arthur A l'occasion des commémorations du 7-Octobre, Arthur était ce matin l'invité de Pascal Praud dans "L'heure des pros" sur CNews. "Après le 7 octobre, mon téléphone a cessé de sonner. J'ai perdu des amis chers. Les gens ont du mal à avoir de l'empathie sur ce sujet et je ne me l'explique pas", a confié l'animateur et producteur.
Et d'ajouter : "Quand on a eu besoin d'eux, juste pour nous exprimer un peu d'humanité, ils ont répondu aux abonnés absents. Ca, ça m'a perturbé alors je ne les ai pas rappelés. Mais j'ai rencontré des gens tellement incroyables (...) Certains amis ont disparu du radar, mais c'est la vie. On en apprend tous les jours". "Aujourd'hui, un an est passé. Je sais désormais qui appeler quand j'ai des larmes", a poursuivi Arthur.
Au cours de l'interview, l'animateur-producteur a évoqué sa vie quotidienne. "J'ai perdu un peu de mon intimité. Je suis protégé 24h/24. Avant j'aimais appeler un copain pour lui dire 'viens on va prendre un café en bas de la maison', maintenant ce n'est plus possible. Il faut prévenir, donner l'adresse, que quelqu'un aille sur place. Je suis une personnalité publique. Il y a une minorité de timbrés et il faut s'en méfier", a-t-il confié sur le plateau de Pascal Praud.
Vos réactions
Bravo Arthur pour votre engagement pour dénoncer et combattre ces forces terroristes qui attaquent l'Occident et ses valeurs.
Vous auriez pu tout à fait faire profil bas, comme beaucoup de vos confrères du showbizz et des médias, juifs et non-juifs, mais vous avez choisi de vous tenir droit.
Continuez à nous défendre, nous la majorité silencieuse, nous somme derrière vous.
Tu parles des gentils civils de Gaza qui crachaient, frappaient et dansaient autour des otages (ou leurs cadavres) ou bien de ceux qui faisaient la fête dans les rues le 11 septembre 2001 ?...
moi, si un luxembourgeois touche un ami à moi, je détruit le pays sous un tapis de bombes et je le vitrifie
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