
18h20: Apple chute de près de 10% à la Bourse de Paris ! L'entreprise américaine, dépend fortement d’une chaîne d’approvisionnement mondiale pour la fabrication de ses produits. En conséquence, l’action de la firme technologique subit particulièrement les nouvelles taxes annoncées hier, entraînant une chute de près de 10 % à l’ouverture du marché aujourd’hui, un coup sévère pour Apple.
L’action AAPL en forte baisse alors que les craintes de taxes s’intensifient Apple a depuis des années enregistré une augmentation constante de ses revenus tirés des services, mais au fond, l’entreprise reste financièrement très dépendante de son matériel.
L’iPhone, l’iPad, le Mac, l’Apple Watch, les AirPods et d’autres produits à succès sont conçus par Apple en Californie, mais principalement fabriqués à l’étranger.
16h57: La présidente mexicaine, Claudia Sheinbaum, juge que la décision de Donald Trump de ne pas appliquer de droits de douane réciproques avec le Mexique est quelque chose de "bon" pour son pays.
16h50: A l’Elysée, lors de la réunion avec des représentants des filières touchées par les droits de douane américains, Emmanuel Macron a estimé que les annonces de Donald Trump étaient un « choc pour le commerce international », dénonçant « une décision brutale et infondée », « parce qu’on ne corrige pas des déséquilibres commerciaux en mettant des tarifs » douaniers.
La liste des surtaxes annoncées mercredi par le président américain est « inquiétante », a noté le chef de l’Etat français, citant notamment les « tarifs exorbitants » appliqués à certains territoires ultramarins comme La Réunion ou Saint-Pierre-et-Miquelon. « Cette décision va toucher tous les secteurs pour nos économies », a encore anticipé Emmanuel Macron, détaillant « 20 % de tarifs pour tous les secteurs, sauf l’aluminium, l’acier et l’automobile, qui sont déjà à 25 % », et « au moins 25 % pour les secteurs pharmaceutique, du bois et des conducteurs ».
Emmanuel Macron a également assuré que « l’ampleur et le caractère négatif [des nouveaux tarifs douaniers toucheront] avant tout l’économie américaine ». « L’économie et les Américains, qu’il s’agisse des entreprises ou des citoyens, sortiront plus faibles et plus pauvres. » Au niveau européen (taxé à 20 %, selon les annonces de Donald Trump), « riposte, il y aura », a confirmé M. Macron. Une première phase interviendra à la mi-mai en réponse aux taxes déjà décidées, à savoir celles sur l’acier et l’aluminium. Une seconde apportera à la fin du mois une réponse européenne, « plus massive » et « secteur par secteur », aux tarifs douaniers annoncés mercredi. Le chef de l’Etat français a également appelé les Européens à « rester unis », mettant en garde contre la tentation des plus grandes puissances de « jouer solo ».
Emmanuel Macron a également appelé à suspendre les investissements aux Etats-Unis en attendant une clarification. « On n’est pas naïfs, donc on va se protéger », a poursuivi le président, estimant « important que les investissements à venir, ou annoncés ces dernières semaines, soient, un temps, suspendus, tant qu’on n’a pas clarifié les choses avec les Etats-Unis ». « Quel serait le message d’avoir des grands acteurs européens qui se mettent à investir des milliards d’euros dans l’économie américaine au moment où ils sont en train de nous taper », a encore interrogé M. Macron.
15h24: Le gouvernement britannique assure jeudi que le Royaume-Uni est dans une position « relativement meilleure » que l'UE après l'annonce des droits de douane de Donald Trump mercredi, même si le Premier ministre Keir Starmer prévient que ceux-ci auront clairement « un impact économique ».
« Il est clair que les décisions prises par les États-Unis auront un impact économique, tant au niveau national que mondial », a déclaré jeudi le matin le Premier ministre britannique Keir Starmer lors d'une rencontre avec des chefs d'entreprises à Downing Street.
Mais Londres « reconnaît que les annonces du président (américain Donald Trump mercredi) soir placent le Royaume-Uni dans une position relativement meilleure que, par exemple, l'UE », avait indiqué un peu plus tôt sur Sky news le ministre britannique du Commerce, Jonathan Reynolds.
Londres a été relativement épargné par M. Trump, avec des droits de douane de 10%, le niveau le plus faible annoncé, notamment en comparaison de l'Union européenne (20%) ou de la Chine (34%).
« Mais soyons clairs: toute imposition de barrières commerciales, de droits de douane en l'occurrence, entre le Royaume-Uni et un marché majeur comme les États-Unis, est décevante », a ajouté M. Reynolds.
Le Royaume-Uni compte toujours conclure un accord avec les Etats-Unis pour « atténuer » l'impact des droits de douane de Donald Trump et n'entend pas riposter immédiatement, avait déjà assuré M. Reynolds tard mercredi soir.
Le Royaume-Uni négocie depuis plusieurs semaines avec les Etats-Unis un accord économique aux contenus encore flous.
L'idée d'une telle négociation, rendue possible par le Brexit, remonte à la visite fin février à Washington du Premier ministre travailliste Keir Starmer, lors de laquelle Donald Trump avait évoqué un accord « dans lequel les droits de douane ne seraient pas nécessaires ».
Les deux dirigeants entretiennent des relations cordiales depuis le retour au pouvoir de l'Américain, que le gouvernement britannique a toujours pris soin d'épargner dans ses commentaires.
Les États-Unis, avec qui la balance commerciale est à peu près équilibrée, sont le deuxième partenaire commercial de Londres, loin derrière l'Union européenne.
Le lobby des industries manufacturières Make UK a dénoncé mercredi soir dans un communiqué une annonce « dévastatrice », qui « détruira des décennies de chaînes d'approvisionnement intégrées reliant le Royaume-Uni aux États-Unis par l'intermédiaire d'autres partenaires commerciaux ».
12h25: Soucieuse d’éviter une guerre commerciale aux « conséquences désastreuses », l’Union européenne a tendu la main à Donald Trump pour qu’il renonce aux droits de douane, tout en menaçant de s’en prendre aux géants de la tech.
Les Vingt-Sept envisagent « d’attaquer les services numériques » américains, a affirmé la porte-parole du gouvernement français, Sophie Primas. « Tout est sur la table », a confirmé à Berlin le vice-chancelier allemand Robert Habeck.
Mais, en montrant les muscles, les Européens espèrent surtout pousser l’administration américaine à négocier, confiants dans la force de dissuasion que représente leur marché intérieur de 450 millions de consommateurs.
Les nouvelles taxes annoncées par le président américain sont « un coup dur » pour l’économie mondiale, a souligné la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, en regrettant « profondément » cette décision.
« Les conséquences seront désastreuses pour des millions de personnes dans le monde », a-t-elle averti, depuis Samarcande, en Ouzbékistan, où elle participe à un sommet Union européenne-Asie centrale.
« Des millions de citoyens devront faire face à des coûts plus élevés pour l’alimentation. L’inflation augmentera », a expliqué la présidente de l’exécutif européen, chargée de mettre en oeuvre la politique commerciale de l’UE au nom des 27 pays membres.
11h27: Emmanuel Macron réunit à l'Elysée jeudi, à 16H00, "les représentants des filières impactées par les mesures tarifaires annoncées par les États-Unis", a fait savoir la présidence de la République.
Le président américain, Donald Trump, a signé mercredi un décret généralisant des droits de douane très lourds, de 10% minimum sur toutes les importations arrivant aux Etats-Unis et de 20% pour les produits arrivant de l'Union européenne.
Selon la liste des invités obtenue par l'AFP, plusieurs représentants des secteurs les plus exportateurs seront représentés. Le Premier ministre, François Bayrou, et plusieurs ministres seront aussi présents.
Pour l'aéronautique, qui représente un quart des exportations françaises vers les Etats-Unis, sera convié Guillaume Faury, le patron d'Airbus et président du Groupement des industries françaises aéronautiques et spatiales (Gifas).
L'industrie et la chimie seront représentées par la patronne d'Eramet Christel Bories, Frédéric Sanchez de groupe Fives, Alexandre Saubot de l'organisation professionnelle France Industrie et le président de France Chimie Frédéric Gauchet.
Pour l'agriculture et la viticulture, seront présents Dominique Chargé, président de La Coopération agricole, Jean-François Loiseau, président de l'Association nationale des industries alimentaires (Ania) et Gabriel Picard de la Fédération des exportateurs de vins et spiritueux (FEVS).
Le secteur automobile, qui sera touché par une surtaxe spécifique de 25% sur les voitures importées, sera représenté par Luc Chatel, président la Plateforme automobile (PFA). La pharmacie sera représentée par Emmanuelle Valentin de Sanofi France.
Seront également conviés le directeur des Galeries Lafayette Nicolas Houzé, le secrétaire général du numéro un mondial du luxe LVMH Marc-Antoine Jamet et le délégué général de la Fédération des Entreprises de la Beauté (FEBEA) Emmanuel Guichard.
Les organisations patronales seront également représentées, avec Patrick Martin du Medef, Patricia Barbizet de l'Association française des entreprises privées (Afep), Amir Reza-Tofighi de la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) et Frédéric Coirier du Mouvement des Entreprises de Taille Intermédiaire (METI).
10h09: Le point sur ce que l'on sait ce matin
Les partenaires commerciaux des Etats-Unis menacent de riposter tout en privilégiant le dialogue jeudi, au lendemain de l’offensive commerciale massive lancée par Donald Trump qui faisait plonger les marchés mondiaux et craindre de lourdes conséquences sur l’économie mondiale.
Après les annonces du président américain présentées comme une « déclaration d’indépendance économique », la planète financière accuse le coup: en Asie, la Bourse de Tokyo a chuté de près de 3% en clôture pendant qu’en Europe Francfort perdait 2,45% à l’ouverture, Paris 2,15% et Londres 1,44%.
« Notre pays a été pillé, saccagé, violé et dévasté par des nations proches et lointaines, des alliés comme des ennemis », a asséné Donald Trump, avant d’exhiber une liste des partenaires commerciaux concernés.
L’offensive protectionniste de la Maison Blanche, sans équivalent depuis les années 1930, passe par un droit de douane plancher supplémentaire de 10% sur toutes les importations et par des majorations pour les pays jugés particulièrement hostiles en matière commerciale.
L’addition est astronomique pour la Chine, dont les produits feront l’objet d’une nouvelle taxe à l’importation de 34% s’ajoutant aux 20% de droits de douane additionnels déjà en place par.
Les marchandises de l’UE prendront 20% de taxes. Les taux ont été fixés à 24% pour le Japon, 26% pour l’Inde ou 46% pour le Vietnam.
La taxe généralisée de 10% entrera en vigueur le 5 avril à 04H01 GMT et les droits de douane majorés le 9 avril.
10h08: La hausse des droits de douane annoncée mercredi par Donald Trump est une « immense difficulté » pour l’Europe et une « catastrophe » pour les Etats-Unis, a estimé jeudi le Premier ministre français François Bayrou, en accusant le président américain de se « retourne(r) contre ses alliés ».
« Cette décision est une catastrophe pour le monde de l’économie. C’est une immense difficulté pour l’Europe. Je crois que c’est aussi une catastrophe pour les États-Unis et pour les citoyens américains », a déclaré le chef du gouvernement en marge d’un colloque au Sénat.
« L’idée que chacune des grandes régions du monde va se refermer sur elle-même et que la guerre commerciale doit être désormais la règle (...) présente des dangers qui vont, hélas, se réaliser dans le temps », a-t-il ajouté.
Le Premier ministre français a accusé « le gouvernement de l’État le plus important de la planète », les États-Unis, de « se retourne(r) contre ses alliés » et n’être « plus en solidarité avec eux » avec cette « guerre commerciale », « nous qui formions ensemble l’alliance des libertés en Occident, du moins, nous croyions que c’était ça ».
« Ce sont des temps graves dans lesquels nous sommes entrés » et « cela ouvre un temps d’incertitude qui remet en cause ce que nous avons mis tant de temps à construire et qui remet en cause notre économie et la société française tout entière », a-t-il complété.
09h33: Les réactions oscillent entre appels au dialogue et menaces de bras de fer, personne n’ayant pour le moment annoncé de riposte claire.
Berlin a déclaré jeudi soutenir l’Union européenne dans sa recherche d’une « solution négociée » avec Washington, Paris a dit prévoir dans l’éventuelle riposte européenne en cours de négociation « d’attaquer les services numériques », tout en planifiant de réunir jeudi les représentants ses filières les plus touchées.
Tendant la main aux Américains, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a assuré qu’il n’était « pas trop tard » pour négocier mais aussi que l’UE était « prête à réagir ». Si certains pays ont appelé à la retenue et au dialogue avec Washington pour éviter l’escalade, d’autres ont vertement critiqué la politique américaine.
Pékin a exhorté Washington à « annuler immédiatement » ces droits de douane, tout en appelant au « dialogue » face au risque de « péril (pour) le développement économique mondial », selon le ministère du Commerce. Le gouvernement japonais a estimé que l’allié américain pourrait avoir enfreint les règles de l’OMC et leur accord bilatéral. L’Australie a dénoncé un « geste qui n’est pas celui d’un ami ».
Pour Maurice Obstfeld, économiste du Peterson Institute for International Economics (PIIE), il s’agit d’une « déclaration de guerre à l’économie mondiale », d’autant plus que la fixation des niveaux de taxes pose question sur la méthode employée. Ces surtaxes sont censées répondre aussi aux barrières dites « non tarifaires », par exemple des normes sanitaires ou environnementales.
La Maison Blanche a fait savoir mercredi soir que certaines catégories n’étaient pas concernées: lingots d’or, produits pharmaceutiques, semi-conducteurs, cuivre, bois de construction, produits énergétiques ou encore minéraux introuvables sur le sol américain Pas trace en revanche de la Russie ni de la Corée du Nord au motif, selon un responsable américain, qu’elles ne sont plus des partenaires commerciaux significatifs.
Gare aux pays tentés par une surenchère: « Détendez-vous, encaissez le coup (...). Car si vous ripostez, il y aura une escalade », a déjà averti le ministre des Finances Scott Bessent. Ni le Mexique ni le Canada n’apparaissent sur la nouvelle liste. Signataires d’un accord de libre-échange avec les Etats-Unis, ils relèvent d’un autre régime.
Mais ils vont encaisser comme le reste du monde les 25% de taxes additionnelles sur les voitures fabriquées à l’étranger qui est entrée en vigueur jeudi matin. Les nouveaux droits de douane « ne feront que des perdants », a d’ailleurs critiqué l’industrie automobile allemande.
06h57: Emmanuel Macron va réunir à l’Élysée jeudi après-midi à 16 heures les représentants des filières impactées par les mesures tarifaires annoncées par les États-Unis», a fait savoir la présidence de la République. Le président américain Donald Trump a signé mercredi un décret généralisant des droits de douane très lourds, de 10% minimum sur toutes les importations arrivant aux États-Unis et de 20% pour les produits arrivant de l’Union européenne.
06h38: Les ventes de vins et spiritueux français devraient chuter d'au moins 20 % aux États-Unis après l'annonce de droits de douane dits "réciproques", a déclaré la Fédération des exportateurs de vins et spiritueux (FEVS). Son président, Gabriel Picard, a estimé que les droits de douane de 20 % imposés sur les boissons en provenance de l'UE étaient "colossaux".
06h25: La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a estimé que les nouveaux droits de douane étaient "un coup dur" pour l'économie mondiale. Regrettant "profondément" cette décision, elle a affirmé que les Européens étaient "prêts à réagir" et travaillaient déjà à "un nouveau paquet de contre-mesures" au cas où les négociations avec l'administration américaine, ardemment souhaitées par l'UE, devaient échouer.
05h38: Voici le tableau des taxes américaines publié par la Maison Blanche Selon ce classement établi par l'administration américaine, qui ne justifie aucun calcul des valeurs listées, la Chine serait le pays qui impose les plus fortes barrières douanières : elle taxerait à 67% les produits américains. Donald Trump a annoncé en réponse des droits de douane à 34% sur les produits chinois.
En deuxième place viendrait l'Union européenne, qui taxerait les produits américains à 39% selon l'administration américaine. Des taxes à 20% vont s'appliquer en retour, a indiqué le président américain, qui a accusé les Vingt-Sept d'être "très très durs en commerce". "On se dit souvent que l’UE est très amicale, en fait ils nous arnaquent, c’est pathétique", a-t-il tancé, des griefs qu'il répète régulièrement à l'égard de Bruxelles, qui fait déjà l'objet de plusieurs menaces de forte taxation sur certains produit.
Le président américain a déroulé plusieurs autres mesures, toujours sans étayer les calculs de son administration : 46% de droits de douane décrétés contre les produits importés du Vietnam, qui taxerait quant à lui à 90% les produits américains, 32% contre ceux de Taïwan, qui taxerait de son côté à 64%, 24% contre ceux du Japon, qui taxerait à 46%...
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Donald Trump a lancé cette nuit une colossale charge commerciale en annonçant des droits de douane très lourds en particulier contre l'Asie et l'Union européenne, au risque d'asphyxier l'économie mondiale, mais aussi américaine. Le président américain a vanté une "déclaration d'indépendance économique".
"Notre pays a été pillé, saccagé, violé et dévasté par des nations proches et lointaines, des alliés comme des ennemis", a asséné Donald Trump, avant d'exhiber une liste des partenaires commerciaux concernés.
Dans les échanges électroniques après la clôture de Wall Street, le Dow Jones, le Nasdaq et le S&P 500 ont plongé.
L'or, valeur refuge, a flambé. Les marchés se sont réveillés sonnés jeudi en Asie.
La Bourse de Tokyo a dégringolé de pres de 4% peu après l'ouverture, tandis que Séoul, Hong Kong et Sydney lâchaient quelque 2%. L'offensive protectionniste de la Maison Blanche, sans équivalent depuis les années 1930, passe par un droit de douane plancher supplémentaire de 10% sur toutes les importations et par des majorations pour les pays jugés particulièrement hostiles en matière commerciale.
L'addition est astronomique pour la Chine, dont les produits feront l'objet d'une nouvelle taxe à l'importation de 34% s'ajoutant aux 20% de droits de douane additionnels déjà mis en place par l'administration Trump.
Pékin "s'oppose fermement" à ces droits de douane et promet de riposter, a réagi le ministère du Commerce. Les marchandises de l'UE prendront 20% de taxes. Les taux ont été fixés à 24% pour le Japon, 26% pour l'Inde ou 46% pour le Vietnam.
Vos réactions
Pour le moment il a rien réussi sauf à foutre le bordel dans l'économie mondiale.
Une usine ne se construit pas d'un coup de baguette magique. Pour équipé les usines il faut des machines que les USA ne fabrique pas.
Pour faire tourner les usines il faut des employés alors qu'il vire à tour de bras tous les émigrés...
On parle de son bilan dans 6 mois.....
Oui enfin l'économie américaine souffrira bien plus que les autres. On va peut être enfin casser (tout dépends des dirigeants européens) le cordon ombilicale qui nous rattache à l'économie américaine et cela sera la meilleure chose qui peut nous arriver.
Nous n'allons pas souffrir de pénurie alors que les USA oui mais pour l'instant grâce aux Chinois (donc forcément cela ne sera pas une victoire satisfaisante pour nous européens donc il faut faire exactement la même chose que les Chinois).
Et pour Apple normal qu'ils chutent, la production est quasiment arrêté, les Chinois leur refuse le gallium. Cela sera pareil pour Tesla...
Parfait ! Au moins Donald Trump fait ce qu'il a dit qu'il allait faire.
J'espère qu'il va flinguer cette satanée UE, cette mondialisation et l'état profond. Qu'il pulvérise cette fourmilière.
Il ne faut surtout pas que Macron s'en mêle. Il n'y connaît absolument rien dans l'économie d'un pays. Il serait temps que Macron soit destitué. Il a déjà fait beaucoup trop de dégâts, assez pour justifier sa destitution.
Macron va encore nous sortir son fameux : "nous sommes en guerre"...
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Ça fait tout bizarre un dirigeant qui prend des mesures pour tenter d’améliorer l’économie de son pays. C’est une bonne idée (ou pas) mais au moins ça change du toboggan sur lequel Macron/Van der Leyen nous ont précipité.
Pour le moment il a rien réussi sauf à foutre le bordel dans l'économie mondiale.
Une usine ne se construit pas d'un coup de baguette magique. Pour équipé les usines il faut des machines que les USA ne fabrique pas.
Pour faire tourner les usines il faut des employés alors qu'il vire à tour de bras tous les émigrés...
On parle de son bilan dans 6 mois.....
Les élections parlementaires sont tous les 2 ans aux usa.
Le peuple exprimera son jugement à ce moment là.
Étrangement il taxe l'Ukraine a 10% et aucune taxe pour la Russie....
Pour la Russie les sanctions suffisent pour tout bloquer ! Pour l'Ukraine c'est évidemment une aide.
On ne peut pas être contre Trump car il n’est pas notre ami, ni notre president, et il fait ce qu’il veut. Il verra bien si c’est néfaste pour lui.
Par contre on va pouvoir juger Macron, Ursula, et leurs électeurs pour savoir si ils ne savent que parler…
Parce que L’Europe crache sur les usa, la Russie, la Chine, l’Afrique… en disant qu’ailleurs ils sont méchants, mais à la fin de sont les européens qui paient
Ce sera néfaste pour le PIB américain car les sociétés us qui ont delocalisées pour améliorer leurs marges feront moins de bénéfices. Mais Trump s'en moque, pour lui ces sociétés ont trahi l'Amérique.
Lui il veut rapatrier les emplois aux Etats-Unis pour donner du travail à ces millions qui n'ont plus de logement. Il veut verrouiller sur le sol américain les productions qu'il juge stratégiques comme l'acier, les voitures et l'électronique.
Il veut construire une Amérique plus forte, pas améliorer les marges des grands groupes.
Étrangement il taxe l'Ukraine a 10% et aucune taxe pour la Russie....
Normal Trump est un agent du FSB. Son correspondant s'appelle WP, je ne donne pas de noim par soucis de protection de l'honorable correspondant bien sur
maintenant que la mer est descendue, on va voir qui est bien habillé pour répondre
Décryptage ?
Connaissant Ursula et Emmanuel, ils vont baisser les taxes américaines en représaille...
Vas-y Donald, taxe !
Ce sont les habitants des etats-unis qui vont payer.
N'étant pas propriétaire de vignobles cela ne me dérange pas que nos vins et champagnes soient moins vendus là-bas car nos producteurs seront alors bien obligés d'écouler leurs stocks annuels et devront baisser leur prix chez nous s'ils veulent nous en vendre plus que d'habitude.
maintenant que la mer est descendue, on va voir qui est bien habillé pour répondre
La Chine va calmer les ardeurs de Trump. Ils refusent de vendre du Gallium aux USA et vu que la Chine a le monopole de ce minerai indispensable pour les composants électroniques on sait comment cela va finir pour les USA... Il y a déjà des pénuries Apple a tiré la sonnette d’alarme. et ce n'est pas anodin si Musk se retire car Tesla ne peut survivre sans cette matière.
En affaire il faut toujours réfléchir avant de mettre bêtement des taxes douanières à tout va si l'Europe est faible sur les attaques, la Chine elle s'en moque car ils continueront leur business avec les autres pays tout en contrôlant la quantité d'exportation de matières où ils ont le monopole.
Il faudrait simplement une semaine pour calmer Trump si tous les pays s'y mettaient...
On va voir le courage de l'union européenne .....
On ne peut pas être contre Trump car il n’est pas notre ami, ni notre president, et il fait ce qu’il veut. Il verra bien si c’est néfaste pour lui.
Par contre on va pouvoir juger Macron, Ursula, et leurs électeurs pour savoir si ils ne savent que parler…
Parce que L’Europe crache sur les usa, la Russie, la Chine, l’Afrique… en disant qu’ailleurs ils sont méchants, mais à la fin de sont les européens qui paient
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