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Trois jours après sa première venue, Elia était ce matin de retour en direct dans "Morandini Live" sur CNews. Vendredi dernier, en larmes, la propriétaire du bistrot à la Gaîté Lyrique, occupée par des migrants, lançait un appel dans l'émission (revoir la séquence en cliquant ICI). La situation ne s'est pas améliorée ce week-end. Alors en reportage, un journaliste de CNews a été violemment agressé.
"Samedi, il y a une manifestation contre les violences dans la police. Les manifestants se sont ralliés à la cause des migrants. Il y a eu des casseurs et des antifa qui étaient là. On a dû fermer la brasserie parce qu'on allait tout nous casser", a-t-elle déclaré.
Et d'ajouter : "Hier, on n'a pas ouvert parce qu'il y avait une grosse manifestation qui n'était pas encore encadrée par la police. On a dû fermer la brasserie pour éviter qu'il m'arrive quoique ce soit. On en est là !".
"Hier, il faisait beau. Il y avait des gens devant ma brasserie. On aurait pu travailler mais on ne travaille pas. Ce n'est pas normal ! Je suis obligée de me cacher depuis l'autre côté du boulevard et de regarder de loin. Je ne peux pas aller dans ma brasserie", a-t-elle poursuivi.
Une cagnotte pour venir en aide à Elia a été ouverte il y a plusieurs jours. Ce lundi midi, la cagnotte était à plus de 61.000 euros. Un élan de solidarité qui a ému Elia.
"Ce qui m'a fait chaud au coeur, c'est qu'il y a eu autant de monde à me soutenir. Mais j'ai de la peine pour tous ces Français parce que ce n'est pas aux Français de m'aider. Je reçois beaucoup d'appels à la brasserie. Des retraités venant de l'Ile-de-France sont venus pour boire un café", a-t-elle déclaré, les larmes aux yeux.
Avant de continuer : "Ca me fait chaud au coeur. Merci, merci pour tout ! Je suis dans une situation très compliquée. C'est moi qui allais me retrouver dehors. Pour ceux qui n'ont rien, vous pourrez manger chez moi. Je vous offrirais un repas, ceux qui n'ont vraiment rien. Si je peux vous aider comme vous avez pu m'aider. Je vous accueillerais toujours les bras ouverts".
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Vos réactions
Ces dommages qu'il n'y a qu'une seul de télévision qui s'intéresse a cette histoire. En 2023, des squatter (plutôt des réfugier) avait squatté une école désinfecté de Paris. Le monde, le Figaro, France Bleu , le Parisien avais écris des articles sur ce squatte, et ces même journaux non pas un mots pour Elia. 2 poids 2 mesures dans un pays ou sur les front des Mairies et Inscrit "Egalité" Ou est l'Egalité des droits d'Elia qui n'a pas les même droit que les migrants, qui eu on des droits.ou est la Fraternité de la mairie de Paris qui donne au association (400 personnes a leur donner repas matin, midi et soir) et avec Elia.
Quand on entend un des migrants « gueuler » sur les journalistes : « vous connaissez la loi ?? » c’est la meilleure ! La loi c’est que tu n’as rien à foutre ici à occuper des locaux qui ne t’appartiennent et qui occasionne de mettre ceux qui y travaillent au chômage technique !Pour qui se prennent ces migrants ? J’ai honte de mon pays, de ce gouvernement INCAPABLE de se faire respecter, INCAPABLE de respecter les Français qui travaillent et qui sont à bout de toute cette pagaille et insécurité ! Vous pouvez vous foutre de la gueule de Trump, lui il aurait déjà réglé le problème ! L’évacuation des lieux a été ordonnée et RIEN ne se passe..! C’est une honte ! Le monde entier se fout de notre gueule.. devant tant de faiblesse.. Scandaleux !
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