviter les doublons », et dans l'attente de « la lettre de mission précise » définissant « le périmètre » de cette mission, Alexandre Portier a proposé à ses collègues de « surseoir » à la création de cette commission d'enquête. « Ensuite, s'il faut se constituer commission d'enquête, évidemment, j'y serai favorable dès lors que c'est utile au débat public », a-t-il ajouté lors d'une réunion de la commission des Affaires culturelles, en rappelant qu'au-delà du Louvre, « ce sont aujourd'hui des milliers de châteaux publics, privés, de musées, de chapelles, d'églises qui sont menacés au quotidien ».
Le député Alexis Corbière (groupe écologiste) a regretté ce choix. Rachida Dati « aurait pu laisser la commission parlementaire se mettre en place plutôt que de désigner l'un d'entre nous », a-t-il critiqué. « Je pense que la commission d'enquête que vous aviez proposée était une bonne idée. Ce n'est pas la même chose que le fait qu'un collègue soit désigné par la ministre », a-t-il ajouté.
Les pouvoirs d'une commission d'enquête comprennent notamment des convocations avec obligation pour la personne de l'honorer, des pouvoirs d'investigation et de conduire des auditions sous serment. La députée Renaissance Céline Calvez a, elle, souligné l'importance de veiller aux «moyens» qui seront mis à disposition de la mission annoncée par Rachida Dati.
Jérémie Patrier-Leitus a pour sa part dit être à la disposition de ses collègues pour « examiner quel est le bon périmètre de cette mission et qu'elle puisse être utile ». « Le pays a failli à protéger son plus grand musée du monde, comme il a failli à protéger ses églises, ses monuments et ses musées. Et il faut qu'on y travaille collectivement », a-t-il ajouté.
Dimanche, des cambrioleurs toujours recherchés ont effectué un casse spectaculaire au Louvre, dérobant des joyaux estimés à 88 millions d'euros. Un vol qui a provoqué une tempête politico-médiatique sur la protection des œuvres dans le musée le plus visité au monde.
13h26: Silencieuse depuis dimanche, la présidente-directrice du Louvre, Laurence des Cars, s’exprime cet après-midi devant des sénateurs pour tenter d’expliquer comment des cambrioleurs ont pu voler des joyaux dans le musée le plus visité au monde, pour un préjudice estimé à 88 millions d’euros. Elle sera auditionnée à 16H30 par la commission de la culture du Sénat.
Un moment de vérité pour celle qui était devenue en mai 2021 la première femme à accéder à la tête du Louvre. Le Figaro a affirmé mardi que Mme des Cars avait présenté sa démission après le vol, mais que cela lui avait été refusé et qu’elle avait reçu le soutien d’Emmanuel Macron. Sollicité par l’AFP, le Louvre n’a pas souhaité réagir à ces affirmations.
Laurence des Cars devrait être interrogée sur les conditions de sécurité de la galerie d’Apollon, qui abrite la collection royale de gemmes et les diamants de la Couronne. Les portes de la galerie restaient closes mercredi, trois panneaux gris en bloquant la vue et le personnel du Louvre demandant aux visiteurs de continuer à circuler.
Parmi les huit pièces emportées figurent le diadème d’Eugénie, qui compte près de 2.000 diamants, et le collier de la parure de saphirs de Marie-Amélie, dernière reine de France, et d’Hortense de Beauharnais, mère de Napoléon III.
12h23: Le point sur ce que l'on sait
Silencieuse depuis dimanche, la présidente-directrice du Louvre, Laurence des Cars, s’exprime cet après-midi devant des sénateurs pour tenter d’expliquer comment des cambrioleurs ont pu voler des joyaux dans le musée le plus visité au monde, pour un préjudice estimé à 88 millions d’euros.
Après trois jours portes closes, dont le mardi de fermeture hebdomadaire, le musée a rouvert mercredi à 09h00, a constaté une journaliste de l’AFP.
« On espérait très fort que ce soit ouvert. On avait réservé pour aujourd’hui, on n’aurait pas eu l’occasion de revenir », se réjouit Fanny, venue depuis Montpellier avec sa fille.
En coulisses, l’enquête se poursuit pour tenter de mettre la main sur les quatre cambrioleurs et leur incroyable butin. Un vol qui a provoqué une forte émotion en France comme à l’étranger et une tempête politico-médiatique sur la protection des oeuvres du Louvre.
L’enquête « progresse », a assuré sur CNews et Europe 1 le ministre de l’Intérieur Laurent Nuñez, selon qui « plus d’une centaine d’enquêteurs de la Brigade de répression du banditisme et de l’Office central contre le trafic de biens culturels » sont mobilisés.
« J’ai toute confiance, ça c’est sûr, dans le fait que nous retrouverons les auteurs », a-t-il martelé.
Qualifiés au départ d’inestimables, les bijoux volés ont désormais une estimation, qui ne tient toutefois pas compte de leur valeur patrimoniale: « Le préjudice a été estimé par la conservatrice du Louvre à 88 millions d’euros », une somme « extrêmement spectaculaire » mais qui « n’a rien de parallèle et de comparable au préjudice historique », a déclaré mardi soir sur RTL la procureure de Paris Laure Beccuau.
Cette estimation en fait un des plus importants vols d’objets d’art des dernières décennies, mais ce montant reste bien inférieur au préjudice lors du cambriolage du musée Isabella Stewart Gardner de Boston, en 1990, évalué à au moins un demi-milliard de dollars.
10h01: Face aux accusations des députés mardi, Rachida Dati a exclu toute « faille de sécurité à l’intérieur » du musée, car les dispositifs « ont fonctionné ».
Elle a en revanche mis en cause l’absence de la sécurité « sur la voie publique », permettant aux cambrioleurs d’installer un monte-charge et d’entrer par une fenêtre.
Dans un pré-rapport consulté lundi par l’AFP, la Cour des comptes déplore un « retard dans le déploiement d’équipements destinés à assurer la protection des oeuvres » du musée.
Fille du journaliste et écrivain Jean des Cars, petite-fille du romancier Guy des Cars, Laurence des Cars a gagné une longue expérience dans les musées.
Avant le Louvre, cette spécialiste de l’art du XIXe et du début du XXe siècle a présidé le musée d’Orsay, après celui de l’Orangerie, un musée d’art impressionniste et post-impressionniste qui expose en particulier les gigantesques Nymphéas de Monet.
09h44: Les portes du Louvre ont été rouvertes aux visiteurs ce matin, pour la première fois depuis le spectaculaire cambriolage mené dimanche par quatre malfaiteurs, partis avec huit joyaux pour un préjudice estimé à 88 millions d’euros, a constaté une journaliste de l’AFP.
Dès 9h00, heure habituelle d’ouverture, les premiers visiteurs commençaient à entrer dans le musée le plus fréquenté du monde. La galerie d’Apollon, où a eu lieu le vol, reste en revanche fermée, a indiqué le Louvre à l’AFP.
07h00: La procureure de Paris, Laure Beccuau, a indiqué, mardi soir, que le préjudice du spectaculaire vol de bijoux au Louvre a été évalué à 88 millions d'euros, pour son seul volet économique. "Le préjudice a été estimé par la conservatrice du Louvre à 88 millions d'euros", une somme "extrêmement spectaculaire" mais qui "n'a rien de parallèle et de comparable au préjudice historique", a ajouté sur RTL la procureure, précisant que les malfaiteurs "ne gagneront pas" cette somme "s'ils avaient la très mauvaise idée de fondre ces bijoux".
"On peut peut-être espérer qu'ils réfléchissent à la chose et qu'ils ne détruisent pas ces bijoux sans raison", a ajouté la procureure.
La magistrate a indiqué "attendre avec intérêt de savoir si, selon le jargon policier", les empreintes retrouvées "vont matcher ou pas" : "Elles sont en cours d'analyse". La procureure Beccuau a confirmé le chiffre de "quatre personnes identifiées comme étant présentes sur les lieux", tout en ouvrant la porte à ce qu'"autour d'eux", il y ait "tout un tas d'équipes" qui les ait "aidés à perpétrer ce vol".
Interrogée sur l'existence d'éventuelles complicités internes au sein du musée le plus visité au monde, Mme Beccuau a répondu ne pas pouvoir "répondre par oui ou par non" à ce stade. La procureure a par ailleurs indiqué que le véhicule-nacelle qui a servi à commettre le vol a été obtenu par les malfaiteurs via "une pseudo-location sur un prétendu déménagement".
"Lorsque l'un des employés de cette entreprise se présentait sur les lieux du déménagement, il s'est trouvé confronté à deux hommes menaçants mais qui n'ont usé à son encontre d'aucune violence", a ajouté Mme Beccuau, évoquant un dépôt de plainte.
D'après elle, outre les magistrats de la Juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) du parquet de Paris qui dirigent les investigations, "une centaine" d'enquêteurs sont mobilisés à Paris sur ce dossier.
06h04: Après le fiasco du cambriolage, la présidente du Louvre a présenté sa démission, qui lui a été refusée par Emmanuel Macron selon les informations du Figaro. Nos confrères écrivent :
"Soutien d’une présidente qu’il a nommée, et qu’il a chargée de conduire les travaux du futur Grand Louvre, le président de la République Emmanuel Macron l’a même appelée à plusieurs reprises ces derniers jours. « Tenez bon ; il n’est pas question de casser la dynamique de rénovation du musée », lui a-t-il glissé."
Devant les syndicats du Louvre, reçus mardi matin au ministère de la Culture, Rachida Dati a été plus cash selon le quotidien qui indique que la Ministre leur a lâché : « Je ne vous donnerai pas la tête de Laurence des Cars. »
Vos réactions
Et bientôt on va apprendre que la patronne du Louvre et la responsable de la sécurité sont deux lesbiennes qui doivent leur place à d'autres gauchistes.
200 € que ça sort avant la fin de l'année.
J'ai lu un témoignage affirmant que depuis sa prise de poste, il est impossible d'être embauché s'il l'on est pas gay ou lesbienne.
Quelle honte, cette socialiste.
Et bientôt on va apprendre que la patronne du Louvre et la responsable de la sécurité sont deux lesbiennes qui doivent leur place à d'autres gauchistes.
200 € que ça sort avant la fin de l'année.
Il y a un lien de réel Instagram où il y a une interview d'un ancien bandit reconverti qui a fait un podcast dans le musée du Louvre, son discours sur la sécurité du Louvre c'est hallucinant.
"je n'ai pas vu suffisamment à l'avance l'arrivée des voleurs"
Il aurait été difficile de les voir avant qu'ils arrivent...
Elle préfère dépenser l'argent du contribuable pour son bien être comme la plupart de nos élus tel que Macron et bien d'autres.
... demande l’installation d’un "commissariat de police" dans le musée
Sauf que lorsque le moment est venu, elle a plutôt choisi d'installer une cuisine, avec un matos d'exception ...
Quand bien même les gardiens seraient venus tout de suite, je ne vois pas ce qu'ils auraient fait sans arme face à des délinquants brandissant une grosse disqueuse...
Le remake de massacre à la tronçonneuse ?
Nommée par Macron, elle a l'immunité et ne sera jamais sanctionnée !! Si elle avait un peu d'honneur, elle démissionnerait, mais çà, n y comptez pas !!!
Et aucune sanction, donc circulez rien à voir.
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