
Israël exige le retrait du rapport "fabriqué de toute pièces" de l’organisme onusien chargé de l’évaluation des famines, sur lequel l'ONU s'est basée pour déclarer la famine à Gaza, selon un responsable du ministère des Affaires étrangères israélien. «Israël exige que l'IPC retire immédiatement son rapport fabriqué de toutes pièces», a ainsi déclaré à la presse le directeur général du ministère des Affaires étrangères d'Israël, Eden Bar Tal.
Lors d'une rencontre avec la presse, il a affirmé que le Cadre intégré de classification de la sécurité alimentaire (IPC) était «politisé» et l'a accusé d'avoir «manipulé» plusieurs chiffres du rapport publié le 22 août. «Maintenant, si l'IPC ne le fait pas (retirer son rapport, NDLR), (...) nous nous adresserons aux donateurs, nous leur ferons part de ces manquements», a menacé Eden Bar Tal en répondant à une question de l'AFP.
«Nous sommes certains qu'ils tireront la bonne conclusion: ne plus financer un institut de recherche qui est politisé, manipulateur, et qui agit comme un outil au service d'une organisation terroriste malfaisante», a-t-il conclu.
Après des mois de mise en garde, l'IPC, basé à Rome, a déclaré le 22 août que la famine touchait 500.000 personnes dans le gouvernorat de Gaza, qui couvre environ un cinquième du territoire palestinien, y compris la ville de Gaza.
L'IPC, soutenu par l'ONU, a également prévu que la famine s'étendrait aux gouvernorats de Deir el-Balah (centre) et Khan Younes (sud) d'ici la fin septembre, couvrant environ les deux tiers de Gaza.
La famine à Gaza «aurait pu être évitée» sans «l'obstruction systématique d'Israël», avait alors accusé à Genève le responsable de la coordination des affaires humanitaires des Nations unies, Tom Fletcher. «Cette famine va et doit nous hanter tous», avait-il martelé.
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L'ONU a aussi produit des rapports expliquant que l'immigration illégale et massive est prioritaire sur tout le reste car il s'agirait des droits fondamentaux des clandestins, au mépris donc des droits constitutionnels des citoyens, droits établis par l'Histoire, les lois et gouvermenents démocratiques des pays-cibles respectifs de cette invasion. Alors que cette immigration clandestine se révèle la plupart du temps injustifiée et mue par des motifs purement économiques dans la majeure partie des cas, il ne s'agit donc évidemment ni de droit fondamental, ni d'autorisation universelle à venir agresser, violer, harceler et massacrer les citoyens initialement en paix et en sécurité.
Pour s'enfoncer, l'ONU dénonce en plus les discours qui rejettent, excluent ou attaquent les migrants, alors que les statistiques et les discours de victimes de migrants s'accumulent pour réprouver ces arrivées massives de cultures éloignées, à majorité misogynes et homophobes, au coeur de sociétés occidentales inadaptées à leur mode de vie communautaire.
L'ONU écrit aussi des grosses conneries et ce ne serait ni leur première ni leur dernière fois.
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