
18h04: Le président du Sénat et la présidente de l'Assemblée nationale ont été reçus par le président de la République ce mardi après-midi, indique leur entourage.
Ils ont été reçus « séparément », indique-t-on de même source sans préciser le but de l'entretien. En vertu de l'article 12 de la Constitution, le chef de l'Etat doit consulter les présidents des deux chambres s'il veut dissoudre l'Assemblée nationale.
17h14: Le patron du PS Olivier Faure a indiqué mardi que son parti se rendrait bien à Matignon mercredi à 10h00, à l’invitation de Sébastien Lecornu, dans le cadre des ultimes négociations que le Premier ministre démissionnaire a été chargé de mener.
« Tous les groupes de gauche hors LFI » ont répondu positivement à l’invitation, a-t-il précisé, indiquant qu’il allait de nouveau réclamer l’accession de la gauche à Matignon, car « le moment est venu de respecter le vote des Français ». Les Ecologistes ont indiqué s’y rendre mercredi à 12h15, le PCF a confirmé également sa venue le même jour, sans horaire à ce stade, et Place Publique est attendu mardi soir, à 19h45.
16h18: Sur le réseau social X, la députée de La France Insoumise Karen Erodi indique que son parti ne participera pas aux consultations organisées par Sébastien Lecornu avec les chefs de partis. « Le Premier ministre démissionnaire veut recevoir Mathilde Panot et Manuel Bompard à Matignon. Nous n'irons pas », écrit-elle.
« Nous n’avons rien à négocier avec la Macronie agonisante. Maintenant Macron doit partir, et vite ! », ajoute-t-elle.
Le Premier ministre démissionnaire veut recevoir @MathildePanot et @mbompard à Matignon.
— Karen Erodi (@KarenErodi) October 7, 2025
Nous n’irons pas.
Nous n’avons rien à négocier avec la Macronie agonisante.
Maintenant Macron doit partir, et vite !
15h40: Bruno Retailleau, Président des Républicains et ministre de l'Intérieur démissionnaire, et Olivier Faure, Premier secrétaire du Parti socialiste, seront ce soir les invités du Journal de 20h de France 2, au lendemain de la démission du Premier ministre Sébastien Lecornu.
15h36: Le patron des Républicains et ministre démissionnaire Bruno Retailleau rencontrera le Premier ministre Sébastien Lecornu à 17 heures, indiquent des sources LR à l'AFP.
13h29: Le parti politique Renaissance a posté un message sur son compte X. "Les appels à la démission du Président de la République n'ont pas de sens. Il a été élu démocratiquement et sa légitimité ne peut pas être remise en cause. Cela fragiliserait nos institutions, et ne résoudrait en rien la crise parlementaire. Ce qu’il faut aujourd’hui, ce n’est pas une ajouter une crise à la crise. C’est régler la crise".
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Les appels à la démission du Président de la République n'ont pas de sens.
— Renaissance (@Renaissance) October 7, 2025
Il a été élu démocratiquement et sa légitimité ne peut pas être remise en cause.
Cela fragiliserait nos institutions, et ne résoudrait en rien la crise parlementaire.
Ce qu’il faut aujourd’hui, ce n’est…
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12h52: Marine Le Pen et Jordan Bardella ont décliné « l’invitation de Sébastien Lecornu » à se rendre à Matignon dans le cadre des ultimes négociations dont le Premier ministre démissionnaire est chargé, a indiqué le Rassemblement national.
« Ces énièmes négociations n’ont plus pour objectif de préserver l’intérêt des Français, mais celui du président de la République lui-même », affirme le RN, ajoutant que les deux dirigeants du parti « réitèrent leur demande de dissolution de l’Assemblée nationale ».
12h15: Sébastien Lecornu vient de poster un message sur son compte X. "J'ai commencé ce matin les ultimes discussions avec les forces politiques pour la stabilité du pays, à la demande du Président de la République, en conviant les chefs de partis du socle commun et les présidents des deux chambres du Parlement. J'ai proposé que nous nous concentrions sur deux priorités, qui s'imposent à l'ensemble de la classe politique", écrit-il.
Et d'ajouter : "D'abord, l'adoption d'un budget pour l'État et pour la sécurité sociale. Ensuite, l'avenir institutionnel de la Nouvelle-Calédonie. Tous les présents ont convenu de ces deux urgences et ont exprimé la volonté de trouver une issue rapide. Sur l'urgence budgétaire, nous avons échangé sur les paramètres d'un compromis possible avec les oppositions.
"Je poursuivrai entre cet après-midi et demain matin ces consultations", conclut Sébastien Lecornu.
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J'ai commencé ce matin les ultimes discussions avec les forces politiques pour la stabilité du pays, à la demande du Président de la République, en conviant les chefs de partis du socle commun et les présidents des deux chambres du Parlement.
— Sébastien Lecornu (@SebLecornu) October 7, 2025
J'ai proposé que nous nous…
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12h03: Sébastien Lecornu a proposé mardi au « socle commun » de la droite et du centre de « concentrer » les négociations sur deux sujets, le budget et l’avenir de la Nouvelle-Calédonie, indiquant dans un communiqué que ses soutiens avaient « convenu de ces deux urgences ».
Le Premier ministre démissionnaire, qui invite chacune des forces politiques à le rencontrer entre mardi après-midi et mercredi matin - le PS est attendu mercredi à 10H00 -, « a proposé de concentrer les discussions sur deux priorités (...) l’adoption d’un budget » et « l’avenir de la Nouvelle-Calédonie ».
« Tous (les partis du »socle commun« ) ont convenu de ces deux urgences, avec une volonté partagée de trouver une issue rapide », selon M. Lecornu.
« Un échange s’en est suivi sur l’urgence budgétaire et les paramètres d’un compromis possible avec les oppositions », ajoute-t-il.
Le président Emmanuel Macron a accepté lundi matin la démission de son Premier ministre Sébastien Lecornu avant de le charger d’ici mercredi soir de mener d’« ultimes négociations » pour « définir une plateforme d’action et de stabilité ».
Sébastien Lecornu a rencontré lundi le président Les Républicains du Sénat Gérard Larcher, avant de convier le « socle commun » à Matignon mardi matin.
M. Lecornu a réuni pendant près de deux heures mardi trois partis de la fragile coalition gouvernementale sortante : Edouard Philippe (Horizons), Gabriel Attal (Renaissance), et Marc Fesneau (MoDem), avec les présidents des deux chambres, M. Larcher et Yaël Braun-Pivet (Renaissance, Assemblée).
Manquait toutefois le patron du parti LR Bruno Retailleau, qui a menacé dimanche de quitter le gouvernement en raison notamment de la présence de l’ex-ministre de l’Économie Bruno Le Maire dans la nouvelle équipe. Ce dernier a annoncé ensuite qu’il renonçait à y participer.
M. Retailleau a semblé tempérer sa position mardi, proposant sur Europe 1 de participer à un gouvernement de « cohabitation » avec la macronie à condition que LR « ne s(’y) dilue pas ».
Le centriste Hervé Marseille n’était pas présent à la réunion à Matignon non plus, y voyant une « opération de rafistolage » que les Français jugent « incompréhensible », alors qu’« on est en crise de régime ».
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11h24: Les Ecologistes et LFI ont appelé mardi toute la gauche à « agir ensemble » pour porter un « programme de rupture au pouvoir », à la sortie d’une réunion qui les rassemblait, mais sans le Parti socialiste.
« Nous nous adressons à toutes celles et ceux qui ont fait avec nous la NUPES et le NFP », ont écrit simultanément sur X la patronne des Ecologistes Marine Tondelier et les dirigeants insoumis Mathilde Panot et Manuel Bompard.
« L’heure est grave: notre responsabilité commune est d’agir ensemble pour porter ce programme de rupture au pouvoir, en finir avec le macronisme et battre l’extrême droite », ont-ils dit, en ajoutant qu’une nouvelle réunion aurait lieu mercredi.
« Chacun prendra ses responsabilités », a souligné Manuel Bompard à la sortie de la réunion qui a réuni également les partis Générations et L’Après (parti des ex-insoumis), ainsi qu’un représentant du PCF (hors direction).
Les participants ont également annoncé qu’ils censureraient « tout gouvernement qui s’inscrirait dans la continuité de la politique macroniste ».
Manuel Bompard a expliqué qu’avait été acté « une volonté de présenter des candidatures communes porteuses du programme du Nouveau Front populaire sur toutes les circonscriptions », en cas de dissolution.
Sur BFMTV, la numéro 2 du PS Johanna Rolland a expliqué que le PS n’avait pas participé à cette réunion car le « mot d’ordre porté par la France insoumise » était « la destitution du président de la République ».
« Les socialistes et les communistes n’y étaient pas puisque, je le redis, nous ne sommes pas pour la destitution du président de la République. Chacun peut faire comme si ça allait arriver », mais « ce process de destitution n’a aucune chance d’arriver ».
« Dans un moment grave, on ne peut pas raconter des histoires aux Français », a-t-elle ajouté, confirmant que le PS ne s’associerait pas à la motion de destitution.
« Nous souhaitons que absolument tout le monde enterre les haches de guerre », a déclaré l’ex-insoumise Clémentine Autain, estimant que le moment était venu de « se mettre autour d’une table, rassemblés ».
Une autre réunion était prévue dans la foulée, en visio, cette fois à l’initiative du Parti socialiste, et rassemblant les mêmes participants que la première réunion, à l’exception de LFI, et avec la direction du PCF.
Les participants devaient notamment parler dissolution et d’un possible gouvernement de cohabitation, si Emmanuel Macron décidait de nommer un premier ministre de gauche.
11h18: "Je ne pense pas qu'ils s'en sortiront sans retour aux urnes", déclare le député LFI Eric Coquerel, à l'Assemblée nationale
10h33: Le Premier ministre démissionnaire a en effet convoqué ses alliés dès 9H00 à Matignon. Il a été chargé par le président de mener d’« ultimes négociations » d’ici mercredi pour « définir une plateforme d’action et de stabilité ».
Également invités à cette réunion à Matignon, à laquelle Édouard Philippe est bien présent, les présidents des deux chambres du Parlement: Yaël Braun-Pivet (Renaissance, Assemblée) et Gérard Larcher (LR, Sénat).
Le terrain est très glissant, sinon miné, pour le Premier ministre le plus éphémère de la Ve République, qui a maintenu des contacts bilatéraux avec le chef des Républicains Bruno Retailleau encore lundi soir.
Ces nouvelles tractations, si elles devaient aboutir à un compromis, ne se traduiront pas nécessairement par une reconduction de Sébastien Lecornu à Matignon, selon l’entourage d’Emmanuel Macron.
En cas d’échec, le président prendra ses « responsabilités » selon la même source, faisant planer la menace d’une nouvelle dissolution de l’Assemblée.
10h14: Le point sur la situation ce matin
La crise politique s’enflamme mardi jusque dans le camp présidentiel et Emmanuel Macron, qui a demandé à Sébastien Lecornu de poursuivre « d’ultimes négociations » pour tenter de composer une coalition, se trouve plus isolé que jamais.
Coup de théâtre, le patron d’Horizons Édouard Philippe, allié traditionnel du président, l’exhorte à partir avant la fin de son mandat. Il lui a demandé d’organiser « une élection présidentielle anticipée » après l’adoption d’un budget pour 2026.
Évoquant « l’affaissement de l’État » qui n’est selon lui « pas tenu », l’ancien Premier ministre (2017-2020), candidat déclaré pour 2027, a estimé qu’« on ne va pas faire durer ce que nous vivons depuis six mois pendant 18 mois encore, c’est beaucoup trop long ».
Déjà la veille, un autre ex-chef du gouvernement, jadis très proche d’Emmanuel Macron, Gabriel Attal avait lancé l’offensive, prenant sèchement ses distances avec le chef de l’Etat dont il ne comprend « plus les décisions ».
Dans le même temps, les opposants continuent de dénoncer la situation politique inédite dans laquelle la France est plongée depuis la démission surprise lundi du gouvernement de Sébastien Lecornu nommé... 14 heures plus tôt.
Le ministre de l’Intérieur démissionnaire, Bruno Retailleau, qui avait provoqué la crise en menaçant dimanche soir de quitter ce gouvernement pour notamment protester contre le retour de Bruno Le Maire en son sein, a tempéré cependant sa position mardi.
Il a proposé que son parti, Les Républicains, participe à un gouvernement de « cohabitation » avec la macronie à condition que LR « ne se dilue pas » dans le camp présidentiel. Mais il a refusé de participer à la réunion mardi matin du « socle commun », alliance entre le centre et la droite LR qui a tenu cahin-caha depuis la dissolution de 2024.
Le Premier ministre démissionnaire a en effet convoqué ses alliés dès 9H00 à Matignon. Il a été chargé par le président de mener d’« ultimes négociations » d’ici mercredi pour « définir une plateforme d’action et de stabilité ».
Également invités à cette réunion à Matignon, à laquelle Édouard Philippe est bien présent, les présidents des deux chambres du Parlement: Yaël Braun-Pivet (Renaissance, Assemblée) et Gérard Larcher (LR, Sénat).
Le terrain est très glissant, sinon miné, pour le Premier ministre le plus éphémère de la Ve République, qui a maintenu des contacts bilatéraux avec le chef des Républicains Bruno Retailleau encore lundi soir.
Ces nouvelles tractations, si elles devaient aboutir à un compromis, ne se traduiront pas nécessairement par une reconduction de Sébastien Lecornu à Matignon, selon l’entourage d’Emmanuel Macron.
En cas d’échec, le président prendra ses « responsabilités » selon la même source, faisant planer la menace d’une nouvelle dissolution de l’Assemblée.
09h40: Sébastien Lecornu entame ce matin « d’ultimes négociations », à la demande d'Emmanuel Macron pour « définir une plateforme d’action et de stabilité ».
Une gageure pour le Premier ministre démissionnaire qui devra d’ici mercredi ressouder une coalition fissurée, tout en gérant les menaces de censure des oppositions.
Dès 9H00, M. Lecornu recevra à Matignon des chefs de partis et responsables de la coalition gouvernementale et les présidents des deux chambres du Parlement: Yaël Braun-Pivet (Renaissance, Assemblée) et Gérard Larcher (LR, Sénat).
Au lendemain de sa démission spectaculaire sur fond de dissensions avec Les Républicains (LR), il devra composer avec une coalition échaudée par la crise politique dans laquelle s’enfonce l’exécutif.
Gabriel Attal, patron du parti Renaissance et ancien Premier ministre, a sèchement pris ses distances lundi soir avec un Emmanuel Macron, dont il ne comprend « plus les décisions », qui « donnent le sentiment d’une forme d’acharnement à vouloir garder la main », depuis la dissolution en 2024, au lieu de « partager le pouvoir ».
Le patron de Horizons Edouard Philippe n’a pas encore commenté la situation, mais interviendra à 8H15 sur RTL.
La droite, elle, réclame toujours une clarification programmatique à Sébastien Lecornu. Selon une source au parti, le chef de LR Bruno Retailleau devrait être absent de la réunion et a exigé une rencontre bilatérale à Sébastien Lecornu. Les contacts se sont poursuivis dans la soirée de lundi.
08h41: Le président du Rassemblement national Jordan Bardella annonce sur BFMTV-RMC sa candidature à de possibles élections législatives anticipées, dans le cas où le président de la République dissoudrait l'Assemblée nationale, "est une probabilité". C'est "très probable". "(...) Je prendrai mes responsabilités, et j'irai aux élections législatives. Mais devenir Premier Ministre pour l'ajouter à ma carte de visite ne m'intéresse pas. Je veux devenir Premier Ministre pour changer le quotidien des Français, pour contrôler l'immigration, pour lutter contre l'insécurité""
"Je veux devenir Premier ministre pour changer le quotidien des Français", soutient Jordan Bardella pic.twitter.com/pNIphTiltY
— RMC (@RMCInfo) October 7, 2025
.08h27: Édouard Philippe affirme sur RTL qu'Emmanuel Macron "s'honorerait" à organiser une "élection présidentielle anticipée". Pour sortir de la crise, Edouard Philippe suggère la nomination d'un Premier ministre chargé des affaires courantes et de construire un budget. Mais il demande à Emmanuel Macron d'organiser une "élection présidentielle anticipée, c'est-à-dire qu'il part immédiatement après que le budget ait été adopté", expose-t-il.
Edouard Philippe demande à Emmanuel Macron d'organiser une présidentielle anticipée après l'adoption du budget@EPhilippe_LH face à @FogielMarcO dans #RTLMatin pic.twitter.com/oMY95kh0EQ
— RTL France (@RTLFrance) October 7, 2025
08h17: Invité de CNews-Europe 1, Bruno Retailleau ne ferme pas la porte à "un gouvernement de cohabitation" mais il prend ses distances, indiquant qu'il ne faut plus parler à ses yeux de "socle commun", regroupant LR et le bloc central. "Si nous sommes entrés au gouvernement, c'était pour éviter le chaos", dit Bruno Retailleau et pour éviter "la gauche mélenchonisée", rejetant l'idée que Les Républicains seraient la béquille des macronistes.
Le ministre démissionnaire de l'Intérieur évoque "une rupture de confiance" avec le Premier ministre démissionnaire Sébastien Lecornu. "Dès que j'ai su que Bruno Le Maire était nommé, je me suis jeté sur mon téléphone pour appeler le Premier ministre et lui dire ma façon de pensée".
"Aujourd’hui, je dis qu’il y a deux choses différentes: il y a un bloc central et il y a LR", explique le ministre démissionnaire de l'Intérieur. Ainsi si LR participe à un excécutif ce sera pour "un gouvernement de cohabitation", dit-il.
Revenir au gouvernement ? « À une condition : un gouvernement de cohabitation», affirme Bruno Retailleau dans #LaGrandeINterview pic.twitter.com/8EUQ85uJxq
— CNEWS (@CNEWS) October 7, 2025
07h11: Quelques heures après avoir accepté la démission de Sébastien Lecornu, Emmanuel Macron a confié lundi 6 octobre à son Premier ministre démissionnaire – le plus éphémère de la Ve République – la mission de mener "d'ultimes négociations" pendant deux jours pour sortir la France de la crise politique. Ces ultimes tractations ont été accueillies froidement jusque dans le camp présidentiel.
"Il y a des décisions qui donnent le sentiment d'une forme d'acharnement à vouloir garder la main", a taclé le secrétaire général du parti Renaissance Gabriel Attal au journal de 20 heures de TF1. L'ex-Premier ministre, balayé par la dissolution de 2024, a avoué qu'il "ne comprend plus les décisions" du chef de l'État et appelé à "partager le pouvoir".
Il a toutefois indiqué qu'il participerait aux "ultimes négociations", annoncées par l'Élysée, "afin de définir une plateforme d'action et de stabilité pour le pays".
Sébastien Lecornu, qui dira au chef de l'État mercredi soir si un compromis est possible ou non, entamera ses nouvelles tractations mardi à 9 h en recevant des dirigeants du "socle commun", la fragile coalition entre le camp présidentiel et le parti de droite Les Républicains dont les signes d'implosion l'ont poussé à démissionner.
Les présidents de l'Assemblée nationale et du Sénat seront aussi présents. En cas de nouvel échec mercredi, Emmanuel Macron "prendra ses responsabilités", a fait savoir son entourage, semblant laisser planer l'hypothèse d'une nouvelle dissolution. Il a précisé qu'en cas de succès, Sébastien Lecornu ne serait pas automatiquement renommé Premier ministre, son rôle se bornant à ce stade à dire si "des voies de compromis" sont encore possibles.
Vos réactions
Ok il nomme un nouveau 1er Ministre socialiste ça ne va pas durer ...... Macron est obligé de démissionner
On visite, on discute pour un remplacement ..... l'avenir ne sera pas rose si on prend les mêmes amateurs.
Franchement plus j'y réfléchis plus je suis contre une dissolution.
Et contrairement a beaucoup, je suis contre une dissolution qui réussi (on a déjà vu une qui ne réussit pas ...)
Imaginons qu'on se retrouve avec un parti a 60%, quii peut reussir des reformes, prendre des bonnes décisions...
A votre avis a la fin qui aura les louanges, qui sera le chef qui a reussi ! Non il n'y a que la démission de souhaitable
Le grand remplacement en marche. Aujourd'hui l'Assemblée c'est : 1/3 - 1/3 - 1/3. Ingouvernable.
Demain ce sera : 1/2 (LFI) - 1/4 - 1/4. La charia gouverne.
Après-demain ce sera... je vous laisse imaginer.
Sinon il y a le vote Reconquête!
Ils savent vraiment pas ce qu’ils veulent, c’est stupéfiant d’abrutissement !
Il disent sans cesse qu’ils iront si ils sont invités autour de la table pour discuter et là, on leur donne la possibilité d’aller discuter et, comme par hasard, ils répondent négativement …
Mme Le Pen et M. Bardella, soyez un peu sérieux et cohérents !
Marine Le Pen et Jordan Bardella sont allés à une rencontre avec Lecornu à Matignon le 17 septembre, puis Marine Le Pen une deuxième fois le 3 octobre.
Pour le coup je suis d'accord avec eux. Ca ne sert à rien d'y aller encore. Surtout que je pense que ces consultations ne sont pas pour discuter mais pour sauver Manu. S'il y avait un terrain d'entente à trouver, Lecornu n'avait qu'à le trouver avant.
Ils savent vraiment pas ce qu’ils veulent, c’est stupéfiant d’abrutissement !
Il disent sans cesse qu’ils iront si ils sont invités autour de la table pour discuter et là, on leur donne la possibilité d’aller discuter et, comme par hasard, ils répondent négativement …
Mme Le Pen et M. Bardella, soyez un peu sérieux et cohérents !
Ils ont raison il n'y a rien à discuter avec un type qui n'est meme pas ministre. C'est vous l'abrutie !
Ils savent vraiment pas ce qu’ils veulent, c’est stupéfiant d’abrutissement !
Il disent sans cesse qu’ils iront si ils sont invités autour de la table pour discuter et là, on leur donne la possibilité d’aller discuter et, comme par hasard, ils répondent négativement …
Mme Le Pen et M. Bardella, soyez un peu sérieux et cohérents !
Il est bien trop tôt pour des élections anticipées.
Les français n'ont pas encore saisi que la France avait plongé dans une crise économique abyssale de type grande dépression américaine. Dans quelques mois ils commenceront à comprendre.
S'ils votaient maintenant ce serait à nouveau un vote défouloir non constructif. D'ici 1 à 2 ans par contre ce sera un vote pour reconstruire le pays différemment des dernières décennies de décadence.
Réagissez
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