L'ex-préfet Patrick Stefanini a été nommé représentant spécial du ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau sur l'immigration, a annoncé la place Beauvau. «Cette nomination s'inscrit dans une volonté ferme du ministre de l'Intérieur de lutter pour une meilleure maîtrise des flux migratoires et de renforcer la sécurité des Français», a précisé le ministère dans un communiqué.
La mission de Patrick Stefanini se concentrera «principalement sur le renforcement du dispositif de réadmission des personnes en situation irrégulière», a-t-on ajouté de même source.
Cette nomination de ce haut fonctionnaire spécialiste des questions d'immigration et figure des Républicains (LR), survient au moment où le gouvernement est sommé de donner des gages au RN pour éviter la censure de ses textes budgétaires.
«Cette lettre de mission s'inscrit dans (...) une reconquête de la souveraineté de la France en matière de politique migratoire», a commenté l'ex-préfet dans un entretien à Paris Match .
Selon Beauvau, Patrick Stefanini sera chargé de «la conclusion de nouveaux accords ou arrangements bilatéraux de réadmissions avec des pays, source d'immigration et de transit, mais également de l'optimisation des accords existants, qui pourra passer par la renégociation des accords existants». «Un des enjeux importants de sa mission résidera dans l'inclusion de clauses de réadmission de ressortissants de pays tiers et apatrides, que ce soit pour les nouveaux accords ou les accords existants», est-il souligné.
L'objectif sera de contourner l'interdiction actuelle d'expulser un étranger vers son pays d'origine si celui-ci est en proie à la guerre ou «en cas de risques de traitements inhumains ou dégradants». «Il est souhaitable que cet éloignement puisse se faire en direction d'un État tiers par lequel l'étranger a transité ou séjourné», écrit le ministère de l'Intérieur.
Vos réactions
Patrick Stefanini, condamné dans l'affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris pour avoir bénéficié entre 1991 et 1995 d'un emploi fictif.
Ils sont bien les amis de Retailleau. C'est vrai que ça devrait faire plaisir au RN. Ils ont les mêmes pratiques.
la sphère politique française pue de droite à gauche
Patrick Stefanini, condamné dans l'affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris pour avoir bénéficié entre 1991 et 1995 d'un emploi fictif.
Ils sont bien les amis de Retailleau. C'est vrai que ça devrait faire plaisir au RN. Ils ont les mêmes pratiques.
Pour moins gérer les problèmes de retour, il faut au maximum les empêcher de rentrer. Des agents secrets pour saboter les bateaux des ONG, leur placer de la drogue et des armes à bord à leur insu puis les saisir sur le fait. Il faut aussi contraindre les responsables politiques qui leur versent des subventions publiques à rembourser l'Etat sur leurs fonds personnels en multipliant par 10 pour dissuader les autres. Les aides au développement doivent être soumises à l'émission des laissez-passer consulaires en facturant aussi les coûts de gestion de leur délinquance chez nous : réparations aux victimes + mobilisation des services de police / justice. Pour les politiques ou militants d'associations qui persisteraient à les aider, on leur imposerait un camp de 200 migrants dans leur propriété principale ou 50 migrants dans leur appartement. Une saisie bancaire sur leur compte personnel serait alors effectuée chaque semaine pour alimenter les clandestins sous leurs responsabilités et pour rembourser les victimes de leurs vols, viols et agressions. On pourrait ainsi envoyer des violeurs récidivistes afghans pas encore déconstruits chez Sandrine Rousseau ou des crackheads vindicatifs pue-la-pisse en recherche d'un appart' de shoot chez Anne Hidalgo.
Ça va être difficile pour certains, mais quand on voit ces vieux qui n'ont jamais rien fait revenir on croit rêver ! Marine au secours....
Seule mesure efficace : une remigration par la mer (i.e. le trajet quotidien des ONG mais en sens inverse). Ainsi pas besoin d'accord du pays d'origine.
Gesticulations inutiles, comme le dit Archimedes. Il n'y aura aucun frein à l'immigration ni au maintien en France des OQTF puisque :
1. Soumission à l'UE et a la CEDH : expulsions quasi impossibles pour cause de "droits de l'homme"
2. Il faut l'accord des pays destinataires, qui évidemment ne veulent pas récupérer leurs délinquants (et on les comprend)
3. À la fin, de toute façon, le Conseil constitutionnel de gauche censurera toute mesure anti-immigration, comme il l'a déjà fait
Les gesticulations et les demi-mesures destinées à provoquer de la catharsis sans un changement de fond sont une forme de complicité tacite avec l'invasion et avec l'insécurité.
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