
19h14: La présidente du groupe La France insoumise à l'Assemblée nationale, Mathilde Panot, a déposé mardi une motion de censure contre le gouvernement de François Bayrou, signée par 57 autres députés, issus de ses rangs mais aussi des groupes communiste et écologiste.
La motion, déposée peu après la déclaration de politique générale du nouveau Premier ministre, sera examinée jeudi.
Le parti socialiste n'a toujours pas avancé s'il appelait à la signer ou non.
De son côté Jean-Luc Mélenchon a tapé du poing sur la table et menacé : "Tous ceux qui ne votent pas la censure sortent de l'accord du Nouveau front populaire", a-t-il prévenu à la presse. "On met des options sur leurs circonscriptions", a-t-il ajouté visant les députés du Parti socialiste.
16h41: Sur X, Jordan Bardella fustige: "Au terme d'un discours lénifiant, François Bayrou a démontré qu'il n'était pas l'homme de la rupture, mais celui de la continuité molle, du bavardage et de la concertation « sans fin ».
Rien sur le pouvoir d'achat, rien sur l'insécurité, rien de concret sur l'immigration : la vie des Français est la grande absente de cette allocution pour rien. "
16h39: Eric Coquerel s'est également montré très critique sur le réseau social X:
"Le premier ministre a enchaîné les poncifs et les bonnes intentions sur la plupart des grandes préoccupations des français : éducation, logement, écologie, industrialisation, emploi, situation des Outre-mer etc.. sans aucune mesure concrète les crédibilisant.
Ses concessions ? Ni abrogation, ni suspension de la réforme des retraites : une « mission flash » et une discussion entre partenaires sociaux avec pour contrainte de s’entendre sur les économies sous peine de poursuite d’application de la réforme. Bref soit elle sera aggravée soit poursuivie. Le budget ? Des importantes économies seront à trouver immédiatement, il annonce une super austérité et des privatisations pour 2026, tout juste a-t-il concédé une hausse de l’Ondam. Ce sera bien le budget Barnier en pire. C’est tout ? C’est tout, c’est rien et ça mérite encore plus d’être censuré par tous les opposants conséquents."
16h38: Seulement 30 minutes après le début du discours, Jean-Luc Mélenchon a fustigé sur X: "Bayrou : discours d'enfumage. La dette est le résultat de l'appauvrissement organisé de l'État. Le coût des versements de l'État à la sécurité sociale compense des suppressions de cotisations décidées par les gouvernements. La sécurité sociale appartient à ses cotisants. Laissez les syndicats gérer !, a-t-il écrit.
15h02: Le Premier ministre François Bayrou démarre son discours de politique générale.
"Contrairement à ce que beaucoup pensent la situation de ce gouvernent présente un avantage considérable.", confie-t-il.
Et d'ajouter: "84% des Français jugent que le gouvernement ne passera pas l'année. Il m'arrive de me demander où les 16% restant trouvent la source de leur optimisme. Au risque de vous surprendre, je crois que cette situation est un atout (...) On est contraints au courage".
Avant d'évoquer le sujet de la dette de la France. Depuis Lionel Jospin "a commencé une descente que rien ne semble pouvoir arrêter".
"Depuis la guerre, la France n'a jamais été aussi endettée qu'aujourd'hui. Aucune politique ne pourra être conduite si elle ne tient pas compte de cette situation de surendettement."
"L'injonction que le pays nous assigne", c'est "de retrouver la stabilité", a-t-il ajouté.
Avant de citer notamment les Gilets jaunes, la guerre en Ukraine, et l'inflation. "Tous les partis de gouvernement ont une responsabilité dans la situation créée ces dernières décennies".
"Cette dette est une épée de Damoclès au-dessus de notre pays et de notre modèle social."
"Il y a eu une cascade de crises jamais vues et jamais imaginées depuis 2018".
"L'offensive monétaire, la captation de la richesse mondiale, la domination technologique... et le pouvoir que tout cela donne d'intervenir dans la politique démocratique d'autres Etats. Un certain nombre de figures l'incarnent sans complexe, comme Elon Musk."
"Nous avions un grand allié et c'était les Etats unis mais ils ont choisi la même politique de puissance et de domination [que la Chine]"
Un petit moment de flottement s'est alors installé: "Il y a eu un peu de mélange dans mes pages...", a ironisé François Bayrou après quelques secondes de silence. "Je suis un néophyte et donc je suis bien obligé d'apprendre ce métier", a-t-il poursuivi avant de reprendre son discours.
"L'UE est capable de devenir le premier marché de la planète (...) à égalité avec les Etats-Unis et la Chine. C'est la raison pour laquelle nous soutenons de toutes nos forces le rapport présenté par Mario Draghi.", a-t-il indiqué. Et d'ajouter: "L'indépendance de la France dépend de celle de l'Europe"
"Je salue le fait que toutes les sensibilités rassemblées au sein de l'équipe gouvernementale sont unies par cette conviction commune. C'est dans cet esprit que j'ai constitué notre équipe gouvernementale. Elle reflète l'union des grandes sensibilités du pays, avec de l'expérience et de l'enracinement, avec de fortes personnalités."
Et de poursuivre: "L'éducation nationale est à sa place, c'est-à-dire la première (...) Les outremer viennent ensuite. Cet engagement n’a jamais été porté aussi haut dans notre histoire. J’ai considéré que ce sujet et nos compatriotes, à ce moment précis de notre histoire commune, avec tous les risques et tous les dangers, devaient être promus au rang de toute première préoccupation de la nation."
Avant d'évoquer "Les questions de sécurité" qui "sont brûlantes pour nos concitoyens. J’ai souhaité une coopération étroite entre les ministères de la Justice et de l’Intérieur pour leur confier la restauration de l’autorité de l’État."
"La réponse au narcotrafic ou à la délinquance des mineurs, sur laquelle Gabriel Attal et son groupe ont proposé un texte, la présence des forces de sécurité sur le terrain, à travers par exemple de nouvelles brigades de gendarmerie, devront confirmer à nos concitoyens que l’État de droit n’est pas l’État de faiblesse."
"Nous faisons face à trois échéances : l'urgence. Il faut se ressaisir et adopter sans tarder les deux budgets, de l’Etat et de la Sécurité sociale. Cette précarité budgétaire, nous la payons tous au prix fort, entreprises, investisseurs, familles, contribuables, emprunteurs."
Face aux huées et autres interventions des députés dans les tribunes, François Bayrou d'agace: Il est inutile de crier car les micros sont coupés donc on ne vous entend pas".
Et de reprendre son discours: "Nos concitoyens se sentent glisser sur la pente du déclassement ; les investisseurs s’inquiètent ; l’épée de Damoclès de la motion de censure paraît avoir installé la précarité au sommet de l’État."Et d'évoquer le sujet de la réforme des retraites: "Le déséquilibre du financement de notre système de retraites et la dette massive qu’il a creusée ne peuvent être ignorés ou éludés".
"Sur les plus de 1 000 milliards de dette supplémentaires accumulés par notre pays ces dix dernières années, les retraites représentent 50 % de ce total. Jamais nous n’avons fait l’effort de partager avec les Français cette évidence, que la dette contractée par notre pays concerne leurs propres enfants, nos propres enfants.", a-t-il ajouté.
Et de poursuivre: "La réforme des retraites est vitale pour notre pays et notre modèle social : Bien des gouvernements successifs s’y sont engagés, depuis Michel Rocard, jusqu’aux efforts courageux du gouvernement d’Elisabeth Borne. Je note dans ce débat passionnel un Avant d'annoncer mettre la réforme des retraites "en chantier, avec les partenaires sociaux, pour un temps bref, et dans des conditions transparentes. Selon une méthode inédite et quelque peu radicale."
"Je vais demander à la Cour des comptes une mission flash de quelques semaines de nous donner l'état actuel et précis du financement du système de retraites. Et ce résultat, le Gouvernement le communiquera à tous les Français", explique le Premier ministre.
"Une délégation permanente sera créée. Je la réunirai dès vendredi. Je proposerai aux représentants de chaque organisation de travailler autour de la même table, de s’installer dans les mêmes bureaux, ensemble, pendant trois mois à dater du rapport de la Cour des comptes. Si au cours de ce 'conclave' cette délégation trouve un accord d’équilibre et de meilleure justice, nous l’adopterons."
"Le Parlement en sera saisi lors du prochain projet de loi de financement de la sécurité sociale, ou si nécessaire par une loi. Je souhaite que cet accord soit trouvé. Mais si les partenaires ne s’accordaient pas, c’est la réforme actuelle qui continuerait à s’appliquer."
Et d'aborder le sujet du budget. "Il nous faut repenser tous nos budgets, à partir non pas du prolongement de ce qui se faisait l’année précédente augmenté d’un pourcentage d’inflation, mais de ce que qu’exige le service ou l’action à conduire. Ces budgets redéfinis, repensés, je demanderai à tous les ministres de les préparer dès le printemps."
"Le gouvernement a décidé de revoir sa prévision de croissance pour 2025, elle était de 1,1 % avant la censure, nous la fixons à 0,9 %. Il sera proposé de fixer l’objectif de déficit public pour 2025 à 5,4 % du PIB."
Avant de passer à la question de la reconnaissance du pluralisme. "Il y a, dans la vie politique française aujourd’hui, une pluralité de courants, peut-être 5 ou 6 principaux."
"Je connais bien Jean-Luc Mélenchon, depuis longtemps, je sais qu'il est un esprit cultivé et stratège (...) Mais je n'approuve pas sa stratégie qui est de tout conflictualiser.", a-t-il fustigé.
"Faire un seul peuple, c’est reconnaître que le pluralisme est légitime. Je souhaite que les partis politiques, comme les syndicats, puissent être reconnus comme des mouvements d’utilité publique. Je souhaite qu'ils puissent se financer sans avoir à passer par des contournements. Je souhaite donc aussi la création de la banque de la démocratie."
"Mais le pluralisme suppose aussi que chacun trouve une place au sein de la représentation nationale, à proportion des votes qu’il a reçus. C’est la seule règle qui permette à chacun d’être lui-même, authentiquement, sans être prisonnier dans des alliances insincères. Je propose que nous avancions sur la réforme du mode de scrutin législatif. Chacun exprimera alors sa position. Il y a une option à prendre sur ce principe et une discussion à avoir sur ses modalités."
François Bayrou évoque également la question de la bureaucratisation. "Une étude récente montre que, chez nos voisins, le poids des normes est en moyenne de 0,5 % de PIB annuel, de 0,8 % en Italie à 0,3 % en Espagne, et 0,17 % en Allemagne. Chez nous c’est tout près de 4 %, 10 fois plus que chez nos voisins. C'est un frein insupportable à l'activité de notre pays. Le gouvernement s’engagera donc dans un puissant mouvement de débureaucratisation."
Le Premier ministre aborde ensuite les collectivités territoriales, "mon gouvernement confortera les avancées sur des sujets très attendus comme l’eau, l’assainissement, le statut et la protection des élus" et "l'effort financier demandé aux collectivités sera ramené de 5 milliards initialement à 2,2 milliards en 2025".
Les entreprises "doivent être prémunies contre des augmentations exponentielles d’impôts et de charges." "L’entreprise produit les richesses et l’emploi, pour tout le pays, grâce à ses dirigeants, ses chercheurs, ses cadres, ses salariés. Mais si elle se voit surchargée de prélèvements – et de normes -, alors elle cesse de produire".
Et d'évoquer l'égalité entre les femmes et les hommes. "Je pense en particulier au sort des femmes afghanes et iraniennes, enfermées vivantes. Cette égalité chez nous suppose une lutte sans merci contre les violences sexuelles ou sexistes, mais aussi pour l’égalité salariale et professionnelle."
François Bayrou indique vouloir "reprendre les cahiers de doléances des gilets jaunes". "La promesse française c’est également répondre au cri qu’ont fait entendre les Gilets jaunes (...) Nous devrons reprendre leur cahier de doléances.", a-t-il déclarer.
François Bayrou enchaîne sur le sujet de l'immigration, en comparant la situation de Mayotte à celle de Paris : "C'est comme s'il y avait 500 000 illégaux à Paris (...) J’ai la conviction profonde que l’immigration est une question de proportion. Les mahorais en ont marre."
"Il est de notre devoir de conduire une politique de contrôle, de régulation et de renvoi dans leur pays de ceux dont la présence met en péril la cohésion de la nation."
"Cette politique, que mène fermement le ministre de l’Intérieur suppose aussi l’action de tous les ministères. C’est pourquoi je réactiverai le comité interministériel de contrôle de l’immigration. Et je sais que les parlementaires ne manqueront pas de prendre des initiatives également."
Avant d'aborder la question de lécologie, "au contraire ce que certains pensent, n’est pas le problème. C'est la solution, en tout cas c'est celle que nous retenons. L'effort à mener sur ce sujet crucial, cette adaptation aux changements climatiques, la France l'a commencé mieux et davantage qu'aucun autre pays au monde. Cette ardente obligation, elle doit être poursuivie et amplifiée pour planifier la transition en finalisant notre stratégie bas carbone, préserver notre biodiversité, produire de façon décarbonée grâce à des technologies nouvelles et je pense en particulier à notre politique énergétique."
"La production d'électricité d'origine nucléaire est un axe essentiel et la géothermie sous nos pieds, réservoir inépuisable de calories gratuites et d'ailleurs aussi de frigos sous nos pieds, l'est aussi. La question de l'eau, nous devons la saisir à bras le corps au travers d'une grande conférence nationale déclinée dans les régions."
Concernant l'Education nationale, François Bayrou déclare:"Dans la refondation de notre projet l'Education nationale, l'enseignement supérieur et la recherche. Sont un sujet essentiel, une des fiertés de ma vie (...) Les enfants ne sont pas comme des poireaux, ne poussent pas à la même vitesse (...) Doivent être acceptées les réorientations". Une phrase qui a vivement fait réagir dans l'hémicycle.
Et d'ajouter que "Parcoursup est une question.
Avant de parler de l'IA:"Parmi les combats à mener : la promotion de la lecture contre le monopole des écrans. Je sais qu’un chemin est possible : en formant mieux nos professeurs afin de mieux les préparer (...) C'est un enjeu national".
Concernant l’IA, "la stratégie nationale doit entrer dans sa 3e phase (...) Chaque filière unira grandes entreprises, sous-traitants, l’État et les régions autour d’un enjeu de production." "Nous sommes des géants de la recherche informatique. Ne nous laissons pas devenir pas des nains de la nouvelle économie, précisément fondée sur le numérique. Et il en est de même pour l’espace ou les énergies décarbonées."
François Bayrou aborde la crise du monde agricole: "A l’origine de cette situation, il y a une crise morale : les paysans, le monde dont je viens, avaient jusqu’à il y a peu la certitude d’être les meilleurs défenseurs de la nature ; aujourd’hui on les accuse de nuire à la nature. C’est une atteinte profonde. Et quand les inspecteurs de la biodiversité viennent inspecter les fossés ou les points d’eau avec une arme à la ceinture dans une ferme déjà mise à cran par la crise, c’est une humiliation."
Et d'ajouter: "Pour les entreprises agricoles, je m'engage à ce que nous remettions en question les pyramides de normes. Ce que l’on contrôle doivent avoir leur mot à dire sur les contrôles et s’il faut des remises en cause nous les conduirons avec eux dans un temps bref."
Le Premier ministre aborde la question du logement "Si l’on ne peut pas se loger, on ne peut pas se faire reconnaître. Nous avons besoin d’une politique de logement repensée et de grande ampleur. Je salue les efforts menés par les précédents gouvernements pour lever les contraintes en matière de construction de logements. Nous pouvons aller plus loin en réduisant encore les délais, en allégeant les demandes d’autorisation, en favorisant la densification, en facilitant les changements d’usage…"
Face à la difficulté pour les étudiants en situation de précarité de se loger, "nous lancerons la construction de 15 000 logements par an pendant trois ans, en mobilisant le foncier disponible de l’Etat."
Concernant la santé, et plus précisément la crise de l'hôpital, il déclare"il faut aussi travailler sur l’enjeu clé de la démographie médicale, en impliquant notamment les élus territoriaux, et en menant de front la question de la formation des soignants. Je souhaite confirmer que la santé mentale sera la grande cause nationale en 2025, comme l’avait décidé mon prédécesseur Michel Barnier."
Et d'annoncer que "La mesure de déremboursement de certains médicaments et des consultations ne sera pas reprise." Et de promettre également "le remboursement intégral des fauteuils roulants dès 2025."
Et de conclure: "J’ai foi dans le peuple français. J’ai foi dans ses représentants. Je sais les ressources d’intelligence, de bravoure, de droiture de notre nation lorsqu’elle choisit de surmonter l’épreuve".
14h57: Le Premier ministre François Bayrou est arrivé dans l'hémicycle avant son discours de politique générale
14h47: Le Premier ministre François Bayrou vient de quitter Matignon pour se rendre à l'Assemblée nationale
14h08: Quelles que soient les annonces de François Bayrou, les Insoumis déposeront une motion de censure qui sera examinée jeudi ou vendredi. La rupture semble consommée entre socialistes et Insoumis. Si les communistes semblent disposés à suivre le PS, la cheffe des Écologistes Marine Tondelier a en revanche répondu à l’AFP « ne pas comprendre l’euphorie des socialistes », et juge que « l’état actuel des discussions ne donne pas de raison d’envisager autre chose que la censure ». La motion de censure LFI n’a cependant aucune chance d’être adoptée puisque le RN a confirmé qu’il ne la voterait pas.
13h24: Le point sur ce que l'on sait
Il n'y aura "ni suspension ni abrogation" de la réforme des retraites mais une renégociation pendant trois mois environ, soit avant un nouveau changement de classe d'âge pour le départ à la retraite, a dit François Bayrou lors d'une réunion ce mercredi matin à Matignon, selon plusieurs participants.
"Le date butoir pour obtenir un changement (de classe d'âge) c'était septembre, donc il faut que les partenaires sociaux aient terminé leurs travaux avant", soit "avant l'été" pour rendre "effectives" leurs conclusions, et dans ce cas "la suspension n'est plus nécessaire", a détaillé un des participants. Le Premier ministre a réuni mercredi matin à Matignon plusieurs représentants de groupes parlementaires soutenant son gouvernement.
Le Premier ministre prononcera à 15H00 devant l'Assemblée nationale le traditionnel discours du nouvel arrivant à Matignon.
12h30: Les socialistes devaient réunir un Bureau national (direction) à 13H00, soit deux heures avant la déclaration de politique générale de François Bayrou qui dévoilera devant l’Assemblée nationale ses intentions.
12h11: A noter que c’est Élisabeth Borne, ex-Première ministre et auteure de cette réforme contestée des retraites, qui lira en parallèle devant le Sénat le même texte.
11h47: Le député LFI de Marseille, Manuel Bompard, sur X. « Le Parti Socialiste travaille tellement qu’il n’a toujours pas de programme. Mieux vaut la gauche des convictions que la gauche des compromissions », écrit-il.
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Le Parti Socialiste travaille tellement qu’il n’a toujours pas de programme.
— Manuel Bompard (@mbompard) January 14, 2025
Mieux vaut la gauche des convictions que la gauche des compromissions. https://t.co/4V214IZ1Fm
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11h45: "Maintenant que Bayrou les a sévèrement humiliés sur les retraites, il ne reste plus que quelques heures à Faure, Roussel et Tondelier pour trouver une autre idée géniale qui leur permettrait de justifier qu’ils ne censurent pas immédiatement ce gouvernement illégitime !", écrit le député Adrien Quatennens sur X.
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Maintenant que #Bayrou les a sévèrement humiliés sur les #retraites, il ne reste plus que quelques heures à Faure, Roussel et Tondelier pour trouver une autre idée géniale qui leur permettrait de justifier qu’ils ne censurent pas immédiatement ce gouvernement illégitime !
— Adrien Quatennens (@AQuatennens) January 14, 2025
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11h39: « Francois Bayrou refuse la suspension de la réforme des retraites. Qui aurait pu prédire ? », déclare la secrétaire nationale d’EELV Marine Tondelier sur X.
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Francois Bayrou refuse la suspension de la réforme des retraites.
— Marine Tondelier (@marinetondelier) January 14, 2025
Qui aurait pu prédire ?
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11h18: A l'occasion d'une réunion à Matignon ce matin, le Premier ministre François Bayrou a annoncé qu'il ne suspendrait pas la réforme des retraites, rapporte CNews.
10h15: Le parti socialiste a fait une proposition de compromis dans la nuit au Premier ministre François Bayrou et estime « un accord possible » dans « quelques heures » sur la question du budget et notamment la réforme des retraites, a expliqué mardi son premier secrétaire Olivier Faure.
« Je pense que nous pouvons conclure », a estimé le député socialiste sur RMC-BFMTV, à propos de cette « proposition » qu’il se refuse à « dévoiler », faite « au téléphone » après une réunion non conclusive dans la soirée de lundi à Matignon.
François Bayrou doit prononcer à 15H00 devant l’Assemblée nationale sa déclaration de politique générale. Un accord entre le gouvernement et le PS signifierait que ce dernier ne voterait pas une motion de censure contre le gouvernement.
« Si le Premier ministre l’accepte définitivement, c’est à lui de l’annoncer », a déclaré Olivier Faure à propos de cette ultime phase de négociation, se disant « serein » .
« Nous sommes en train d’obtenir un certain nombre de concessions que je trouve remarquables parce qu’elles permettent de rompre avec ce que nous avons censuré nous-mêmes, les uns et les autres, c’est-à-dire le budget Barnier », a assuré Olivier Faure.
Face aux critiques des Insoumis, il a rappelé que le PS était « dans l’opposition, nous y restons, mais nous sommes une opposition utile, utile au pays ». « Il y a une gauche qui braille et une gauche qui travaille », a-t-il balayé.
A propos de la réforme des retraites, il a souhaité l’ouverture d’une discussion pour revoir l’âge de départ fixé à 64 ans par la loi de 2023.
« A moyen terme, c’est 15 milliards (d’euros) à trouver par an » donc « on discute, on montre qu’existent d’autres modes de financement et là, de mon point de vue, on passe par la loi pour changer », a-t-il expliqué.
Un accord là-dessus vaudrait non-censure du gouvernement Bayrou, a précisé Olivier Faure sauf « si, à un moment, il revenait dans l’idée de ce gouvernement de lier son avenir à celui de l’extrême droite ». « Alors, la sanction serait immédiate », a-t-il prévenu.
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Suspension de la réforme des retraites: "Nous n'avons pas encore conclu" mais "les choses ont beaucoup avancé", affirme Olivier Faure (PS) pic.twitter.com/DRBLeXnGx6
— BFMTV (@BFMTV) January 14, 2025
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09h48: Le secrétaire général du Parti socialiste Pierre Jouvet a déploré lundi sur la chaîne BFMTV l’absence « d’avancée significative » et de « garantie concernant la suspension » de la réforme des retraites réclamée à cor et à cri par la gauche, estimant que François Bayrou s’était fait « rattraper par la patrouille » située « à sa droite ». De quoi précipiter les socialistes dans les bras de la censure, puisqu’une motion sera sans nul doute déposée par les Insoumis (gauche radicale) mardi.
Sans les voix des socialistes, la France insoumise et le Rassemblement national (droite nationaliste) ne peuvent pas renverser le gouvernement. Toute la journée de lundi, l’exécutif a multiplié les pourparlers. « Ils donnent l’impression de se démener, mais à la fin c’est maigre », a résumé auprès de l’AFP la patronne des écologistes Marine Tondelier, qui a échangé par téléphone avec plusieurs ministres.
« Je n’ai toujours pas trop d’arguments susceptibles de ne pas voter la censure », a-t-elle ajouté. Si le gouvernement ne devrait pas tomber dans l’immédiat, l’incapacité de M. Bayrou à rallier les socialistes jette un doute sur la pérennité de ce gouvernement qui pourrait, comme son prédécesseur, se heurter au mur du vote du budget en cours de négociation.
09h45: Le Premier ministre François Bayrou abat ses cartes mardi sur le budget et les retraite dans son grand oral devant les députés, afin de tenter d’éviter une censure. Alors que la France traverse une période d’instabilité inédite depuis des décennies, la déclaration de politique générale du chef de gouvernement centriste --le quatrième en un an en France-- sera scrutée dans l’après-midi devant l’Assemblée nationale.
Nommé en décembre, François Bayrou, 73 ans, a pour premier défi de faire passer un budget pour 2025, sous la pression des oppositions et des marchés financiers. Il doit pour cela éviter de subir le même sort que son prédécesseur Michel Barnier, dont le gouvernement minoritaire avait été renversé au bout de trois mois par une alliance des députés de gauche et d’extrême droite. Il a lancé d’intenses tractations avec la gauche, centrées sur le sort de la dernière réforme des retraites.
Mais l’équation reste délicate car l’Assemblée nationale est fracturée en trois blocs (gauche / centre-droit et droite / extrême droite), dont aucun ne dispose de la majorité absolue. Alors que son prédécesseur avait tenté en vain d’obtenir un engagement de « non censure » de l’extrême droite, François Bayrou mise cette fois sur la gauche et particulièrement les socialistes pour trouver une voie de passage.
Vos réactions
"Mélenchon menace de virer du Front Populaire ceux qui ne la voteront pas"
le petit dictateur commence ses effets
La France Insoumise fonctionne comme une secte dogmatique, incapable d’autocritique et en décalage avec les réalités du pays.
Elle s’égare dans des postures idéologiques stériles, jouant à la politique-spectacle.
Rien à rajouter : tout est dit.
Mélenchon transforme tout ce qu'il touche en merde et les médias le savent. Pourtant ce gouvernement mérite de se faire dégager
Si les médias le savent, alors qu'ils arrêtent de l'inviter et de le faire parler alors qu'il n'a aucune fonction et ne fait que toucher, toucher, toucher encore l'argent que nous, français, lui donnons pour nous faire insulter par ce pauvre t..pe !
fake news
alors expliques nous l vrai news. Mais le minimum vieillesse est bien de cette somme et ne peuvent la toucher que les plus pauvres, c'est à dire que si tu as une maison tu ne la touches pas.
Bien sûr que c'est vrai, certains étrangers de plus de 65 ans viennent même en France juste pour chercher une retraite de plus de 1000 euros net par mois, et ensuite certains vivent dans leurs pays avec une retraite payée par la France, sans avoir jamais cotisé en France.
Elle est pas belle la France ?
Une majorité de français sont des veaux..
je répondait à john doe qui dit fake news pour 30€ de différence, je confirme donc qu'il a raison...
Tu as totalement raison, il est en fait de 1034.28€ pour une personne seule et 1605.73 pour un couple (pour-les-personnes-agees.gouv.fr).
Après ce n'est pas dit si c'est du brut ou du net.
Bien sûr que c'est vrai, certains étrangers de plus de 65 ans viennent même en France juste pour chercher une retraite de plus de 1000 euros net par mois, et ensuite certains vivent dans leurs pays avec une retraite payée par la France, sans avoir jamais cotisé en France.
Elle est pas belle la France ?
Une majorité de français sont des veaux..
fake news
Tu as totalement raison, il est en fait de 1034.28€ pour une personne seule et 1605.73 pour un couple (pour-les-personnes-agees.gouv.fr).
Après ce n'est pas dit si c'est du brut ou du net.
Ah , un partisan du yakafokon...
Alors d'une , oui il y a des profiteurs du RSA , et cela commence à changer depuis quelques temps avec stage obligatoire , réunions obligatoire ect...
Vous pensez réellement que c'est aussi simple que ça...
Pour ce qui est de la main d'œuvre étrangère que vous mettez en avant comme l'origine du taux de chômage et de personne au RSA.
Pas un dixième de bon Français ne se lèverait les fesses pour allez occuper l'emploi de ceux que vous dénoncez.
Et la le top de la bêtise idéologique , Mitterrand à ce que je sache a fait deux mandats ?
Sur les deux mandats , il y a eu cohabitation ?
Après Mitterrand , il y a bien eu des présidents de droite ?
Comment cela sa fasse que personne ne soit revenu sur les avantages sociaux mis en place sous Mitterrand , et même sur les 35 H .
Posez-vous déjà les bonne questions et avec un peux de réflexion , vous aurez les réponses enfin le début , car il faut creuser un peux plus pour comprendre plus.
Aucune des gabegies sociales de la gauche sous Mitterrand n'ont pas été votées durant les 2x2 ans de cohabitations/14 ans!!! ; par contre Jospin durant la sienne sous Chirac a glissé les 35h avec un résultat nul et un bordel monstre ; donc inutile de reporter cette gabegie sur la droite ; et en ce qui concerne le fait de revenir en arrière sur les avantages sociaux, toute personne sensée sait très bien que c'est quasi impossible en France ; une fois donné, c'est acquit...voir les régimes spéciaux, etc..
Le dixième de bons Français que tu cites et d'immigrés qui profitent de notre générosité aveugle, si on arrêtais de les nourrir à rien faire, ils finiraient bien par crocher dedans. Comme dit souvent: "un chat bien nourri ne va pas chercher de souris" ; et l'obligation actuelle pour les bénéficiaires du RSA que tu cites, ne risque pas de de les fatiguer.
En revenant au sujet plus bas, tu trouves normal qu'une personne qui n'a jamais cotisé 1 centime en France perçoit à la retraite 1012€, alors que celui qui se lève tous les matins pour aller bosser au smic perçoit lui 1426€ avec ses frais de route et divers à déduire encore ?
Et toute cette gabegie due uniquement à la gauche y compris Macron qui lui aussi est de gauche, mais dans le caca de ses prédécesseurs actuellement.
Tiens Colin soutient Merluche après avoir encouragé le RN !
La démocratie selon Jean-Luc Melenchon... quelle médiocrité, la honte pour les valeurs de respect, d égalité et de tol défendue par la gauche… il est de le mettre au placard le megalomenchon, il sera très bien dans un musée comme exemple de ce qu il ne faut pas faire quand on se dit humaniste !
Que tous ceux qui le souhaitent feront bien de voter la censure au moment du budget....
Tu n'as pas tort pour les cas sauce RSA et autres aides sociales, il n'y a qu'a les remettre au boulot au lieu de recruter dans les immigrés (sachant qu'ils représentent moins de 10% de l'immigration totale) ; Mitterrand en 81 a créé une génération de fainéants avec son social à gogo en commençant par son fameux RMI devenu RSA suivi des 35h de JOSPIN qui ont foutu un bordel monstre sans réel apport.
Ah , un partisan du yakafokon...
Alors d'une , oui il y a des profiteurs du RSA , et cela commence à changer depuis quelques temps avec stage obligatoire , réunions obligatoire ect...
Vous pensez réellement que c'est aussi simple que ça...
Pour ce qui est de la main d'œuvre étrangère que vous mettez en avant comme l'origine du taux de chômage et de personne au RSA.
Pas un dixième de bon Français ne se lèverait les fesses pour allez occuper l'emploi de ceux que vous dénoncez.
Et la le top de la bêtise idéologique , Mitterrand à ce que je sache a fait deux mandats ?
Sur les deux mandats , il y a eu cohabitation ?
Après Mitterrand , il y a bien eu des présidents de droite ?
Comment cela sa fasse que personne ne soit revenu sur les avantages sociaux mis en place sous Mitterrand , et même sur les 35 H .
Posez-vous déjà les bonne questions et avec un peux de réflexion , vous aurez les réponses enfin le début , car il faut creuser un peux plus pour comprendre plus.
Mais qu'il est stupide ce mégalo Meluche .
De toute façon , nous le savons que tant ce Sir Meluche n'obtiendra pas ce qu'il veux , il fera tout pour mettre le boxon , et après cela , il se dit vouloir défendre le peuple Français.
Mélenchon envoie sa censure direct, Le Pen le fera vraisemblablement dans quelques semaines en disant que ses demandes n'ont pas été écoutées, 2 clowns désastreux !
Censure au printemps, nouvelle dissolution en juin.
dans ta famille il est normal de supporter les branches tordues par contre on est pas obligé de supporter ou de redresser les branches du jardin d'à côté et si il y a trop de haineux pour toi va sur le site de libé...
Je connais aussi de nombreux cassos purement français. Toujours des haineux sur ce site. Raciste.
Tu n'as pas tort pour les cas sauce RSA et autres aides sociales, il n'y a qu'a les remettre au boulot au lieu de recruter dans les immigrés (sachant qu'ils représentent moins de 10% de l'immigration totale) ; Mitterrand en 81 a créé une génération de fainéants avec son social à gogo en commençant par son fameux RMI devenu RSA suivi des 35h de JOSPIN qui ont foutu un bordel monstre sans réel apport.
Je connais aussi de nombreux cassos purement français. Toujours des haineux sur ce site. Raciste.
Ce n'est pas du racisme que de dire la vérité. Inutile de brandir le mot racisme pour faire taire les gens, cela ne fonctionne plus.
un étranger en France qui n'a jamais cotisé touche, a partir de 65 ans, 1065.28 euros depuis le 1 janvier de cette année et ce en fonction de revenus annexes..celà s'appelle le minimum vieillesse
"L'Allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa), appelée aussi minimum vieillesse, est un montant minimum accordé aux personnes qui n'ont pas suffisamment cotisé aux régimes de retraite pour pouvoir bénéficier d'un revenu d'existence à l'âge de la retraite.
Ce n’est pas une pension de retraite : elle est financée par l’État, et non par les cotisations sociales. C’est un « minimum social », au même titre que le RSA."
1 012,02 € par mois pour une personne seule, et 1 492,08 € pour un couple.
***Pas suffisamment == voir jamais travaillé ni cotisé (les migrants ont tout compris!!)
si une personne touche moins de 1065.28 euros par mois le minimum vieillesse comblera le delta entre les deux admettons 1065.28-512 soit 553.28
- "Je vais demander à la Cour des comptes une mission flash de quelques semaines de nous donner l'état actuel et précis du financement du système de retraites " donc Borne quand elle a fait passer sa loi n'était pas au courant ?
- "Je suis un néophyte " dans la politique depuis 1979 !
Au courant à un moment T ; rien ne dit qu'un nouveau rapport de la cour des comptes ne soit pas encore plus dramatique à ce jour, et que ce ne sera plus 64ans mais + qui seront préconisés pour obtenir un équilibre.
Le seul responsable de cette dérive est Mitterrand avec sa gabegie en passant directement la retraite de 65 ans à 60 ans sans analyser l'avenir ; il n'a été guère plus reluisant avec son social à gogo qui a été une usine de fabrication de fainéants dont on hérite ce jour et suivi par JOSPIN avec ses 35h qui n'ont rien apportés en terme d'emplois et encore moins de richesses pour la France.
Le cas que tu sites n'existte pas en France pour une salariée qui a une carrière complete. C'est un fake news
un étranger en France qui n'a jamais cotisé touche, a partir de 65 ans, 1065.28 euros depuis le 1 janvier de cette année et ce en fonction de revenus annexes..celà s'appelle le minimum vieillesse
Bardella, Mélenchon et consorts, ne veulent qu'une chose "le bordel", c'est navrant et lassant !
Et alors Tanguy (RN), soulant tant quand il lit ses notes à l'AN.
Puisque ce discours ne convient à personne semble-t-il , sauf aux LR, au lieu de parlementer CENSURE DIRECT !!!
Tous ces pourris de LR doivent être heureux !!!
- "Je vais demander à la Cour des comptes une mission flash de quelques semaines de nous donner l'état actuel et précis du financement du système de retraites " donc Borne quand elle a fait passer sa loi n'était pas au courant ?
- "Je suis un néophyte " dans la politique depuis 1979 !
un exemple véridique vue prés de chez moi parmsi tant d'autre : Femme Algé... n'a jamais travaillée en France, obtient un traducteur, un logement, des fonds pour apprendre a apprendre à parler le French, une infirmière, un logement , un transport vsl pour ses soins , j'avais éstimé le cout à plus de 6000 euros par mois ppour une personne qui n'a jamais bossé et cotisé, et la ce n'est plus une question de racisme mais de simple gestion en bon père de famille, soit on continu soit tout le monde ira au chom
Oui, et si elle a plus de 65 ans elle touche une retraite de plus de 1000 euros par mois (aspa) sans avoir jamais cotisé. Et si elle a moins de 65 ans elle touche forcément une allocation. La France, le pays où il fait bon vivre pour les migrants...
Alors pour financer tout ça il faut bien continuer à travailler jusqu'à 64 ans...
Dehors ce gouvernement a dominance LR.....
un exemple véridique vue prés de chez moi parmsi tant d'autre : Femme Algé... n'a jamais travaillée en France, obtient un traducteur, un logement, des fonds pour apprendre a apprendre à parler le French, une infirmière, un logement , un transport vsl pour ses soins , j'avais éstimé le cout à plus de 6000 euros par mois ppour une personne qui n'a jamais bossé et cotisé, et la ce n'est plus une question de racisme mais de simple gestion en bon père de famille, soit on continu soit tout le monde ira au chom
Il faut bien que les français continuent à travailler afin de payer la retraire des migrants de plus de 65 ans qui viennent en France chercher une retraite de plus de 1000 euros par mois sans avoir jamais travaillé en France.
Les français se plaignent mais votent toujours pour les mêmes...
Ça c’est une honte ! Jusqu’à quand allons-nous supporter ce scandale ? Je suis de votre avis..
Il faut bien que les français continuent à travailler afin de payer la retraire des migrants de plus de 65 ans qui viennent en France chercher une retraite de plus de 1000 euros par mois sans avoir jamais travaillé en France.
Les français se plaignent mais votent toujours pour les mêmes...
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