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Les infractions anti-LGBT+ enregistrées par les services de police et de gendarmerie ont augmenté de 5% en France en 2024, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur publiés jeudi, à l’approche de la journée internationale contre l’homophobie, la transphobie et la biphobie, prévue le 17 mai.
Au total, 4.800 infractions ont été enregistrées l’an passé, dont 3.100 crimes ou délits (+7% en un an) et 1.800 contraventions (+1%).
Cette progression annuelle reste toutefois moins importante que les années précédentes. Les infractions contre les lesbiennes, gays, bi et trans avaient augmenté de 15% en moyenne sur la période 2016-2023.
Pour Julia Torlet, présidente de SOS Homophobie, le climat actuel est « délétère »: les personnalités politiques multiplient les discours anti-LGBT", ce qui « encourage les actes haineux » et leur « donne une légitimité ». « Ces discours s’infusent dans la société et deviennent banals ce qui est dangereux », a-t-elle ajouté auprès de l’AFP.
L’association a récolté l’an dernier 1.571 témoignages via ses dispositifs d’écoute et de soutien aux victimes (ligne téléphonique 01.48.06.42.41, chat, mail), selon son rapport publié jeudi soir. Un chiffre en baisse par rapport aux 2.085 témoignages de 2023.
Plus de la moitié de ces témoignages (55%) dénoncent de la gayphobie et 23% de la transphobie.
Les victimes de crimes et délits répertoriés par les autorités sont majoritairement des hommes (plus de 70% en 2024) et près de la moitié ont moins de 30 ans, selon le Service statistique ministériel de la sécurité intérieure (SSMSI). Les mis en cause sont aussi principalement des hommes (83%) et également des jeunes de moins de 30 ans.
Un tiers des infractions anti-LGBT+ enregistrées sont des injures ou diffamations, et 9% sont en lien avec le numérique. Les discours anti-LGBT" des politiques « libèrent aussi la parole en ligne, on se retrouve avec une explosion de propos anti-LGBT et de cyberharcèlement » qui a notamment ciblé l’an dernier des personnalités, pointe Julia Torlet de SOS Homophobie.
europe 1 jean imbert finances insoumis Jean Pormanove
Vos réactions
Ils ont appelé à voter LFI aux dernières élections alors qu'ils se démerdent... En votant LFI, visiblement ils aiment bien les actes anti LGBT ça leur permet d'exister.
Je vis dans un des quartiers les plus populaires de Barcelone,où vit la communauté pakistanaise. Dans ce quartier se côtoient des femmes voilées,des femmes habillées très court,des gays avec beaucoup de couples de mecs qui se promènent main dans la main et....rien. pas de problème,tout le monde se côtoie sans problème et sans haine. Quand j'ai loué mon appartement dans ce quartier, quelques amis Barcelonais ,m'ont dit dans le raval? , c'est mal fame... Ce a quoi je leur ai répondu que j'allais les emmener dans la n quartier populaire français,et qu'ils allaient voir,si des nanas pouvaient d'y promener en mini jupe ou si des couples de mecs pouvaient s'y trimballer main dans la main sans craindre pour leur vie. Et en plus quand je rentre le weekend a 4h pu 5 h le matin,que je voie des jeunes filles, rentrer seules,sans être ni imprtunees ni agressées ,je me dis que j'ai bien fait de quitter la France.
Il y a 10 jours, un photographe professionel chinois à Barcelone a subi une tentative de vol de son matériel photo par un maghrébin multirécidiviste (déjà condamné 9 fois). La victime a maîtrisé l'abruti par une prise d'étranglement pour attendre la police. La police a félicité la victime, et il n'a pas été emmerdé par le procureur ou une association de défense des abrutis voleurs pour sa prise d'étranglement qui a permis la maîtrise complète de l'abruti sans le blesser.
En France ou en Allemagne, la police se serait d'abord jeté sur la victime pour l'empêcher de casser un ongle à l'abruti voleur. Et il aurait été poursuivi par le procureur, pas en Espagne. C'est déjà une différence énorme.
Le lendemain, le même abruti voleur maghrébin déjà relâché était interpellé pour une nouvelle agression au couteau cette fois. On ne les change pas. (info El Caso)
Je vis dans un des quartiers les plus populaires de Barcelone,où vit la communauté pakistanaise. Dans ce quartier se côtoient des femmes voilées,des femmes habillées très court,des gays avec beaucoup de couples de mecs qui se promènent main dans la main et....rien. pas de problème,tout le monde se côtoie sans problème et sans haine. Quand j'ai loué mon appartement dans ce quartier, quelques amis Barcelonais ,m'ont dit dans le raval? , c'est mal fame... Ce a quoi je leur ai répondu que j'allais les emmener dans la n quartier populaire français,et qu'ils allaient voir,si des nanas pouvaient d'y promener en mini jupe ou si des couples de mecs pouvaient s'y trimballer main dans la main sans craindre pour leur vie. Et en plus quand je rentre le weekend a 4h pu 5 h le matin,que je voie des jeunes filles, rentrer seules,sans être ni imprtunees ni agressées ,je me dis que j'ai bien fait de quitter la France.
On fait des statistiques sur ces sujets .....
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