Les influenceuses "Lenoutsa" et "Lianeaneae" accusées par la répression des fraudes de pratiques commerciales trompeuses auprès des internautes qui les suivent, en ne mentionnant pas leurs partenariats

Ce vendredi, la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) a épinglé deux nouvelles influenceuses selon les informations révélées par Le Figaro. Elles sont accusées de «pratiques commerciales trompeuses» auprès des personnes les suivant sur leurs réseaux sociaux.

Lena Guillou, alias «lenoutsa», a notamment participé à l’émission Les Marseillais, ainsi qu’aux Princes et princesses de l’amour n’a pas respecté la loi, en étant rémunérée, sans l’indiquer dans ses publications, «par des partenaires commerciaux pour promouvoir leurs produits ou services».

Léa Djadja, surnommée «lianeanea» a fait l’objet d’une enquête menée par la DDPP de Seine-Saint-Denis. Celle-ci n’était pas rémunérée pour ses publications, mais elle «recevait des contreparties sous forme de produits en gratuité par des partenaires commerciaux afin de promouvoir leurs produits». Or, elle ne mentionnait pas, ensuite, l’intention commerciale de ses publications, comme le prévoit pourtant la loi.

Elles ne seraient que les premières d'une longue liste, puisque la DGCRF a enquête sur plus de 180 influenceurs selon nos confrères du Figaro. Parmi, ceux qui ont déjà été inquiétés on peut signaler parmi les plus connus: Feliccia, Fanny SNL, Simon Castaldi, Poupette Kenza, Amandine Pellissard, Julien Bert, mam_active...