
20h13: Le tribunal de Paris a été évacué ce soir, aux alentours après avoir été la cible d’une alerte à la bombe, a appris Le Figaro de source policière. Magistrats, avocats, greffiers et personnels administratifs se sont rassemblés sur le parvis après que l’alarme d’évacuation a retenti dans tout le tribunal.
L’alerte à la bombe aurait été déclenchée après un appel malveillant qui faisait état d’un engin explosif au rez-de-chaussée du bâtiment.
Les policiers sur place n’ont rien constaté d’anormal lors de leurs vérifications, et aucune explosion a été entendue ou constatée.
17h33: Selon le JDD, un homme de 33 ans a été interpellé à Périgueux (Dordogne), après avoir tenté de pénétrer par effraction dans un bâtiment du ministère de la Justice, abritant des bureaux du Service pénitentiaire d’insertion et de probation (SPIP). Les faits se sont déroulés vers 3h10 du matin, lorsque des riverains ont alerté les forces de l’ordre, inquiets du vacarme provoqué par un individu visiblement déterminé à forcer l’entrée.
16h10: Emmanuel Macron réagit sur X: "Certains cherchent à intimider nos personnels pénitentiaires et s'attaquent avec une violence inadmissible aux établissements. Ils seront retrouvés, jugés et punis.
Notre troisième force de sécurité intérieure accomplit une mission essentielle de défense de l'État de droit et de la paix publique, avec courage et dévouement. Je réaffirme à tous nos agents du ministère de la Justice mon total soutien et celui de la Nation."
13h25: Le préfet de police de Paris réclame une "vigilance renforcée" autour des établissements pénitentiaires d’Ile-de-France. Le préfet demande "d’accroître très sensiblement les rondes et patrouilles dans le cadre d’un dispositif de protection dynamique, avec des passages fréquents et marqués aux abords immédiats des sites pénitentiaires et sur les lieux de stationnement des véhicules des agents", rapporte Le Parisien.
12h32: Selon Le Parisien, un suspect, membre présumé de la chaîne Telegram « DDPF », a été arrêté ce matin en Essonne et placé en garde à vue. Il s’agit d’un homme, détenu sous le régime de la semi-liberté. Une source proche de l’enquête précise à nos confrères qu’"il faut rester prudent, son rôle n’est pas encore clairement établi".
Un groupe revendiquant la « défense des droits des prisonniers français », ou DDPF, sigle retrouvé aux abords de prisons prises pour cibles ces derniers jours, a publié mercredi sur Telegram une vidéo montrant un agent pénitentiaire et un véhicule en feu, accompagnée de menaces.
Sur ce canal, créé le 12 avril, a été publiée mercredi une vidéo de 18 secondes - depuis retirée par la messagerie cryptée -, montrant un agent pénitentiaire en uniforme sortant d’une voiture, une boîte aux lettres avec un zoom sur le nom inscrit dessus, puis un plan d’une voiture.
Elle se termine par un plan de nuit d’une plaque noire portant le sigle « DDPF » avec en arrière fond des flammes dévorant un véhicule.
Sous cette vidéo est publié un extrait d’une interview donnée par ce même agent, présenté comme étant affecté au centre pénitentiaire d’Aix - Luynes 2, avec ce commentaire comportant des fautes d’orthographe : « voiture en feu », puis le nom de l’agent qui « abusent de leur pouvoir ». S’en suit un court texte menaçant les proches de l’agent et enjoignant le personnel à « changer de cap ».
Ces éléments ont été supprimés par Telegram, qui indique dans un communiqué publié à la mi-journée que « la publication d’appels à la violence et de menaces est explicitement interdite par les conditions d’utilisation » et que ses « modérateurs ont supprimé tous les messages concernés immédiatement après avoir été alertés et continuent de surveiller la situation ».
12h25: Le point sur la situation
De nouvelles attaques ont ciblé mercredi l'institution pénitentiaire, avec notamment l'incendie de trois véhicules dans un parking sécurisé de la prison de Tarascon, une tentative de "déstabilisation" dénoncée par le ministre de la Justice Gérald Darmanin.
Ces nouveaux incidents interviennent au lendemain d'attaques coordonnées contre plusieurs établissements pénitentiaires en France, principalement des incendies de véhicules, mais également des tirs à l'arme automatique contre la porte de la prison de Toulon (Var), qui n'ont pas fait de victime.
Vers 05h20 mercredi, trois véhicules ont été incendiés devant la prison de Tarascon (Bouches-du-Rhône), sur un parking "isolé, réservé aux personnels, grillagé et à l'accès sécurisé par un digicode", a indiqué à l'AFP le procureur de la République de Tarascon, Laurent Gumbau.
Un des véhicules appartenait à un agent de la prison en service, un autre à une entreprise intervenant au centre de détention, et le troisième, totalement détruit, n'avait pas encore été identifié, selon le procureur, évoquant au moins deux départs de feu.
A priori aucune inscription n'a été retrouvée sur les lieux, a-t-il précisé.
Lors des attaques recensées depuis dimanche, au cours desquelles au moins 21 véhicules ont été tagués et ou incendiés, selon une source policière, de mystérieuses inscriptions "DDPF", apparemment pour "défense des droits des prisonniers français" ont été retrouvées, ainsi qu'une inscription "DDFM" sur la prison de Toulon. Le parquet national antiterroriste s'est saisi mardi de l'enquête pour tenter d'identifier les auteurs de ces faits.
Par ailleurs, toujours dans le département des Bouches-du-Rhône, un autre véhicule, appartenant à un surveillant de la prison d'Aix-Luynes, a été incendié dans la nuit de mardi à mercredi devant le domicile de celui-ci, a déclaré à l'AFP Jessy Zagari, délégué régional FO Pénitentiaire, syndicat majoritaire dans la région Paca.
Il n'a pas été immédiatement en mesure de préciser dans quelle commune s'était produit cet autre incendie.
"Ce groupe terroriste DDPF identifie et cible les personnels pénitentiaires", s'est-il indigné, dénonçant "des actes de menace et d'intimidation".
Un ciblage que semble confirmer un autre événement recensé mercredi matin, avec des inscriptions "DDPF" retrouvées taguées dans le hall d'immeuble d'une surveillante pénitentiaire en Seine-et-Marne, selon une source policière.
"Il y a manifestement des gens qui essaient de déstabiliser l'Etat en intimidant", a dénoncé de son côté le garde des Sceaux Gérald Darmanin sur CNews, en évoquant l'incident de Tarascon.
Toutefois, "il n'y aurait pas eu de nouvelle nuit bleue comme on l'a vu hier, qui était évidemment absolument inacceptable", a ajouté le ministre, qui s'était rendu mardi après-midi à la prison de Toulon, pour afficher son soutien aux personnels.
M. Darmanin a notamment estimé que ces attaques pourraient être un réplique à son projet de régime de détention spécial pour les plus gros narcotrafiquants du pays, qui doivent être regroupés à l'isolement strict dans des établissement de haute sécurité.
11h01: Emmanuel Baudin, secrétaire général du syndicat FO-Justice, a dénoncé mercredi des vidéos "qui circulent sur Telegram et montrent des agents, des boîtes aux lettres, les surveillants y sont nommément cités et ces vidéos ciblent "plutôt des agents sur la région du Sud", où prospèrent quelques-uns des gros groupes de narcotrafiquants.
Sur ce canal créé le 12 avril a été publié mercredi une vidéo de 18 secondes montre en effet un agent pénitentiaire en uniforme sortant d'une voiture, une boîte aux lettres avec un zoom sur le nom inscrit dessus, puis un plan d'une voiture. Elle se termine par un plan de nuit d'une plaque noire portant le sigle "DDPF" avec en fond des flammes dévorant un véhicule.
Sous cette vidéo est publié un extrait d'une interview donnée par ce même agent, présenté comme affecté au centre pénitentiaire d'Aix-Luynes 2, avec un commentaire comportant des fautes d'orthographe, accusant l'agent d'abus de pouvoir et exhortant le personnel à "changer de cap".
Sur cette chaîne Telegram, le groupe soutient, dans un texte truffé de fautes d'orthographe, qu'il se déploiera "dans toute la France" et affirme: "Nous sommes pas des terroristes", mais "là pour défendre les droits de l'homme à l'intérieur des prisons".
Ces menaces interviennent près d'un an après la mort de deux agents pénitentiaires lors de l'évasion sanglante de Mohamed Amra, mais aussi après plusieurs agressions de surveillants, parfois à leur domicile.
10h43: Par ailleurs, toujours dans le département des Bouches-du-Rhône, un autre véhicule, appartenant à un surveillant de la prison d’Aix-Luynes, a été incendié dans la nuit de mardi à mercredi devant le domicile de celui-ci, a déclaré à l’AFP Jessy Zagari, délégué régional FO Pénitentiaire, syndicat majoritaire dans la région Paca.
Il n’a pas été immédiatement en mesure de préciser dans quelle commune s’était produit cet autre incendie.
« Ce groupe terroriste DDPF identifie et cible les personnels pénitentiaires », s’est-il indigné, dénonçant « des actes de menace et d’intimidation ».
Un ciblage que semble confirmer un autre événement recensé mercredi matin, avec des inscriptions « DDPF » retrouvées taguées dans le hall d’immeuble d’une surveillante pénitentiaire en Seine-et-Marne, selon une source policière.
« Il y a manifestement des gens qui essaient de déstabiliser l’Etat en intimidant », a dénoncé de son côté le garde des Sceaux Gérald Darmanin sur CNews, en évoquant l’incident de Tarascon.
Toutefois, « il n’y aurait pas eu de nouvelle nuit bleue comme on l’a vu hier, qui était évidemment absolument inacceptable », a ajouté le ministre, qui s’était rendu mardi après-midi à la prison de Toulon, saluer les personnels.
Le ministre y avait déjà dénoncé des actes d’intimidation, martelant que l’Etat « ne cèderait pas ».
Il a notamment estimé que ces attaques pourraient être un réplique à son projet de régime de détention spécial pour les plus gros narcotrafiquants du pays, qui doivent être regroupés à l’isolement strict dans des établissement de haute sécurité.
09h22: Le point sur ce que l'on sait ce matin
Trois véhicules appartenant à des personnels pénitentiaires ont été incendiés tôt mercredi devant la prison de Tarascon (Bouches-du-Rhône), au lendemain d’attaques coordonnées contre plusieurs établissements pénitentiaires en France, a indiqué le procureur de la République de la ville.
Les incendies se sont produits vers 05H20 du matin sur un parking « isolé, réservé aux personnels, grillagé et à l’accès sécurisé par un digicode », a indiqué à l’AFP le procureur de Tarascon, Laurent Gumbau. A priori aucune inscription n’a été retrouvée sur les lieux, a-t-il précisé.
Un des véhicules appartenait à un agent de la prison en service, un autre à une entreprise intervenant au centre de détention, et le troisième, totalement détruit, n’avait pas encore été identifié, selon le procureur, qui a précisé qu’il y avait eu au moins deux départs de feu.
Un autre véhicule, appartenant à un surveillant de la prison d’Aix-Luynes, a par ailleurs été incendié dans la nuit devant le domicile de celui-ci, a déclaré à l’AFP Jessy Zagari, délégué régional FO Pénitentiaire, syndicat majoritaire dans la région Paca. Il n’a pas été immédiatement en mesure de préciser dans quelle commune s’était produit cet autre incendie.
Une série d’attaques, parfois accompagnées de mystérieuses inscriptions, a visé depuis dimanche plusieurs établissements pénitentiaires ciblés par des incendies de véhicules et même des tirs contre la porte de la prison de Toulon.
Le parquet national antiterroriste s’est saisi mardi de l’enquête pour tenter d’identifier les auteurs de ces faits.
08h46: « Il y a manifestement des gens qui essayent de déstabiliser l’État, en l’intimidant. C’est une intimidation grave, on essaie de voir si l’État va reculer », dénonce Gérald Darmanin sur CNews. S’il n’exclut « aucune piste », le ministre de la Justice estime à nouveau que ces attaques viseraient la politique menée par le gouvernement contre les narcotrafiquants. À ses yeux, les attaques contre les prisons évoquent « plutôt le mode opératoire de délinquants, parfois jeunes, plutôt que celui de l’extrême gauche ».
Il cible les « réseaux sociaux », responsables à ses yeux de « créer ce genre de moments mimétiques qui visent à faire reculer l’État et à faire peur aux agents pénitentiaires. On ne va pas reculer parce qu’on ne menace par l’État ».
«Il y a des gens qui essaient de déstabiliser l’Etat en l’intimidant», dénonce Gérald Darmanin, ministre de la Justice, à propos des récentes attaques qui ont visé plusieurs prisons en France, dans #LaGrandeInterview pic.twitter.com/Ych1Op39TX
— CNEWS (@CNEWS) April 16, 2025
08h24 : Sur CNews, le Ministre de la Justice, Gérald Darmanin confirme qu'un drone a survolé la prochaine prison de haute sécurité de Vendin-le-Vieil
07h28: Des voitures brûlées cette nuit sur le parking du centre de détention de Tarascon. Trois véhicules ont été incendiés sur le parking du centre de détention de Tarascon (Bouches-du-Rhône) dans la nuit de ce mardi 15 au mercredi 16 avril, a appris BFMTV auprès d'une source policière.
07h22 : Les auteurs des attaques contre les prisons narguent les autorités en diffusant les vidéos de leurs actes sur les réseaux sociaux et en multipliant les menaces contre les surveillants : "Démissionnez car autrement vous allez tous mourir !"
Les messages tagués sur les lieux, notamment l’inscription « DDPF » pour Droit des détenus prisonniers français, orientent les enquêteurs vers une mouvance organisée.
Présenté comme « un mouvement dédié à la défense des droits fondamentaux des prisonniers », un canal Instagram diffuse des messages violents et appelant explicitement à des représailles contre les agents pénitentiaires. L’un d’eux menace directement les équipes de sécurité : « Vous allez tous mourir pour le mal que vous avez fait. » Le canal affiche en image de profil une caricature du ministre Darmanin derrière les barreaux, et affirme : « L’heure est grave. Nous entrons dans une ère dangereuse.»
Prisons attaquées : les auteurs diffusent des vidéos de leurs méfaits #ddpfhttps://t.co/tmbtv3WE6g pic.twitter.com/FuZFA1q3BG
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) April 15, 2025
06h30 : Les images de vidéosurveillance ont permis de voir que les deux auteurs ont pénétré dans l'enceinte en passant par une butte de terre, incendiant chacun un véhicule, le troisième ayant été atteint par propagation. Selon une autre source policière, les établissements de Nanterre (Hauts-de-Seine), Aix-Luynes (Bouches-du-Rhône) et Valence (Drôme) ont aussi été touchés par des incendies de véhicules, dont certains avaient préalablement été tagués avec la mention DDPF pour "droit des prisonniers français".
Au centre pénitentiaire d'Aix-Luynes, la porte de la base du Pôle de rattachement des extractions judiciaires et de l'Équipe régionale d'intervention et de sécurité (PREJ-ERIS) a été incendiée, a déclaré une source proche du dossier.
À celui de Toulon-La Farlède (Var), plusieurs personnes venues en véhicule ont tiré à l'arme lourde sur la porte de l'établissement, vers 0 h 40, selon le procureur de Toulon, Samuel Finielz.
Un grand sigle rouge orangé comportant cette fois-ci les mystérieuses lettres "DDFM" a été inscrit sur la porte grise par laquelle entrent et sortent les fourgons pénitentiaires, a constaté un journaliste de l'AFP.
Dans la nuit de lundi à mardi, à Marseille, des véhicules ont été tagués et un incendié près des locaux de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ), sur le parking d'une résidence de logements sociaux occupés par de nombreux agents de l'administration pénitentiaire.
"C'est une honte absolue. Je réaffirme mon soutien aux agents pénitentiaires pour leur courage", a écrit sur le réseau social X la présidente du département des Bouches-du-Rhône, Martine Vassal, en postant une photo de véhicules tagués.
Vos réactions
Ça donne quoi un juge rouge clignotant qui marche dans sa propre merde ?
la bombe, c’était kelly vedovelli ??
Ho oui, Macron il va taper, avec ses petites mains !
Il va taper, taper, et taper encore.
En griffant !
En tirant les cheveux !
Tu as oublié les gros yeux.
En premier il fait les gros yeux, ensuite il dit "calmez vous sinon..." et en dernier il tape avec ses petites mains.
Ho oui, Macron il va taper, avec ses petites mains !
Il va taper, taper, et taper encore.
En griffant !
En tirant les cheveux !
Haha mort de rire
Il a oublié « Je condamne fermement »
déjà il faut enlever la tv, les tablettes, les journées kart, c'est pas le club Med.
la gauche a détruit et Taubira a détruit la sanction
Ho oui, Macron il va taper, avec ses petites mains !
Il va taper, taper, et taper encore.
En griffant !
En tirant les cheveux !
Des promesses , des promesses qui ne seront pas tenues , c'est une habitude : ca parle beaucoup et même trop et ca n'agit pas.....Quelle boulet pour notre pays , vivement 2027....
Comme cela semble en soutien des prisonniers la meilleure réponse serait d'agir sur ces prisonniers car eux on les a tous sous la main.
Je propose de couper l'électricité dans toutes les cellules de France pendant 2 mois. Fini la télé, la PlayStation le chargeur de téléphone, le frigo... Je parie que les caïds en cellule arriveront à faire passer le message d'arrêter les idioties dehors.
Merci poutine.
La déstabilisation de l’état est provoquée par la politique immigrationiste de nos dirigeants successifs. Il ne fallait pas être grand clair pour imaginer le résultat de cette politique désastreuse pratiquée entre autre par Gérald Darmanin. Dieu se rit des créatures qui déplorent les effets dont elles chérissent les causes.
On va vers la situation à la mexicaine avec les cartels qui font la loi ! L'Algérie se moque de nous ouvertement, mais Macron dépense des dizaines de milliards contre une menace russe qui n'existe pas.
Les voyous devraient se méfier, car à force, au lieu de construire des prisons on va construire des guillotines. ca coute moins cher et c’est plus facile à construire
Maintenant, ces voyous décérébrés n'ont même plus la patience d'attendre la nuit du Réveillon de l'An pour pratiquer leur passion de brûlage de voitures. C'est n'importe quand qu'ils s'amusent à détruire la propriété de gens qui n'ont rien demandé. A quand enfin une réponse ferme et exemplaire de l'Etat et de ses responsables, qui sont pour le moment incompétents et incapables de mater sévèrement ces "jeunes" (s'il-vous-plaît, n'employons plus ce terme qui tend presque à les rendre sympathiques ou innocents, ce sont juste des vauriens pas éduqués qui n'en ont rien à foutre de la Société dans laquelle ils vivent).
mais putain, envoyez l'armée avec tir a balle réel. ce n'est quand même pas compliqué
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