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Thomas Sotto se confie sur Jean-Michel Aphatie qui était dans sa matinale sur RTL: "Il blesse des gens et il froisse des gens et ce n'est pas utile. Je lui en veux un peu" - VIDEO

Hier soir, Thomas Sotto et Amandine Begot, les matinaliers de RTL, étaient les invités de "C à vous" sur France 5. Au cours de l'émission, les deux journalistes ont été interrogés sur la décision de Jean-Michel Aphatie de quitter la radio estimant ne pas avoir fait de faute en tenant des propos à l'antenne fin février sur des "Oradour-sur-Glane en Algérie" qui auraient été commis par la France.

"Qu’il y ait une forme d’incompréhension, ça parait évident à tout le monde. Après moi j’aime beaucoup Jean-Michel, mais sur ce coup-là, je lui en veux un petit peu, je lui en veux un petit peu parce qu’il fait deux choses", a débute Thomas Sotto.

Et d'ajouter : "Il fait une chose qui est très utile, il met la lumière sur un sujet qu’on connaît mal et qu’on connaît trop mal et qu’on n’apprend pas assez à l’école, au collège et au lycée qui est la colonisation. Mais il cède à une plaie du moment qui est le relativisme et il met ça en relation avec Oradour-sur-Glane et il blesse des gens et il froisse des gens et ce n’est pas utile". 

"Je trouve qu’il dessert son propos. On n’est pas obligé de faire une comparaison des drames", a poursuivi le journaliste sur le plateau de "C à vous" sur France 5.

 

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Vos réactions

Portrait de JP67
12/mars/2025 - 05h02

Quand Thomas Sotto était a "Télé Matin" il froissait lui aussi bien ses collègues !

 

Portrait de MICMAH458
11/mars/2025 - 13h05

"Je lui en veux un petit peu" dit Sotto.  Waouh, belle prise de position ferme à l'encontre d'un de ses collègues.  Belle preuve aussi du petit courage de ces journalistes qui, tout en n'étant pas d'accord avec les propos tenus, se gardent bien d'oser élever la moindre critique entre eux.  Le corporatisme dans certains milieux fonctionne toujours bien.

Portrait de Çabaigne
11/mars/2025 - 11h36

On n’est pas obligé de faire une comparaison des drames. On n’est pas obligé de mettre de l’huile sur le feu. On n’est pas obligé d’agresser les auditeurs avec un ton péremptoire.