14/04 16:08

Expulsion : Alger a demandé à 12 agents de l'ambassade de France de quitter le territoire algérien dans les 48h - Jean-Noël Barrot : "Je demande à l'Algérie de revenir sur sa décision"

16h06: Le ton est remonté d'un cran lundi entre la France et l'Algérie avec l'annonce, par Paris, de la décision des autorités algériennes d'expulser douze fonctionnaires français, au risque de représailles.

Toutefois, en dépit de ces nouvelles tensions, "les contacts sont maintenus" et Paris souhaite "revenir à l'apaisement" avec l'Algérie, assurent des sources diplomatiques françaises.

Alger a demandé à ces agents de quitter son territoire, a fait savoir lundi le ministre français des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot, précisant que cette décision était une réponse à l'arrestation de trois ressortissants algériens en France.

Parmi les douze agents, certains sont fonctionnaires du ministère de l'Intérieur, a précisé à l'AFP une source diplomatique.

Vendredi, trois hommes, dont l'un employé de l'un des consulats d'Algérie en France, ont été mis en examen (inculpés) à Paris notamment pour arrestation, enlèvement, séquestration ou détention arbitraire, en relation avec une entreprise terroriste, selon le parquet national antiterroriste (Pnat) français.

Dans cette affaire qui concerne l'opposant au régime algérien exilé Amir Boukhors, un influenceur surnommé Amir DZ, ces hommes sont aussi poursuivis pour association de malfaiteurs terroriste criminelle. Ils ont été placés en détention provisoire.

Dès samedi, le ministère algérien des Affaires étrangères avait dénoncé "l'argumentaire vermoulu et farfelu" du ministère de l'Intérieur français, fustigeant une "cabale judiciaire inadmissible" reposant "sur le seul fait que le téléphone mobile de l'agent consulaire inculpé aurait borné autour de l'adresse du domicile de l'énergumène" Amir Boukhors.

"Ce nouveau développement inadmissible et inqualifiable causera un grand dommage aux relations algéro-françaises", a prévenu le ministère.

Cet influenceur algérien, qui vit depuis 2016 en France, y a obtenu l'asile politique en 2023. Son pays le réclame pour le juger.

Alger a émis neuf mandats d'arrêt internationaux à son encontre, l'accusant d'escroquerie et d'infractions terroristes. En 2022, la justice française a refusé son extradition.

Âgé de 41 ans et suivi par plus d'un million d'abonnés sur TikTok, Amir DZ a été la cible "de deux agressions graves, une en 2022 et une autre dans la soirée du 29 avril 2024", le jour de son enlèvement en banlieue sud de Paris, avant d'être relâché le lendemain, selon son avocat Eric Plouvier.

Réagissant à l'expulsion annoncée d'employés de l'ambassade de France à Alger, en guise de rétorsion, Jean-Noël Barrot a demandé lundi aux autorités algériennes de "renoncer à ces mesures d'expulsion sans lien avec la procédure judiciaire en cours".

"Si la décision de renvoyer nos agents était maintenue, nous n'aurons d'autre choix que d'y répondre immédiatement", a-t-il averti.

Ces échanges tendus des derniers jours contrastent avec la volonté affichée tout récemment des deux pays de relancer leur relation bilatérale tumultueuse.

Début avril, le ministre des Affaires étrangères s'était entretenu avec son homologue Ahmed Attaf et avec le président algérien Abdelmadjid Tebboune, pour faire part du souhait de la France de "tourner la page des tensions actuelles" depuis Alger.

Quelques jours auparavant, Emmanuel Macron et Abdelmadjid Tebboune s'étaient entretenus par téléphone et avaient exprimé leur volonté de "renouer le dialogue".

Le président du Rassemblement national (RN, extrême droite) Jordan Bardella a réagi à la nouvelle poussée de tension en fustigeant sur X "les brillants résultats de la stratégie de l'apaisement d'Emmanuel Macron".

Le député de droite Laurent Wauquiez a dénoncé quant à lui "une nouvelle humiliation" et exigé que "le gouvernement défende l'honneur de la France et force l'Algérie à reprendre enfin tous ses OQTF", les personnes sous obligation de quitter le territoire français.

La crise entre Paris et Alger a démarré fin juillet 2024 lorsque le président français a apporté son soutien total à un plan d'autonomie sous souveraineté marocaine pour le Sahara occidental, revendiqué depuis 50 ans par les indépendantistes du Polisario soutenus par Alger. L'Algérie avait immédiatement retiré son ambassadeur à Paris.

Puis, les tensions avaient été aggravées par "une série d'irritants", dont la question migratoire et l'arrestation de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal.

"L'enlèvement est avéré y compris par un individu qui travaille à Créteil (en région parisienne, ndlr) au consulat général d'Algérie", a commenté dimanche le ministre français de l'Intérieur, Bruno Retailleau.

Il s'est en revanche montré prudent sur une éventuelle ingérence des autorités algériennes. "Le lien avec le pays n'est pas avéré", a-t-il dit, tout en soulignant qu'en tant que "pays souverain", "nous entendons que sur le sol français nos règles soient respectées".

Ce dernier se trouve lundi à Rabat, où il doit évoquer avec son homologue marocain leur coopération mutuelle face à la criminalité organisée ainsi que la question des laissez-passer consulaires.

11h12: Depuis des décennies, cette relation est marquée par des soubresauts diplomatiques. Pourtant, le ministre des Affaires étrangères s’était entretenu début avril avec son homologue Ahmed Attaf et avec le président algérien Abdelmadjid Tebboune, pour faire part du souhait de la France de « tourner la page des tensions actuelles » depuis Alger.

Quelques jours auparavant, Emmanuel Macron et Abdelmadjid Tebboune avaient dépêché leurs ministres des Affaires étrangères pour clore une crise qui aura duré huit mois jour pour jour et avait précipité les deux pays près de la rupture diplomatique. Celle-ci avait démarré fin juillet 2024 lorsque le président français avait apporté son soutien total à un plan d’autonomie sous souveraineté marocaine pour le Sahara occidental, revendiqué depuis 50 ans par les indépendantistes du Polisario soutenus par Alger.

L’Algérie avait immédiatement retiré son ambassadeur à Paris. Puis, les tensions avaient été aggravées par « une série d’irritants », dont la question migratoire et l’arrestation de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal.

S’agissant de l’arrestation et la mise en examen d’un agent consulaire algérien, le ministère des Affaires étrangères avait dès samedi protesté auprès de l’ambassadeur français Stéphane Romatet, reprochant notamment l’absence de « notification par le canal diplomatique ». « L’enlèvement est avéré y compris par un individu qui travaille à Créteil (en région parisienne, ndlr) au consulat général d’Algérie », a commenté dimanche le ministre français de l’Intérieur, Bruno Retailleau.

Il s’est en revanche montré prudent sur une éventuelle ingérence des autorités algériennes. « Le lien avec le pays n’est pas avéré », a-t-il dit, tout en soulignant qu’en tant que « pays souverain », « nous entendons que sur le sol français nos règles soient respectées ».

Selon l’Intérieur, ce dernier se trouve lundi à Rabat, où il doit évoquer avec son homologue marocain leur coopération mutuelle face à la criminalité organisée ainsi que la question des laissez-passer consulaires, les relations étant désormais apaisées entre les deux pays.

10h14: Le point sur ce que l'on sait ce matin

Le ton est remonté d’un cran lundi entre la France et l’Algérie avec l’annonce, par Paris, de la décision des autorités algériennes d’expulser douze fonctionnaires français et la menace de représailles si Alger la maintenait.

L’Algérie a demandé à ces agents de quitter son territoire, a fait savoir lundi le ministre français des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot, précisant que cette décision était une réponse à l’arrestation de trois ressortissants algériens en France.

Parmi les douze agents, certains sont fonctionnaires du ministère de l’Intérieur, a précisé à l’AFP une source diplomatique.

Vendredi, trois hommes, dont l’un employé de l’un des consulats d’Algérie en France, ont été mis en examen (inculpés) à Paris notamment pour arrestation, enlèvement, séquestration ou détention arbitraire, en relation avec une entreprise terroriste, selon le parquet national antiterroriste (Pnat) français.

Dans cette affaire qui concerne l’opposant au régime algérien exilé Amir Boukhors, un influenceur surnommé Amir DZ, ces hommes sont aussi poursuivis pour association de malfaiteurs terroriste criminelle. Ils ont été placés en détention provisoire.

Dès samedi, le ministère algérien des Affaires étrangères avait dénoncé « l’argumentaire vermoulu et farfelu » du ministère de l’Intérieur français, fustigeant une « cabale judiciaire inadmissible » reposant « sur le seul fait que le téléphone mobile de l’agent consulaire inculpé aurait borné autour de l’adresse du domicile de l’énergumène » Amir Boukhors.

« Ce nouveau développement inadmissible et inqualifiable causera un grand dommage aux relations algéro-françaises », a prévenu le ministère.

Cet influenceur algérien, qui vit depuis 2016 en France, y a obtenu l’asile politique en 2023. Son pays le réclame pour le juger.

Alger a émis neuf mandats d’arrêt internationaux à son encontre, l’accusant d’escroquerie et d’infractions terroristes. En 2022, la justice française a refusé son extradition.

Âgé de 41 ans et suivi par plus d’un million d’abonnés sur TikTok, Amir DZ a été la cible « de deux agressions graves, une en 2022 et une autre dans la soirée du 29 avril 2024 », le jour de son enlèvement en banlieue sud de Paris, avant d’être relâché le lendemain, selon son avocat Eric Plouvier.

Réagissant à l’expulsion annoncée d’employés de l’ambassade de France à Alger, en guise de rétorsion, Jean-Noël Barrot a demandé lundi aux autorités algériennes de « renoncer à ces mesures d’expulsion sans lien avec la procédure judiciaire en cours ».

« Si la décision de renvoyer nos agents était maintenue, nous n’aurons d’autre choix que d’y répondre immédiatement », a-t-il averti.

Ces échanges tendus des derniers jours contrastent avec la volonté affichée tout récemment des deux pays de relancer leur relation bilatérale, qui se heurte à la difficulté de tisser des liens apaisés durablement.

Depuis des décennies, cette relation est marquée par des soubresauts diplomatiques.

Pourtant, le ministre des Affaires étrangères s’était entretenu début avril avec son homologue Ahmed Attaf et avec le président algérien Abdelmadjid Tebboune, pour faire part du souhait de la France de « tourner la page des tensions actuelles » depuis Alger.

09h01: L'Algérie a demandé l'expulsion de 12 agents de l'ambassade de France, du personnel qui relève du ministère français de l'Intérieur. Les agents concernés ont 48 heures pour quitter le territoire algérien, selon le ministre des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot. Le chef de la diplomatie a affirmé que la France était prête à des représailles immédiates si Alger expulsait ses agents.

"Je demande aux autorités algériennes de renoncer à ces mesures d'expulsion sans lien avec la procédure judiciaire en cours", a dit Jean-Noël Barrot dans une déclaration écrite transmise à des journalistes. "Si la décision de renvoyer nos agents était maintenue, nous n'aurons d'autre choix que d'y répondre immédiatement", a-t-il averti.

Selon le ministre, cette expulsion constitue une riposte à la mise en examen de trois ressortissants algériens, dont un agent consulaire, soupçonnés d’être impliqués dans l’enlèvement de l’influenceur Amir Boukhors sur le territoire français en avril 2024.

Vendredi 11 avril, trois hommes, dont l'un employé dans l'un des consulats d'Algérie en France, ont été mis en examen à Paris pour arrestation, enlèvement, séquestration ou détention arbitraire suivie de libération avant le 7e jour, en relation avec une entreprise terroriste, selon le parquet national antiterroriste (Pnat) français.

Dans cette affaire qui concerne l'opposant au régime algérien Amir Boukhors, influenceur surnommé Amir DZ, ces hommes sont aussi poursuivis pour association de malfaiteurs terroriste criminelle. Ils ont été placés en détention provisoire.

Le ministère algérien des Affaires étrangères avait tonné samedi soir contre "ce nouveau développement inadmissible et inqualifiable (qui) causera un grand dommage aux relations algéro-françaises".

Ces propos contrastaient avec l'annonce, la semaine dernière par le ministre français des Affaires étrangères, d'"une nouvelle phase" pour les relations entre Paris et Alger, à l'issue d'un entretien avec son homologue Ahmed Attaf et surtout avec le président algérien Abdelmadjid Tebboune.

08h05: La réponse de l'Algérie est "injustifiée au fond et sans aucun rapport avec les faits" dont sont soupçonnées les trois personnes arrêtées, estime Jean-Noël Barrot. "Nous avons décidé ensemble, avec le gouvernement algérien, de retisser le fil du dialogue au service de nos deux pays. Je demande aux autorités algériennes de renoncer à ces mesures d'expulsion sans lien avec la procédure judiciaire en cours", exhorte-t-il, menaçant de "répondre immédiatement" à cette décision si elle est maintenue. 

L'Algérie avait vivement protesté samedi la mise en examen de son agent consulaire, qualifiant l'argumentaire du ministère de l'Intérieur de "vermoulu et farfelu". "Ce nouveau développement inadmissible et inqualifiable causera un grand dommage aux relations algéro-françaises" avait prévenu le ministère algérien des Affaires étrangères, après avoir reçu l'ambassadeur français en Algérie.

07h51: Les autorités algériennes ont demandé à douze agents de l'ambassade de France de quitter le territoire, a annoncé lundi le chef de la diplomatie française, précisant que cette décision était une réponse à l'arrestation de trois ressortissants algériens en France.

07h46: Alger a demandé à 12 agents de l'ambassade de France de quitter le territoire algérien dans les prochaines 48 heures. Une annonce à laquelle Paris a répondu, s'estimant prête à des représailles immédiates en cas d'expulsion de ses agents.

Ça peut vous interesser

Ailleurs sur le web

Vos réactions

Portrait de Momo-sapiens
14/avril/2025 - 19h19

L'algérie n'a aucun avenir. L'indépendance de la kabylie est inévitable.

Portrait de bruno.13
14/avril/2025 - 18h47

Il y a 18 consulats algériens donc 5 consulats généraux en France. Si l'Algérie expulse les agents consulaires français, qu'on fasse de même et qu'en plus, nous fermions quelques uns de ces consulats. Rien qu'en région parisienne, il y en à 4  : Bobigny, Créteil, Nanterre et Pontoise. C'est beaucoup! 

Portrait de LOÏC33
14/avril/2025 - 15h39 - depuis l'application mobile

J'espère que les charters sont alignés et prêts pour embarquer tous les algériens qui nous encombrent, bon voyage !

Portrait de Koikilencoute_2027
14/avril/2025 - 13h52
8Gako8 a écrit :

et surtout, n'oublie pas qu'il veut faire la guerre contre la Russie smiley smiley smiley smiley

Et oui, il part en guerre contre la Russie (qui ne menace pas la France) mais il est incapable d'expulser les délinquants étrangers de notre propre sol.

Vivement Zemmour en 2027. Et ne comptez pas sur LePen/Bardella, c'est du bluff.

Portrait de Koikilencoute_2027
14/avril/2025 - 13h47
LoupLoup a écrit :

Solution :

Ramener tous les OQTF sur leurs plages. Interdiction à vie de ces OQTF de remettre le pied sur notre territoire sous peine d’exécution immédiate (blablabla peine de mort... que des baltringues nos politiciens. Le monde a changé).

Ils n'acceptent pas ces conditions ? Déplacement du Charles de Gaulle et d'autres navires Français près de leurs côtes.

Ils ne veulent toujours pas ? Bombardement de leurs sites armées + tout ce qui touche leur Roi.

 

Marre de baisser la culotte. On est gentil de base. Mais quand on commence à nous emmerder comme ils nous chient à la gueule, va falloir sortir les crocs.. Mais on est dirigé par des baltringues.

Ces gens là n'aiment pas la France, ni notre mode de vie. Qu'est-ce qu'on s'emmerde avec eux ?

J'ai une autre idée plus pacifiste (que j'ai déjà envoyée à Reconquête!) : une remigration pas la mer, avec des péniches entièrement automatisées (radioguidées) qui font la navette sur la Méditerranée. Ça évite de mettre en danger du personnel navigant à bord.

Portrait de babaorohm
14/avril/2025 - 13h01
Momodur a écrit :

Colonisation de l'Algérie en septembre 1848, l'Algérie est libre et décolonisée en Septembre 1962. 114 ans de colonisation et 63 ans de liberté dé colonisée ...On va devoir encore payer pendant 51 ans pour égaliser peut- être, c'est çà le truc !!

 

 

Et c'est quand qu'ils remboursent les sacs et kidnapping qu'ils ont fait pendant 2000 ans avant la colonisation?

Portrait de LoupLoup
14/avril/2025 - 12h23

Solution :

Ramener tous les OQTF sur leurs plages. Interdiction à vie de ces OQTF de remettre le pied sur notre territoire sous peine d’exécution immédiate (blablabla peine de mort... que des baltringues nos politiciens. Le monde a changé).

Ils n'acceptent pas ces conditions ? Déplacement du Charles de Gaulle et d'autres navires Français près de leurs côtes.

Ils ne veulent toujours pas ? Bombardement de leurs sites armées + tout ce qui touche leur Roi.

 

Marre de baisser la culotte. On est gentil de base. Mais quand on commence à nous emmerder comme ils nous chient à la gueule, va falloir sortir les crocs.. Mais on est dirigé par des baltringues.

Ces gens là n'aiment pas la France, ni notre mode de vie. Qu'est-ce qu'on s'emmerde avec eux ?

Portrait de Lotus14
14/avril/2025 - 11h16
Fpt01 a écrit :

Et oui, on en est là mais on le savait déjà que Macron allait se faire enfumer. Qu’il laisse les mains libres à Retailleau et on verra si lui aussi fait vraiment ce qu’il dit

Malgré son intelligence Mr  Macron n'est pas un politique  et il nous a amené à la catastrophe depuis 2017

Portrait de 8Gako8
14/avril/2025 - 10h57
Fpt01 a écrit :

Et oui, on en est là mais on le savait déjà que Macron allait se faire enfumer. Qu’il laisse les mains libres à Retailleau et on verra si lui aussi fait vraiment ce qu’il dit

et surtout, n'oublie pas qu'il veut faire la guerre contre la Russie smiley smiley smiley smiley

Portrait de PhilRAI
14/avril/2025 - 10h33

Bon sang, combien de temps va-t-on encore se laisser humilier par l'Algérie ? Il est temps de riposter sérieusement.

Portrait de griffin
14/avril/2025 - 09h38

On leur en renvoie 12 OQTF 

Portrait de babaorohm
14/avril/2025 - 09h33
Fpt01 a écrit :

Et oui, on en est là mais on le savait déjà que Macron allait se faire enfumer. Qu’il laisse les mains libres à Retailleau et on verra si lui aussi fait vraiment ce qu’il dit

Macron est un faible avec son en-même-temps. Et on baisse partout.

Je ne comprends pas pourquoi on nous l'envirait comme c'est marqué dans certains journaux.

Portrait de Fpt01
14/avril/2025 - 09h02 - depuis l'application mobile

Et oui, on en est là mais on le savait déjà que Macron allait se faire enfumer. Qu’il laisse les mains libres à Retailleau et on verra si lui aussi fait vraiment ce qu’il dit

Portrait de Lotus14
14/avril/2025 - 09h01

Pourtant notre Président Macron était confiant  ......... Elle est belle notre France  .... de pire en pire !!!!!

 

Portrait de 8Gako8
14/avril/2025 - 08h50

comment l'Algérie chie sur la France sans pression smiley smiley smiley

Portrait de Yeto
14/avril/2025 - 08h35

Macron ne l'a pas serré assez fort dans ces bras le Président algérien.... Jusqu'à quand allons-nous nous faire insulter par ces gens ?

Portrait de MICMAH458
14/avril/2025 - 10h43

C'est toute la différence entre un Etat fort (l'Algérie) et un Etat faible (nous).  Le gouvernement algérien fixe un délai de 48hrs pour que des agents français quittent le territoire, alors que bayrou, dans sa grande mansuétude, réfléchit d'abord longuement, puis finalement donne 6 semaines pour que les algériens aient la gentillesse de bien vouloir reprendre, avec tous les égards et la déférence qui leur sont dus et afin d'éviter de vexer l'Algérie, un tas de ressortissants de leur pays qui ont foutu la merde sur le sol français.  On voit bien ainsi qui donne les ordres et qui se met à genoux, le pantalon aux chevilles.  Et ce que demande l'incompétent et très mou ministre barrot, je pense bien que le gouvernement algérien s'en tape joyeusement le coquillard, pour rester poli.

L'algérie a déployé le tapis islamiste sur notre territoire, et son gouvernement s'en sert pour essuyer ses babouches.  Et finalement il a bien raison, puisqu'on se laisse faire il pense qu'on aime ça...

Portrait de Touché01
14/avril/2025 - 08h14

Fermons l'ambassade ainsi que tous les consulats d'Algérie en France. Dans la foulée dénonçons et déchirons l'accord franco-algérien de 1968.

Cherchons un pays qui accueillerait tous les OQTF algériens. L'Ukraine par exemple en aurait peut-être l'utilité...

Portrait de kylun2004
14/avril/2025 - 07h57

le conflits ukrainien pour lequel macron essaye de nous envoyer en guerre n'est que des broutilles par rapport a ce qui se prépare avec l'islam.