
L’ONG Surfrider Foundation demande aux organisateurs des Jeux olympiques de faire preuve de « transparence » en publiant tous les résultats d’analyses de la qualité de l’eau de la Seine, qui a contrarié le déroulé des épreuves de triathlon et de nage en eau libre.
L’ONUG, active dans la protection des environnements aquatiques, demande dans un communiqué « à toutes les parties prenantes de l’organisation des JO de Paris 2024 de rendre l’ensemble des données publiques » sur la Seine et ce afin « d’assurer la transparence de l’information auprès des citoyens ».
Elle demande aussi à la préfecture de région et à la mairie de Paris de « mettre à jour les bulletins hebdomadaires » sur la qualité de l’eau du fleuve.
Ceux-ci, mis en place début juin, ont été suspendus depuis le début des JO, le Comité d’organisation (Cojo) reprenant la main sur la communication des données dans le contexte des épreuves, avait expliqué la mairie à l’AFP. Surfrider, qui réalisait ses propres prélèvements dans la Seine, explique ne pas avoir eu accès au site de compétition, près du pont Alexandre-III, depuis le début des JO faute d’autorisation des organisateurs.
Ces derniers doivent « faire preuve d’une transparence complète à la fois pour la sécurité des athlètes, mais aussi pour l’information des citoyens, notamment dans le contexte de la baignabilité de la Seine à l’été 2025 », estime Surfrider.
Vos réactions
Faut pas trop les titiller sur ce sujet, cela va finir comme pour le vaccin Covid. Aucun effets secondaires de référencer sur le Vidal, et surtout classer secret défense. Zut alors
Hidalgueau : le meilleur de Paris.
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